Bruno, mon fils

Bruno, mon fils est un souvenir de lecture de l'époque du collège où je "piquais" les livres France Loisirs de ma mère.

Mais évidemment ce livre est plus que ça. Il est un témoignage très dur d'une mère, Janie Maurice, face d'une part à la mortelle maladie de son enfant de 5 ans et d'autre part à l'indifférence voire l'inhumanité du système hospitalier.

Le récit est forcément déchirant, trempé dans la colère, le désarroi et l'immensité de la perte. J'entrais dans l'adolescence et les mots de cette mère m'ont bouleversée, me mettant face à l'injustice d'une maladie frappant un si petit bonhomme, à un monde hospitalier froid et angoissant.

Une scène m'a particulièrement marquée : une ponction de moelle épinière. Je rencontrais ce terme pour la première fois et sa description ressemble ici à une scène de torture, sans compréhension ni empathie pour les peurs et la souffrance du petit Bruno. Trente ans après, le mot reste connoté par cette rencontre initiale.

Très émouvant. le long combat d'une mère pour tenter de sauver son fils de cinq ans et sa lutte pour un peu plus d'humanisation dans les hôpitaux.
Ce livre publié en 1975, raconte la réalité d'un système hospitalier qui a heureusement aujourd'hui un peu évolué.l

Le témoignage poignant d'une maman.

J'ai lu ce livre je ne sais combien de fois mais il y a très longtemps, je n'ai pas oublié l'histoire de Bruno.
Le manque d'humanité, de moyens aussi, des hôpitaux à l'époque ; le courage de ce petit bout et celui d'une mère.
Pas besoin d'en dire plus, lisez-le...

Un livre difficile à lire tant le réalisme exhale. Vers la fin, avec l'intensité de l'histoire, j'ai pleuré.
C'est un livre qui démontrait la médecine dans les hôpitaux, dans les années (…, 60, 70,80,…).
Aussi, c'est un témoignage sur la maladie, la souffrance, la mort d'un enfant.
Considération pour Janie Maurice.

Bonjour, j'ai lu ce livre. Il est très dur à lire, on voit la souffrance de cet enfant agé de 5 ans souffrant de la maladie de Leucose et de la méchanceté du personnel de l'hopital. Il serait bien que des médecins, des internes, des infirmières, des chefs de service fassent l'effort de ne pas être sévères avec les patients, d'aimer et d'aider tous les patients qui sont hospitalisés surtout pour les années à venir.