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Critique de Pantasiya
Ce troisième récit des Hauts-Conteurs est une suite respectant parfaitement le ton donné lors du premier tome de la série. Comme l'idée erronée de l'écriture à quatre mains circule encore, rappelons ici que Patrick Peru n'a composé que le premier tome avant de laisser le relais à Patrick McSpare pour l'écriture des autres. Cela explique donc les nombreux changements observés dans la lecture du second livre.
Toutefois, chapeau ici à Patrick McSpare qui met de côté les innombrables personnages qu'il a créés dans le livre précédent pour limiter l'aventure à une poigné d'entre eux, rendant la lecture beaucoup plus fluide et de fait, cohérente avec l'appartenance à la littérature jeunesse.
Cette fois, l'aventure se concentre donc principalement sur l'élève prodige et son professeur. Laissant momentanément leur quête des pages du très convoité Livre des Peurs, Roland et Mathilde se rendent dans une bourgade isolée dans l'espoir d'y retrouver la trace de Ruppert l'Archiviste. Ne prévoyant pas un voyage périlleux, ils s'y rendent accompagnés d'Elena, cette apprentie délicate qui fait fondre le coeur de Roland.
C'est ainsi que les trois compagnons se retrouvent, malgré eux, au coeur d'une problématique sombre et mystérieuse requérant d'urgence leur attention puisque le comté visité se voit la proie à un empoisonnement des sources d'approvisionnement, aux attaques éclairs et répétées d'une terrible malebête et de son énigmatique maître, à des morts foudroyantes inexplicables en plus de la disparition habituelles de jouvencelles que la rumeur collective impute au cruel châtelain du coin. Dans leur infortune, ils seront épaulés par un Haut-Conteur du pays, Bouche-Goulu. Ensemble, ils s'acharneront à démasquer et neutraliser les différentes menaces rencontrées tout en préservant la belle Elena.
Les intrigues foisonnent donc à flot dans cette nouvelle aventure où l'action prédomine. À l'exemple du 1er tome, le style d'histoire fait penser à celui de Joseph Delaney pour la série de l'Apprenti Épouvanteur.
Toutefois, chapeau ici à Patrick McSpare qui met de côté les innombrables personnages qu'il a créés dans le livre précédent pour limiter l'aventure à une poigné d'entre eux, rendant la lecture beaucoup plus fluide et de fait, cohérente avec l'appartenance à la littérature jeunesse.
Cette fois, l'aventure se concentre donc principalement sur l'élève prodige et son professeur. Laissant momentanément leur quête des pages du très convoité Livre des Peurs, Roland et Mathilde se rendent dans une bourgade isolée dans l'espoir d'y retrouver la trace de Ruppert l'Archiviste. Ne prévoyant pas un voyage périlleux, ils s'y rendent accompagnés d'Elena, cette apprentie délicate qui fait fondre le coeur de Roland.
C'est ainsi que les trois compagnons se retrouvent, malgré eux, au coeur d'une problématique sombre et mystérieuse requérant d'urgence leur attention puisque le comté visité se voit la proie à un empoisonnement des sources d'approvisionnement, aux attaques éclairs et répétées d'une terrible malebête et de son énigmatique maître, à des morts foudroyantes inexplicables en plus de la disparition habituelles de jouvencelles que la rumeur collective impute au cruel châtelain du coin. Dans leur infortune, ils seront épaulés par un Haut-Conteur du pays, Bouche-Goulu. Ensemble, ils s'acharneront à démasquer et neutraliser les différentes menaces rencontrées tout en préservant la belle Elena.
Les intrigues foisonnent donc à flot dans cette nouvelle aventure où l'action prédomine. À l'exemple du 1er tome, le style d'histoire fait penser à celui de Joseph Delaney pour la série de l'Apprenti Épouvanteur.
