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EAN : 9782812606076
331 pages
Editions du Rouergue (04/09/2013)
2.98/5   126 notes
Résumé :
Ils avaient choisi d'habiter des îles de rêve, imaginé de splendides villas pour des vies insouciantes, ils collectionnaient les voitures de luxe et les grands crus français. Ils ne pensaient pas que le mal viendrait les chercher là. Rivés à leurs écrans comme à des mirages, ils n'avaient pas senti la mort à leurs trousses. Ils ont d'abord vu tomber leurs avatars, sans comprendre que c'en était fini des jeux de rôle. Lorsque le tueur est entré chez eux, dans la vie ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Michael Kapinsky est photographe pour la police scientifique. Il a perdu sa femme il y a quelques mois et sa joie de vivre par la même occasion. Suite au décès de son épouse et ayant déjà le moral à zéro, il se retrouve criblé de dettes et ne sait plus comment s'en sortir. Ne pouvant plus continuer à payer sa thérapie avec son psychiatre il décide d'arrêter les séances mais ce dernier lui proposer de continuer « gratuitement » dans un monde virtuel, Second Life. Tout d'abord réticent, Michael Kapinsky se prend au jeu. Il crée son avatar et devient détective privé. Mais quand des crimes virtuels deviennent des crimes réels, où se situe la frontière du jeu et de la réalité ?
Dans ce livre nous entrons complètement dans un univers virtuel où chacun peut s'inventer une vie tant privée que professionnelle, créer un personnage, se lier avec d'autres personnages (avatars) et plus si affinités.
Second life, comme chaque univers virtuel, a ses propres codes et langages. Pour un novice du genre il est très difficile de ne pas se perdre. Même si l'auteur a eu la bonne idée d'inclure au début du livre une page avec les définitions, je n'ai pas réussi à m'immerger complètement dans ce monde. J'ai pourtant parcouru le net afin de découvrir et comprendre Second Life via des vidéos et des forum mais je dois reconnaître que les termes utilisés étaient bien trop étrangers et nombreux pour moi. de plus comprendre et imaginer des choses qui existent seulement dans le monde virtuel est un exercice assez difficile.
Je n'ai pas non plus accroché au fait de me retrouver devant un livre avec un langage internet trop présent. J'ai très vite saturé sur le nombre illimité de « MDR » notamment. Bien que normal pour ce « type » de livre, ce langage m'a rapidement lassée.
L'idée de départ était bonne. Mélanger vie réelle et vie virtuelle, crime virtuel et crime réel … mais au final l'intrigue n'est pas au rendez-vous, noyée par les longues descriptions de l'univers Second Life …
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Quand la vie réelle est trop difficile, il est tentant d'aller se réfugier dans un univers parallèle afin d'échapper aux souffrances qui nous rongent. C'est ce qu'a décidé de faire Michael, un technicien de scène de crime rongé par la mort de sa femme six mois plus tôt, en s'inscrivant sur Second Life (SL), un site internet permettant de se construire une vie sur mesure un peu à la manière des Sims, une vie dans laquelle les plus âgés pourraient se faire passer pour plus jeunes qu'ils ne sont le sont réellement, où ceux complexés par leur physique pourraient devenir des canons de beauté, où les pauvres peuvent se créer une vie de riches… Les possibilités sont infinies, mais les dangers sont multiples : risque de perdre pied avec la réalité évidemment, mais aussi faire de mauvaises rencontres, être victime de mauvaises personnes, ou encore voir cette vie virtuelle déborder sur notre vie personnelle, et pas de la meilleure des manières.

Bien que Scène de crime virtuelle ne restera pas dans mes meilleures lectures de l'année, j'ai malgré tout apprécié ce roman parce qu'il est différent, et surtout parce que l'auteur a réussi à susciter de l'intérêt chez moi pour un univers qui ne m'intéresse absolument pas normalement l'univers virtuel. Si l'ouvrage démarre dans un premier temps de manière assez classique, Peter May laisse rapidement de côté la réalité et une majeure partie de son roman se déroule dans Second Life. À partir du moment où on arrive dans cet univers, la lecture se fait très rapide car il s'agit d'une succession de dialogues entre Michael (alias Chas dans SL), et les différents avatars qu'il côtoie. Puis, forcément on est dans un thriller, les choses se gâtent, et ce qui devait rester de l'ordre du virtuel finit par avoir un impact dans sa vraie vie, semant le chaos alors que la situation était déjà bien compliquée pour lui. C'est alors une course contre la montre qui se met en place, afin de sauver sa peau et de ne pas finir entre quatre planches refroidi.

J'ai vraiment apprécié le personnage de Michael, et bien qu'il enchaîne les mauvaises décisions qui le précipiteront dans un tourbillon d'emmerdes, j'ai trouvé qu'il avait quelque chose de touchant et de très humain en lui.

J'ai également apprécié retrouver deux caractéristiques récurrentes de l'écriture de Peter May : celle de décrire l'environnement dans lequel évolue les personnages, mais également celle de développer au maximum la psychologie des personnages et de les rendre vivants, complexes et humains.

Si je vous parle d'environnement, c'est que vous savez que j'aime particulièrement lorsqu'un auteur met l'accent sur le lieu dans lequel il place ses intrigues : l'Ecosse pour la Trilogie écossaise (naaaannn sérieux Anaïs ?? ), la Californie ici. Bien qu'on soit un peu dans le cliché grosse baraque américaine, couchers de soleil sur le Pacifique et palmiers à gogo, moi j'ai aimé ça car c'est très visuel et que ça a eu le mérite de me transporter, et dieu sait que j'en ai besoin après un an et 3 mois sans pouvoir voyager pour cause du méchant virus !

L'auteur s'est focalisé sur le fait d'essayer de rendre humain au maximum les personnages virtuels que nous croiserons au fil de notre lecture, ça semble parfois un peu peu crédible mais qu'importe, je ressors globalement avec un avis plutôt positif de cette lecture. Les sentiments, les pensées profondes des personnages, les liens qu'ils ont entre eux sont décrits avec précision et contrebalancent complètement avec la virtualité de ce monde, et c'est là la force du roman.

Le mot de la fin
C'est un ouvrage assez différent de ce que je lis habituellement, je suis contente de l'avoir lu. Il est assez singulier pour que je m'en souvienne dans les mois à venir, je pense !

Un ouvrage qui se lit vite, assez immersif pour me couper de mon monde réel à moi (quelle mise en abyme pour le coup ! ). J'ai trouvé certains passages un peu longs dans le monde virtuel, mais cela n'a malgré tout pas entaché ma lecture.

Je retiendrai également cette citation, franchement parlante pour quiconque a surfé un jour sur les réseaux sociaux : « Mais les gens sont comme cela dans SL. Pas seulement dans SL, d'ailleurs. Peut-être est-ce dû à Internet. Les individus ne sont jamais face à face, les yeux dans les yeux. On dirait qu'ils pensent que cela les dispense d'observer les règles sociales habituelles et politesse et de tact. Regardez les forums en ligne. Ce sont parfois des champs de batailles brutaux et sanglants, où la bile coule à flots et où les gens expriment des choses qu'ils ne vous diraient jamais en face. Ici, ils peuvent se cacher derrière leur avatar. »
Lien : https://anaisseriallectrice...
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Le héros, Michael, est un photographe de police en pleine dépression après la mort de sa jeune femme. Pour s'en sortir, il suit des séances individuelles auprès d'Angela, sa psy, qui lui propose un jour de s'inscrire à sa nouvelle forme de thérapie de groupe. Pour cela, il doit entrer dans le monde virtuel de Second Life. Réticent tout d'abord, Michael se prend vite au jeu de son avatar et de son nouvel univers. Il y rencontre de nouveaux amis qui l'initient très vite au fonctionnement de ce monde nouveau. Lui-même en entraîne d'autres de sa vie réelle et finit par oublier sa tristesse et ses soucis. Il semble heureux enfin. Mais bientôt la vie réelle réapparaît, se mêlant de façon violente à la virtuelle et vice versa. Des avatars tués se révèlent des meurtres de personnes bien réelles dans la vraie vie. Michael lui-même se sent menacé et doit rependre son métier sur la trace du mystérieux tueur.
Ce n'est que le début j'ai marché, très intéressée par l'originalité de la situation, la découverte puis l'affrontement constant des deux mondes. Je me suis réjouie de l'imaginaire nouveau créé ainsi par le biais de ce nouveau jeu à l'échelle mondiale et je me suis amusée avec les expériences et les réactions plus ou moins ingénues, perverses, sexuelles, cocasses ou terrifiantes vécues par Michael alias Chas. J'aurais aimé que ça continue ainsi sur ce rythme allègre mais vers la moitié du livre, le plaisir est devenu ennui, l'enquête, un boulet! Je me suis enlisée dans une certaine forme de répétitions et de platitudes, avec l'impression de tourner en rond. J'ai commencé à sauter les longues descriptions de maisons et de paysages, puis les trop nombreux dialogues, j'ai tourné de plus en plus vite les pages et les chapitres jusqu'à lire le passage où l'assassin était découvert, ce que je pressentais déjà puisque ici les noms ont une grande importance non seulement virtuelle mais symbolique aussi.

Une déception par conséquent malgré une idée de base qui me plaisait beaucoup avec ce déplacement vers le jeu virtuel qui promettait beaucoup mieux au départ .
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Un électron libre de Peter May.
Michael Kapinsky a perdu sa femme et n'arrive pas à s'en remettre. La situation est tendue car sa belle famille a des vues sur l'héritage mais lui-même peine à assurer. L'énorme crédit de la splendide maison de sa femme devient ingérable.
Pour cela, et pour se changer les idées, il reprend son travail de photographe de la police scientifique. Malheureusement, cela ne suffit pas, il ne peut plus payer ni la banque, ni l'avocat, ni l'agente immobilière, ni même sa psy.
C'est pour cette raison que celle-ci lui propose une nouvelle sorte de thérapie, gratuite et novatrice. Pour cela, il va juste se créer un avatar chez Second Life, et de temps en temps assister à des réunions de dialogue virtuelles. Il devient dès lors Chas, un détective, second de Twist (dans la vraie vie sa collègue de travail!) une aide précieuse pour se familiariser avec ce "nouveau monde". Mais peu à peu, la réalité rejoint la fiction. 2 crimes sont commis. 2 personnes qui étaient eux mêmes dans Second Life! Leurs avatars ayant également été assassinés. Une vraie course contre la montre s'enclenche pour trouver leur assassin virtuel et réel.
Une écriture fluide et comme toujours très bien détaillée de Peter May qui quelque soit son sujet, Chine, Écosse, Dordogne.. ou comme ici la réalité virtuelle, maitrise son sujet et par là même nous y sensibilise aussi. Néanmoins, je n'ai pas trop adhéré à cette vie fantôme où tout est permis. La dépendance à ce type de pratique et de jeu me semblant trop facile. Mais l'intrigue est intéressante et bien ficelée.
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Le monde virtuel n'est-il pas le miroir de la réalité ?

Après le décès de son épouse, criblé de dettes, l'enquêteur Michael Kapinsky reprend du service. Pour continuer sa thérapie, sa psychiatre le persuade de suivre des séances de groupe sur le site de jeux « Second Life ». Peu à peu le réel et le virtuel vont s'entremêler.

L'un des ingrédients d'un récit policier, outre une bonne intrigue, est sans conteste de faire évoluer ses personnages dans un milieu déterminé. Ici l'auteur a vu grand et a carrément choisi un monde à explorer : voilà l'originalité de ce roman qui ne peut que séduire les aficionados des espaces virtuels. Par contre, je ne suis pas sûre qu'un lecteur « non initié » trouve du plaisir à tourner les pages de ce livre… ne serait-ce que par l'emploi d'abréviations et termes spécifiques qui nécessitent un lexique en début d'ouvrage.

L'auteur maitrise son intrigue et la coexistence virtuel/ réalité, héros/avatars n'est jamais source de confusion dans l'esprit du lecteur. La narration reste toujours efficace.

Le style colle à la particularité du sujet : il est basé sur des dialogues qui correspondent aux « dials » des internautes.

Pour la petite anecdote : j'ai pu rencontrer l'auteur à la Foire du livre de Brive.
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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
On se serait cru en enfer. Des pierres tombales bizarrement penchées. Un crâne au centre d'une croix celtique. Un énorme tombeau, couvert de mousse, sur lequel était gravé un message plein de promesses. Le Mal vous attend. Vous risquez de mourir.
Max pouvait entendre des cris dans le lointain. Un épais rideau de toiles collantes lui barrait le chemin, une araignée géante tapie dans l'ombre attendait le moment propice pour se jeter sur sa proie. Une ambiance sonore obsédante emplissait l'atmosphère et lui pénétrait l'âme à tel point que, si elle s'était arrêtée, le silence qui l'aurait remplacée l'aurait presque écrasé.
Il avait peur, sans vraiment savoir pourquoi. Après tout, que pouvait-il bien lui arriver de grave par ici ? Mais il y avait quelque chose dans cet IM énigmatique qui lui avait flanqué la trouille. Ces informations sur son compte que personne n'aurait dû posséder. Et le Repère qui y était joint, l'invitant à se rendre au Labyrinthe du Diable, ne présageait rien de bon.
Maintenant qu'il s'y trouvait, un sentiment d'appréhension, étrange et inexplicable, l'envahissait - l'obscurité, le claquement proche des gouttes d'eau qui s'écrasaient au sol, et ces voix qui criaient dans le lointain. Effrayant.
Les pierres anciennes, plongées dans l'ombre, étaient à peine visibles. Sur un portrait accroché au mur du château, un visage se transforma en crâne. Il se cogna contre la paroi devant lui et un message apparut sur son écran. Le mur maléfique dit touchez-moi. Max s'exécuta et fut instantanément transporté dans une pièce dont les murs et le plafond étaient couverts de crânes sculptés dans la pierre. Au centre, sur le sol, gisait un véritable crâne qui l'implora. Touche-moi pour repartir. Il s'exécuta et se retrouva penché au-dessus d'une rivière de lave en fusion. Ou était-ce du sang ? Difficile à dire. En dehors de la lueur rouge sombre qu'elle diffusait, la seule source lumineuse provenait d'une rangée de torches enflammées, suspendues au mur à intervalles réguliers. Derrière lui, surmontée d'une voûte de pierre, se dressait une porte ancienne en bois. Il cliqua dessus. Elle s'abaissa comme un pont-levis. Il franchit l'arche et avança dans une cour sombre où des piliers de pierre de toutes tailles s'élançaient vers le ciel d'un noir d'encre piqué d'étoiles.
Il entendit un raclement, se retourna et vit une ombre se déplacer entre les arches gothiques. L'espace d'une seconde, il aperçut un visage d'une pâleur effrayante. Il chercha l'étiquette qui aurait dû flotter au-dessus, et qui lui aurait permis d'identifier son poursuivant. Mais il n'y en avait pas. Il commença à se sentir franchement mal à l'aise. Il activa le Mode Course, fit demi-tour et repartit à toute allure par où il était venu. Il entendit des bruits de pas derrière lui, mais il ne se retourna pas. Un parapet en surplomb courait le long du trajet de la rivière rouge, il le suivit. L'appréhension s'était muée en peur. Inexplicablement, il se sentait menacé et il savait qu'il n'aurait pas dû venir. Il s'arrêta et jeta un coup d'oeil en arrière. Personne. Cela le soulagea. Il s'était fourré dans un truc de dingue. Il était temps de partir
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Peut-être est-ce dû à Internet. Les individus ne sont jamais face à face, les yeux dans les yeux. On dirait qu'ils pensent que cela les dispense d' observer les règles sociales habituelles de politesse et de tact. Regardez les forums en ligne.....( p 132)
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Les pierres anciennes, plongées dans l’ombre, étaient à peine visibles. Sur un portrait accroché au mur du château, un visage se transforma en crâne. Il se cogna contre la paroi devant lui et un message apparut sur son écran. Le mur maléfique dit touchez-moi. Max s’exécuta et fut instantanément transporté dans une pièce dont les murs et le plafond étaient couverts de crânes sculptés dans la pierre. Au centre, sur le sol, gisait un véritable crâne qui l’implora. Touche-moi pour repartir. Il s’exécuta et se retrouva penché au-dessus d’une rivière de lave en fusion. Ou était-ce du sang ? Difficile à dire. En dehors de la lueur rouge sombre qu’elle diffusait, la seule source lumineuse provenait d’une rangée de torches enflammées, suspendues au mur à intervalles réguliers. Derrière lui, surmontée d’une voûte de pierre, se dressait une porte ancienne en bois. Il cliqua dessus. Elle s’abaissa comme un pont-levis. Il franchit l’arche et avança dans une cour sombre où des piliers de pierre de toutes tailles s’élançaient vers le ciel d’un noir d’encre piqué d’étoiles.
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Il essaya de trouver un Repère qui le sortirait de là, mais il ne parvenait pas à se concentrer et semblait avoir perdu tout contrôle, comme un quelconque novice. Il afficha une fenêtre de téléportation, mais il la manqua et cliqua sur le plancher, faisant apparaître involontairement la fenêtre Édition. Autour de lui, la maison se mit à chanceler et à se soulever. Le sol s’inclina selon un angle bizarre. Un mur se sépara du plafond et bascula vers l’extérieur. Des morceaux entiers du bâtiment se détachaient et se balançaient. Il parvint à cliquer sur le bouton Atterrir, s’écrasa au sol et commença à glisser sur le plancher. Il se retourna. Le canon du revolver était toujours braqué sur lui.
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Il ouvrit son Inventaire, sélectionna L’Île dans son dossier Repères, double-cliqua et fut téléporté chez lui.
Son île rezza autour de lui. Les palmiers se balançaient doucement, poussés par la brise tiède, le murmure des eaux tropicales qui venaient mourir sur le sable argenté emplissait l’air. Les mouettes dessinaient des cercles dans le ciel et, sur l’affleurement rocheux à un peu plus de cinq cents mètres de la côte, des phoques se prélassaient en grognant sous le soleil de midi. Il avait changé de fuseau horaire et la lumière du jour, l’aspect familier des lieux, le rassuraient. Il se sentait en sécurité.
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À l'occasion de la 20ème édition du festival "Quais du Polar" à Lyon, Peter May vous présente son ouvrage "Tempête sur Kinlochleven" aux éditions Rouergue Noir.
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