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EAN : 9782843378492
362 pages
Anne Carrière (02/02/2017)
3.48/5   142 notes
Résumé :
Diane, jeune « executive woman » au caractère bien trempé, dirige avec succès une banque d'affaires parisienne. Son ascension professionnelle fulgurante est aux antipodes de sa vie personnelle, qui se résume à un mot : désert. Un désert dont l'aridité résulte des zones d'ombre de son enfance.

Survient la mort de sa grand-mère, qui lui laisse en héritage la mythique Villa Taylor de Marrakech. Ce lieu a accueilli quelques-unes des plus grandes figures ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (39) Voir plus Ajouter une critique
3,48

sur 142 notes
Diane de Verneuil, jeune parisienne trentenaire, directrice d'une banque d'affaires qu'elle dirige sans états d'âme, doit se rendre à Marrakech, au décès de sa grand-mère dont elle a hérité de la Villa Taylor. Un lieu qui a connu un destin historique avec les séjours de Winston Churchill et le président Roosevelt dans les années de guerre. D'abord réticente à accepter la Villa qu'elle avait désertée quand elle avait quinze ans, suite à la disparition de sa mère, la jeune femme s'intéresse à l'histoire de la Villa, étroitement liée à sa vie, et se lance dans sa propre histoire pour comprendre la disparition de sa mère.

Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire, un roman historique, une quête intérieure et un cadre, Marrakech, qui permettait d'en découvrir un peu plus sur cette ville marocaine.
Malheureusement tous les poncifs et les clichés vont s'accumuler pour devenir une bluette qui ne dit pas son nom : la pauvre petite héritière riche qui, ne pouvant se rendre par avion régulier, loue un jet privé; à son installation, la découverte d'une cassette de bijoux et le notaire ”sort une liste manuscrite et entame une assomante litanie. Rivière de diamants van Cleef, broche Chopard, montre Cartier...boucles d'oreilles Chaumet...Je n'écoute plus l'énumération fastidieuse du notaire”. le notaire, parlons-en, une quarantaine d'années, le beau gosse dans toute sa splendeur, mais ténébreux et malheureux, cachant lui-même ses blessures et se refusant à plusieurs reprises à la jeune femme. Lors d'une incursion dans un petit village marocain, la nuit tombant, la belle héritière suggère de louer un hélicoptère pour rentrer à Marrakech. Tous ces événements se déroulant sous l'oeil d'Halima, la femme de confiance de la grand-mère, qui gagne chichement sa vie.
Bref tout du même acabit, entrecoupé de descriptions redontantes du jardin et de ses parfums envoutants, ambiance orientale oblige....Seule, la partie historique decrivant le séjour de Churchill sort du lot.
Plus qu'une déception, c'est une vraie erreur de casting pour ce roman qui n'est qu'une romance insignifiante et sans intérêt.
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Taylor
Ce livre, qui se clos sur un alexandrin (« la vie doit se draper dans l'étoffe des rêves») est une fable, voire un mythe d'où sa force et ses stéréotypes. Tout imprégné de légendes gréco-latines, il dit le rêve d'une multi-culturalité qui n'est pas celle des politiques ou des journalistes, mais la multi-culturalité de l'amour sans frontières.
C'est un roman charnel, sensuel et pourtant éthéré, un vrai roman, qui se lit comme un polar, et porte sur le retour vers un passé qu'il faut déchiffrer, ce passé colonial de la Villa Taylor, élégant, superficiel et…parfumé - du moins le croit-on jusqu'au deux tiers du livre, égarés qu'on est par les faux-semblants d'un raffinement de classe : un repas mauve pour l'assortir à des fleurs, une salle de bain en porphyre, un jardin enchanté, une bouteille de champagne que l'on verse dans la Neva.
Puis se révèlent les lignes de force, sous la frivolité heureuse apparaissent la cruauté, la violence envers les plus faibles et un courant irrésistible, celui de l'amour, de l'acceptation totale de l'autre, qui n'a que faire des barrières sociales et religieuses.
Un beau roman plein de charme, dont le personnage principal reste cette villa Taylor épuisée et superbe, qui ressemble à tous les paradis perdus et chargés de mystères de nos enfances : « On dit que les murs se souviennent et que, de temps à autre, ils laissent échapper des sons, des images, des parfums du passé ». J'ai aimé plus que tout cette quête d'un monde qui n'existe plus, ces grandes bourgeoises naufragées par la vieillesse, cette villa bientôt en ruine, maintenue tant bien que mal par un personnel hors d'âge, le Marrakech ancien, celui de l'aquarelle de Churchill, enlaidi par l'afflux des touristes, ces cimetières, même, ou les noms s'effacent…
« La terre, la vraie, c'est celle des souvenirs ».
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D'habitude, les ouvrages (les romans, tout particulièrement écrits à deux -mis à part les couples bien soudés- sont rares et ne sont pas réussis, chaque intervenant pouvant avoir des frémissements différents face aux situations décrites. Il faut donc croire que nos deux auteurs sont sur la même «longueur d'onde». L'histoire, au départ, est assez simple. Mais, elle se complique par la suite.

Au départ, il y a Diane de Verneuil, une belle «golden girl», encore jeune, «executive woman» , directrice (à succès) d'une banque parisienne. Une vie de «jet-setteuse» parisienne menée tambour battant et brûlée (selon son rythme et ses désirs) par les deux bouts. A cause d'une enfance pleine de zones d'ombre ? Elle a grandi à Marrakech dans une grande villa devenue célèbre car fréquentée par de grands noms européens de la politique, de la culture et des arts de l'époque (coloniale) : Winston Churchill, F. Roosevelt, Y. Saint Laurent, C. Chaplin, Forbes... et bien d'autres encore.

Orpheline de père et de mère, elle vit avec sa grand-mère maternelle et de serviteurs (indigènes, bien sûr), tous bien silencieux sur le passé d'une résidence qui a l'air chargé de bien des drames. Car la mère a, un jour, mystérieusement disparu.. .laissant une résidence fastueuse péricliter dans la tristesse généralisée.

C'est, donc, à la mort de la grand-mère, toute une quête assez laborieuse pour retrouver la mère «effacée» des mémoires. Grâce à une jeune et beau notaire, lui-même ayant une vie chargée de mystères, elle remontera le temps et, allant de surprise en surprise, elle se réconciliera avec un passé qu'elle pensait douteux... et elle retrouvera ses origines (d'Européenne française, elle découvrira que son vrai père est un Marocain musulman, ancien serviteur, devenu l'amant de la maman) comme d'ailleurs Selim, le notaire qui dit avoir découvert, lui, le Marocain, fils de musulman, que sa mère était de confession juive) Sa vie connaîtra alors un autre cheminement, plus apaisé... Sa banque aussi ! Quant à la villa Taylor, elle ne sera pas vendue aux rapaces de l'immobilier.
Avis : Un roman d'amour parcouru de perturbations et d'interrogations ; l'héroïne, comme son amoureux, étant à la recherche de sa mère et de ses origines. Mais, aussi, un livre d'amour pour... le Maroc (à travers Marrakech)... un pays présenté calme, accueillant, tolérant, ouvert sur les cultures et les religions du monde, dynamique économiquement. Quoi de mieux comme outil promotionnel ? A l'opposé d'«Alger sans Mozart»
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J'ai commencé ce roman dans une sorte de flou qui s'est dès le début éclairci tellement j'ai accroché au style d'écriture de ce duo d'auteurs que je ne connaissais pas. J'ai été touchée et étonnée de lire deux hommes racontant le point de vue d'une femme avec autant de justesse, mêlant la douceur et la force du personnage. Je sais qu'après Villa Taylor, je prendrai un réel plaisir à découvrir un autre roman de ces auteurs, en espérant qu'ils réussissent à me faire autant voyager qu'avec celui-ci. D'autant que les multiples références littéraires ou autres, comme celles sur les mythes antiques ou sur des contes, m'a particulièrement plu et m'a aidé à encore plus m'adapter au sein de ce roman.

Diane avait renié son héritage marocain depuis quinze ans en quittant Marrakech pour la France. Depuis, elle s'est forgée un caractère et une carapace en fer forgé afin d'atteindre les plus hauts échelons de son secteur d'activité. Dans la trentaine, là voilà alors dirigeante d'une banque d'affaires parisienne. Seulement, sa vie intime n'est pas aussi florissante. Depuis quelques temps dans une relation qui ne semble pas l'épanouir, elle s'est au fil du temps refermer sur elle-même pour ne plus jamais être abandonnée. Mais lors de la mort de sa grand-mère, Diane se voit obligée de fouler à nouveau sa terre natale, Marrakech. Elle apprend être l'héritière directe de tout ce que possédait sa grand-mère, dont notamment la Villa Taylor dans laquelle Diane a également vécu lors de son adolescence. Les souvenirs refluent un à un dans sa mémoire et voit dans la mort de Moune l'occasion de découvrir la vérité sur sa propre mère. Celle qui l'a abandonné à la naissance, celle dont elle n'a jamais entendu parler telle un fantôme qui hante la Villa Taylor. Diane va devoir prendre ses distances avec Paris pour pouvoir enfin déceler la vérité qui ne va pas être simple à découvrir. Entre le jardinier maintenant aveugle et la gouvernante Halima qui vivaient auprès de Moune depuis des décennies, personne ne souhaite rendre plus limpide les investigations de Diane. Elle va devoir alors s'y engager pleinement, sans peur de s'écorcher sur le chemin, car tous les secrets et toutes les vérités ne sont pas forcément bonnes à entendre. Mais il faut dire que Diane a les épaules pour ce genre de défis. Forte, intransigeante, elle sait se faire entendre et reste prête à tout pour découvrir la vérité. Malgré tout, même avec la meilleure des armures, on peut facilement se blesser. Et la jeune femme va parfois croire qu'elle est arrivée au bout de sa résignation et de sa force mentale. Mais heureusement, il y aura toujours quelqu'un ou quelque chose qui va l'aider à se relever. On s'attache facilement à cette jeune femme qui semble réussir facilement à se réintégrer dans cette vie qu'elle a quitté. le mélange entre la culture occidentale et orientale est très intéressante et laisse place à une sorte d'harmonie, bien loin de l'image de conflits perpétuels entre les deux que l'on voit et ressent dans le climat actuel.

À côté de Diane, il y a bien évidemment la Villa Taylor qui regorge d'un patrimoine et d'une mémoire inaltérables. Cette maison possède une véritable histoire, ayant recueilli entre ses murs des personnalités tels que Churchill et Roosevelt. Les auteurs s'emploient à raconter leurs visites dans cette demeure ce qui au départ m'a beaucoup intéressé. Mais il est vrai que lorsque j'étais entièrement ancrée dans les recherches de Diane au travers de Marrakech, je n'ai pas forcément apprécié cette sorte de coupure du récit pour narrer une nouvelle fois un autre épisode sur la Villa Taylor. Parce que oui, je baignais complètement dans cette atmosphère chaude et mystérieuse, où les effluves de menthe volent à chaque recoin. Je me suis profondément attachée à cette femme pour son caractère et parce ce qu'elle est obligée de vivre, d'endurer, pour tenter de connaître davantage celle qui lui a donné la vie. L'aide de Salim va alors être précieuse. Cet homme généreux mais aussi distant va se montrer très important pour la collecte de nouveaux indices. Il va peu à peu prendre une place toute particulière dans la vie de Diane, jusqu'à ce que le lecteur s'interroge réellement sur les choix de Diane à son encontre. Cette dernière devra tout au long du récit faire face à des sacrifices, face à la peur qui parfois la submerge, à la perte d'équilibre de son quotidien pour enfin déterrer les secrets du passé. Diane sait qu'ils vont à jamais bouleverser sa vie, mais elle n'attend que ça, elle qui a toujours manqué d'une mère, elle qui a toujours eu peur de l'abandon.
Lien : http://entournantlespages.bl..
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Très beau roman, assez classique mais vraiment bien écrit, prenant et divertissant. Les personnages sont très vite attachants, y compris le personnage principal et atypique, à savoir la villa Taylor à Marrakech.
Une jeune femme, carriériste dans le domaine de la finance, hérite de la villa de son enfance à Marrakech à la mort de sa grand-mère. Ce sera pour elle l'occasion de revenir sur les traces de son enfance, de la petite fille qu'elle était, partant aussi à la recherche de la femme qu'elle veut devenir.
Après avoir voulu vendre la maison pour tourner la page, elle se laisse envoûter par la maison qui lui révèle peu à peu, par bribes, des éléments qui vont lui permettre de mieux connaître ses origines et en particulier la vie de sa mère qui l'a abandonnée pour vivre une passion amoureuse et dont personne n'a voulu ensuite lui parler. le contraste entre la jeune femme d'affaire, froide et efficace, qui paraît insensible et celle qui se révèle peu à peu est saisissant. D'un côté le monde occidental, individualiste et mené par l'attrait du profit financier dont les auteurs dénonce certains travers, de l'autre le Maroc et son humanité. Ce roman nous emmène littéralement au Maroc ; on a vraiment l'impression de connaître la Villa et son jardin, de ressentir la chaleur du Maroc et de ses habitants… C'est donc un moment de lecture très agréable : évasion et émotions garanties !

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critiques presse (1)
LeFigaro
17 février 2017
Derrière une histoire d'amour, le duo d'écrivains brosse un superbe portrait de la ville.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
Quitter un cimetière après une cérémonie est une épreuve amère.
Jusqu’à la mise en terre, la mort de Moune était une abstraction. J’étais portée par sa mémoire et sa tendresse, j’étais pleine d’elle. Elle vivait comme jamais, trente-cinq années de souvenirs défilaient sans ordre ni raison. Elle ne pouvait être morte, elle était si présente, presque palpable. Peut-être suffisait-il d’étendre le bras pour effleurer sa silhouette fragile ?
Le sol excavé mit un terme à mes divagations : la mort était bien là, habillée de chêne et de bronze. Quand la dernière motte s’effrita sur la terre rouge de Marrakech, les muscles de mon visage se détendirent, ils échappèrent à tout contrôle et, enfin, le masque se fissura.
J’étais seule à présent, le dernier pan du dernier rempart s’était effondré, je n’avais plus de famille et aucun espoir d’en fonder une. La solitude serait ma compagne.
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Métissage... J'aime ce mot, j'en suis un des porte-drapeaux. A Paris ou ailleurs, je fustige les tenants de la pureté culturelle et raciale, les adeptes de l'autre-soi, de la consanguinité sociale, des murs de Berlin, des oeillères mentales et sexuelles. La gérontocratie occidentale jette au visage de l'Orient nos racines Gréco-latines, Judéo-chrétienne oubliant ce que nous devons à l'Egypte, à Babylone, à Sumer, à Istanbul et à l'Islam.
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Je te souhaite de vivre la même expérience, violente et charnelle...solaire... car enfin, tout ce qui reste de nos vies, c'est ce feu, cette intensité, cette joie avant la poussière, cet éclair entre deux néants.
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Quand disparaît ce qui faisait la saveur des jours, ce qui nous semblait naturel, quand on perd ce qu’on imaginait donné par Dieu une fois pour toutes, alors on comprend que le bonheur, c’est l’inconscience du bonheur… Ce bleu vous n’imaginez pas à quel point je m’y suis suis accroché, à quel point il m’enchantait ! Profitez du bleu, du rouge, du vert et du jaune, Mademoiselle Diane, ne pensez pas que le bonheur est pour demain. Le bonheur c’est aujourd’hui ne le laissez pas passer, ne le méprisez pas ! Parce qu’un jour le bleu s’en va, le bleu s’en va toujours…
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L’entendre parler de son métier m’amuse. J’entre dans le monde de l’apparence, de l’illusion, de la séduction, un monde factice dédié au plaisir, un monde onirique zébré de lasers, aux antipodes des marbres glacés et des boiseries sombres des sièges de nos banques.
Pourtant, nos univers sont étonnamment proches. Argent et communication sont l’envers et l’avers d’une même pièce. Les téléspectateurs et les actionnaires sont nos maîtres, l’Audimat et les dividendes nos sanctions. Julien séduit avec des images, moi avec des chiffres. Il assemble rêve et concepts efficaces, je combine prévisions et prise de risque.
Notre vie est aimantée par un seul but : la réussite. Nos actes quotidiens n’ont qu’une finalité : trouver l’idée. Cette quête insatiable, monomaniaque, nous appauvrit et nous mutile, nous sommes des automates stéréotypés en représentation sur une scène sans décors. Le ciel et les odeurs de Paris n’étant guère propices aux errements, aux divagations ou à l’improvisation, le gris noie tout et couvre nos sens d’un voile opaque.
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Videos de Michel Canési (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Canési
Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque dimanche à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • L'amour était presque parfait: Ingrid Bergman et Robert Capa, les amants magnifiques de Jean-michel Thenard aux éditons Seuil https://lagriffenoire.com/l-amour-etait-presque-parfait.-ingrid-bergman-et-robert-capa-les-amants-magnifiques.html • Mes soeurs, n'aimez pas les marins de Grégory Nicolas aux éditions Les Escales https://lagriffenoire.com/mes-soeurs-n-aimez-pas-les-marins.html • Meurtre gourmet à Saint-Malo de Jean-Luc Bannalecaux éditions Pocket https://lagriffenoire.com/meurtre-gourmet-a-saint-malo.html • Piège mortel à Belle-Ile de Jean-Luc Bannalec, Pierre Malherbet aux éditions Presses de la Cité https://lagriffenoire.com/piege-mortel-a-belle-ile-une-enquete-du-commissaire-dupin.html • Un été à Pont-Aven. Une enquête du commissaire Dupin de Jean-Luc Bannalec, Amélie de Maupeou aux éditions Pocket https://lagriffenoire.com/un-ete-a-pont-aven.html • Les marchands de Paris de Lise Kervennic aux éditions Flammarion https://lagriffenoire.com/les-marchands-de-paris.html • le Roi n'avait pas ri de Guillaume Meurice aux éditions Livre de Poche https://lagriffenoire.com/le-roi-n-avait-pas-ri.html • Ultime preuve d'amour de Michel Canesi et Jamil Rahmani aux éditions Livre de Poche https://lagriffenoire.com/ultime-preuve-d-amour.html • Les Bourgeois de Calais de Michel Bernard aux éditions de la Table Ronde https://lagriffenoire.com/les-bourgeois-de-calais-1.html • Des heures heureuses de Christian Authier aux éditions Flammarion https://lagriffenoire.com/des-heures-heureuses.html • Poste restante de Christian Authier aux éditions Flammarion https://lagriffenoire.com/poste-restante.html • Les amies de Nolwenn le Blevennec aux éditions Gallimard https://lagriffenoire.com/les-amies.html • le chemin des étoiles de Landis Blair et Julie Sibony aux éditions Kaléidoscope https://lagriffenoire.com/le-chemin-des-etoiles.html • Les narcisses blancs de Sylvie Wojcik aux éditions Arléa https://lagriffenoire.com/les-narcisses-blancs.html • Les dernières volontés de Heather McFerguson de Sylvie Wojcik aux éditions Arléa https://lagriffenoire.com/les-dernieres-volontes-de-heather-mac-ferguson.html • Les Heures de la nuit ne rattrapent jamais celles du jour de Vanessa Caffin aux éditions De La Martinière https://lagriffenoire.com/les-heures-de-la-nuit-ne-rattrapent-jamais-celles
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