Ce second roman de
Sarah McCoy est conçu comme le premier : deux histoires croisées, deux destins de femmes à des siècles d'intervalle qu'à priori rien ne rassemble, des échanges de lettres et de l'Histoire avec un grand H. Cette fois-ci il est question d'abolitionnisme et de combat pour la liberté.
Tout comme
Un goût de cannelle et d'espoir, ce roman contient les bons ingrédients pour qu'une lecture me séduise. Et une fois de plus cela fonctionne. J'ai aimé découvrir la famille Brown, les chemins de fer clandestins et le combat qu'était celui des abolitionnistes.
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