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Le second tome est plus dans l'action. le groupe doit lutter pour sa survie et l'auteur fait preuve d'une imagination fertile pour captiver le lecteur tout le long du récit.
Le récit s'étoffe au niveau des personnages : une araignée cosmique fait son entrée, en même temps que l'ambassadeur des enfers ainsi que des vampires qui se nourrissent des pensées.
La ville a toujours une place de choix et devient physiquement un personnage à part entière


Ce roman, pilier de la new weird fiction, a été une révélation en ce qui me concerne.
J'ai adoré l'originalité du récit et les personnages que j'ai trouvé extrêmement bien construits.
L'auteur a également réussi à faire de la ville un personnage à part entière tant ses descriptions sont réalistes.
Perdido Street Station est une histoire sur le traumatisme et la tragédie, non dénuée d'une certaine poésie. La multiplicité des thèmes abordés (pluralité des races, liberté, consentement, processus artistiques) offre un panel d'émotions tout autant différentes.

J'ai eu un vrai coup de coeur pour cette histoire et j'ai bien envie de poursuivre ma découverte de cet auteur.
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Après un premier tome prometteur mais très brouillon, China Mieville clôture son diptyque avec un deuxième tome qui me laisse, lui aussi, assez mitigée (quoique pas pour les mêmes raisons que son prédécesseur). [Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de lire le premier volume, je vous conseille de sauter la lecture du paragraphe suivant qui risque de contenir quelques spoilers.] On retrouve les protagonistes dans la même situation désespérée que celle dans laquelle on les avait laissés : Isaac a enfin pris conscience du danger mortel représenté par la petite créature ailée qu'il abritait dans son laboratoire... mais trop tard ! Voilà désormais que cinq gorgones ont trouvé refuge dans les hauteurs de Nouvelle-Crobuzon, qu'elles considèrent désormais comme leur terrain de chasse. Entouré d'un petit groupe de marginaux (une journaliste dissidente, un truand, un homme-oiseau, quelques mercenaires...), le scientifique se lance alors dans une quête désespérée pour venir à bout des terribles créatures. Et, si possible, avant qu'elles n'aient eu le temps de pondre... China Mieville parvient à corriger l'un des défauts majeurs de son premier tome : l'éparpillement. Ici, plus question de digresser ! Maintenant que les choses sérieuses ont vraiment commencé, les nombreuses pièces du puzzle, qu'on avait bien du mal à assembler dans la première partie, se mettent enfin en place pour offrir au lecteur un tout cohérent. L'inconvénient, c'est que, si le récit gagne bien en cohésion, le rythme, lui, est toujours aussi problématique. Contrairement au tome précédent, qui se révélait trop décousu et qui faisait avancer l'intrigue de manière relativement lente, celui-ci va au contraire à une vitesse folle. Les personnages n'ont en effet pas une seule occasion de reprendre leur souffle, si bien qu'on a presque parfois l'impression de lire une version accélérée de leurs péripéties. C'est dynamique, certes, mais c'est aussi un peu épuisant, et surtout totalement déséquilibré par rapport au premier opus.

Autre problème qui déplaira sûrement à certains lecteurs : la plume de l'auteur. le style de China Mieville est en effet loin d'être le plus abordable qui soit (il est conseillé d'avoir un petit dictionnaire à côté de soi pendant la lecture !), même si l'ensemble reste, globalement, suffisamment fluide pour ne pas gêner. Non, ce qui pose problème, ce sont les quelques passages (déjà présents dans le premier tome) au cours desquels l'auteur développe les détails de la théorie méta/scientifique élaborée par son personnage. Des passages franchement indigestes, qui condensent des éléments complexes de mathématiques, de philosophie, ou encore d'informatique, le tout pour aboutir à une théorie à laquelle, je l'avoue sans honte, je n'ai absolument rien compris (et très honnêtement, même avec plus de connaissances, je ne suis pas certaine que quiconque puisse comprendre ce dont il est question tant le tout me semble assez perché...). L'auteur ne nous en abreuve heureusement pas pendant les cinq cent pages que comptent le roman qui, dans l'ensemble, reste tout de même agréable à lire (la manière de s'exprimer de la Fileuse est certes très particulière mais pose tout de même moins de problème que les délires scientifiques d'Isaac). Toujours en ce qui concerne les bémols, il convient aussi d'aborder la question des personnages qui, comme dans le premier tome, ne sont incontestablement pas le point fort du récit. Sans être fades ou antipathiques, la plupart n'en demeurent pas moins très distants, et cette froideur n'encourage pas le lecteur à s'y attacher. L'auteur parvient tout de même à nous livrer ici une ou deux très belles scènes dans lesquelles l'émotion est clairement palpable, que ce soit entre Isaac et Lin ou Isaac et Yagharek. Il faut dire aussi qu'il apparaît rapidement assez évident que le personnage central du roman n'est ni le scientifique marginal, ni la journaliste clandestine, ni l'artiste avant-gardiste, ni même l'homme-oiseau déchu, mais bel et bien la ville elle-même. Et quelle ville !

Voilà la raison pour laquelle, en dépit de toutes les imperfections mentionnées plus haut, on prend un immense plaisir à suivre les péripéties rencontrées par Isaac qui nous donne l'occasion d'arpenter les coins et recoins de Nouvelle-Crobuzon. de la même manière que dans « Les Scarifiés » (autre roman de l'auteur situé lui aussi dans l'univers de Bas-Lag), c'est le décor minutieusement dépeint qui marque avant tout le lecteur. Métropole tentaculaire et cosmopolite, Nouvelle-Crobuzon abrite une population d'habitants tous plus exotiques ou repoussant les uns que les autres, et fourmille de quartiers aux ambiances étonnantes et totalement différentes les unes des autres. Après les docks, la banlieue de Chiure ou les arènes de Cadnebar, voilà que la quête d'Isaac et ses compagnons nous font découvrir de nouveaux endroits emblématiques de la cité : le quartier rouge et ses plaisirs interdits ; les égouts qui courent sous la ville et dans lesquels on peut aussi bien tomber sur un nid de goules que sur les vestiges d'un quartier avalé par la terre ; la Serre, qui abritent la majorité de la population de Cactacés de la ville ; l'hôpital Vérulin, immense mouroir pour pauvres dont la vision à lui seul donne des cauchemars, et puis, bien sûr, la gare de Perdido. On arpente avec tour à tour effroi ou fascination les coins et recoins de la ville dont on devine, malgré la vision très complète qu'en donne l'auteur, qu'elle recèle encore quantité de secrets bien cachés. Ses habitants sont d'ailleurs au moins aussi étonnants que ses monuments et quartiers, China Mieville faisant preuve d'une imagination exceptionnelle qui donne naissance à un bestiaire remarquablement étoffé... et complètement farfelu ! Femme-scarabée, homme-oiseau, Fileuse (araignée géante capable d'évoluer dans différents plans de réalité), métallo-thaumaturges, Recréés (hommes ou femmes ayant subi une opération altérant leur physique en y greffant des objets ou des membres appartenant à d'autres créatures), mais aussi gorgone, Mainmises... : le roman foisonne d'espèces plus surprenantes les unes que les autres, et souvent, il faut bien l'avouer, assez repoussantes. Si toutes ces combinaisons ne manquent pas d'originalité, certaines restent tout de même difficiles à visualiser et ne manqueront pas de procurer au lecteur un profond sentiment de malaise.

Bien moins abouti que « Les Scarifiés », « Perdido Street Station » souffre d'une intrigue décousue et manque de figures vraiment marquantes auxquelles le lecteur pourrait s'attacher. Et pourtant, malgré tous ses défauts, le roman n'en demeure pas moins captivant ! China Mieville n'a en effet pas son pareil pour créer un décor et un bestiaire totalement hallucinés qui, s'ils se révèlent souvent déroutants, n'en exercent pas moins une fascination redoutable sur le lecteur, à l'image des ailes déployées par les gorgones que la ville doit ici affronter. Certainement pas le meilleur ouvrage de l'auteur, mais une lecture très recommandable malgré tout.
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Si vous flânez habituellement sur les pages de ce site, vous savez que j'ai une tendresse particulière pour l'écriture de China Miéville. Et au coeur de l'été, l'envie me prit de relire l'oeuvre par laquelle je l'ai rencontré : Perdido Street Station. Ce roman est le premier de sa trilogie se déroulant à Bas-Lag et fut couvert de prix lors de sa sortie. Et ? La magie a de nouveau opéré. Une fois de plus, je me suis plongée avec délice dans la Nouvelle-Crobuzon et ses habitants divers et variés. Si vous ne connaissez pas du tout l'oeuvre du romancier, ce livre — divisé en deux tomes dans la version française — est un endroit particulièrement riche où commencer.
Nous sommes à La Nouvelle-Crobuzon, cité cosmopolite dominée par la gare de Perdido (qui donne son nom au livre). Dans la moiteur de l'été, nous y découvrons un couple trans-espèce : Isaac Dan der Grimnebulin, savant fou humain vivant en marge de la fac, et Lin, crachartiste khépri (regardez la couverture du tome 2 pour vous faire une idée de son apparence). Tous deux vont se trouver mêlés à une sombre affaire de trafic de drogue et à une épidémie de cauchemar qui s'abat sur la ville et laisse les victimes physiquement vivantes, mais ayant perdu leurs consciences.
Au fur et à mesure de l'histoire, Perdido Street Station vous fera découvrir l'ensemble de la Nouvelle-Crobuzon avec ses quartiers aux noms évocateurs : Chiure, Bercaille, Crachâtre, le Marais-aux-Blaireaux, le Palus-du-Chien, La Serre… Non seulement China Miéville s'est ingénié à la peupler d'une foultitude de races étranges (cactus humanoïde, garuda à tête de rapace, mainmises parasites allant par paire une dextrière et une senestre), mais également d'un tissu social, économique et politique très dense et très riche. La science, propre au monde de Bas-Lag pourrait s'apparenter à certains talents magiques ou parapsychiques, mais elle a ses règles propres et donc ses limitations. Elle se mêle également étroitement à la vie sociale et politique de la ville notamment avec la bio-thaumaturgie et les ReCréations que celle-ci permet et leurs conséquences judiciaires et sur le marché de l'emploi. Et non seulement, China Miéville dévoile couche après couche, personnage par personnage, page après page, un monde fascinant, mais il n'en oublie pas de raconter une histoire qui happe son lecteur ou sa lectrice et l'entraîne jusqu'à la dernière page. Attention toutefois, l'auteur n'est pas amateur des happy ends. Traverser des événements aussi impressionnants et épiques ne sera pas sans traces pour ses protagonistes et tous n'obtiendront pas forcément l'issue espérée. le voyage les aura changés et pour certains grandis. Et pour qui le lit ? Perdido Street Station est un récit riche, foisonnant et passionnant. À condition d'accepter de se perdre dans l'univers de Bas-Lag et de se laisser surprendre par votre guide China Miéville.
Lien : https://www.outrelivres.fr/p..
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Un chef d'oeuvre d'originalité qu'on ne referme qu'à contre-coeur. J'ai rarement pris une telle gifle et pourtant j'ai lu plus d'1 millier de livres...

une sorte de Brazil sauce gaborit que Spinrad aurait écrit pour faire simple... Bref unique en son genre, un pur moment de bonheur jusqu'à la dernière ligne.

Je sais que c'est très "lieu commun" de dire ça mais PSS est aussi une critique en profondeur de nos sociétés modernes et de ses dérives: l'horreur des abattoirs, des foires aux monstres, des grèves réprimées par la police, des bidonvilles, des ghettos... de la à penser que c'est un prétexte politique pour diffuser la parole du Trostkyste Miéville il n'y a pas vraiment loin à aller
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Un second tome qui pétarade dans tous les sens ! C'est toujours un plaisir de retrouver l'imagination débordante de China Miéville et les rues de Nouvelle-Crobuzon. La créativité de l'auteur semble être sans limites. L'univers prend des teintes glauques, entre créatures étranges, dangers de tous les côtés et moments vraiment dramatiques. Comme souvent dans ses oeuvres, le scénario est cependant assez exigeant et on ne peut pas lire en sautant des lignes. La fin est très touchante et douce-amère. China Miéville signe avec cette duologie une de ses oeuvres phares.


Lien : https://lageekosophe.com/202..
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Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J'ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n'est pas le genre d'univers qu'il faut laisser reposer sous peine d'oublier des détails clés. C'était vraiment une lecture très intéressante sombre, glauque, cracra au possible, de la dark fantaisy bien dark. le nom du roman évoque la gare de la ville, centre d'une partie de l'intrigue. Ici la ville est le personnage principal, son fonctionnement et sa survie forme le coeur de l'intrigue tandis que les différents personnages servent l'accès aux lecteurs. Parmi ceux-ci, nous avons un chercheur et une artiste. le scientifique est très gris, a un petit côté savant fou ce qui va entrainer certains nombres de soucis qui le dépasse. Quand on lui donne une énigme à résoudre, il se lance à corps perdu et ne voit pas venir le fait que ça va mal tourner. Il a aussi une relation cachée inter-espèce avec une merveilleuse artiste. Celle-ci va être recruté par le chef de la pègre. Tout comme notre chercher, l'appel d'un sacré challenge fait perdre toute prudence. Travailler pour le grand chef de la mafia en quoi est-ce que ça pourrait mal tourner ? Si c'est vraiment la ville, l'héroïne, on se focalise en particulier sur les bas-fonds. Comment on survit ? Comment on s'entraide ou se dénonce ? Comment on se retrouve mêlé à des histoires qui nous ne dépassent ? La première partie pose l'univers et déploie la toile de l'intrigue. C'est dense, lent, on ne sait pas où on va mais on y va car c'est fascinant. La seconde partie est centrée sur l'action, pas le temps de reprendre son souffle tout s'enchaine. C'est un contraste bien maitrisé mais qu'il faut accepter.
L'univers est dingue mais attention c'est une histoire à découvrir quand on a le moral, l'estomac bien accroché et une bonne capacité de cerveau disponible. Entre la complexité de l'univers, l'intrigue où tout s'enchevêtre et la plume très travaillée, ce n'est pas une histoire facile d'accès mais elle en vaut la peine.
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Si le premier tome mettait énormément de temps à démarrer, se perdant parfois dans les méandres d'une Nouvelle-Crobuzon bien trop présente aux dépens des personnages, le final donnait très envie de suivre la suite de cette histoire.
Les recherches d'Isaac pour redonner des ailes à Yagharek avaient directement abouti à la libération d'un danger pour toute la ville et un volet politique émergeait.

C'est ce qu'il se passe avec cette suite où tout ce qui avait été mis en place se regroupe pour enfin se relier en une seule intrigue au rythme soutenu, dans laquelle on voit émerger une finalité.
L'action ne s'éparpille plus et ne se sépare plus qu'entre deux groupes, Buseroux, Tube-Fulcher et Saint-Denis, les dirigeants de la ville, mais surtout Isaac, Dergham, Yagharek et Lemuel qui mènent la chasse aux gorgones qui terrorisent les habitants.

C'est à eux qu'on s'intéresse principalement et j'ai beaucoup aimé suivre leurs aventures, supervisées par la présence étrange de la Fileuse, une espèce d'araignée qui se charge de maintenir la cohérence entre les divers plans, menacée par la présence des gorgones.
Ce petit groupe hétéroclite, formé d'une journaliste, un scientifique, un petit truand et un garuda sans aile, continue son exploration de la ville et on découvre de nouveaux quartiers comme la serre cactacée ou le quartier rouge.
Mais, cette fois, toutes ces pérégrinations, qui passaient jusque là pour des digressions, servent le récit.

Les personnages prennent aussi de l'épaisseur et certains des mystères qui restaient en suspens, comme l'étrange comportement des Artefacts, trouvent ici une réponse, dans un final somme toute assez déprimant mais qui apporte une vraie conclusion à l'histoire de Yag.
La véritable héroïne restera tout de même la ville, cette fascinante Nouvelle Crobuzon et cette étrange population qui l'habite. J'aurai même pu y rester encore quelques temps à parcourir ses rues, en suivant le chemin tracé par China Miéville qui sait décidément parfaitement s'y prendre pour m'embarquer avec lui dans ses histoires.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
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Perdido Street Station est de ces livres inclassables que l'on savoure doucement, avec délectation comme un plat particulièrement délicieux que l'on aura l'occasion de ne manger qu'une seule fois. Mon rythme de lecture a été à l'image de l'évolution de l'action du livre. Si le premier volume se déroule lentement, nous présentant la ville de Nouvelle-Crobuzon dans toutes sa splendeur et surtout dans toute son horreur, ainsi que ses personnages aux apparences et aux moeurs aussi diverses que saugrenues, le second volume nous lance dans l'action avec des scènes parfois violentes et un dénouement tout en demie mesure.

On ne peut parler de Perdido Street Station sans évoquer Yagharek, le garuda aux ailes coupés, qui sans être le personnage principal du livre en est le déclencheur et le point final. Torturé par le crime qui lui a valu de se faire couper les ailes par son peuple et par son désir obsessionnel de retrouver ses facultés de vol, il parsème le récit de ses pensées mélancoliqus. Il est difficile à cerner et à juger : on a envie de le prendre en pitié pour son malheur et de le détester pour ce qu'il a fait.

Perdido Street Station est un roman que je conseille vivement par la richesse de son univers, ses personnages haut en couleurs et attachants et par le style riche et baroque de l'auteur qui sous couvert d'un désordre feint sait parfaitement où il nous emmène.

Lien : https://dragongalactique.com..
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ce premier tome d'une duologie, il m'a mis en panne de lecture. Grande amatrice de SF j'ai découvert China Mieville est un économiste anglais devenu auteur. il a reçu des prix littéraires. Me voila donc embarqué dans le tome 1/2 de "Perdito street station". Ou se mêle en effet SF, fantasy urbaine, horreur et roman social plus dystopie, voir steampunk je dirais. Je n'avais jamais lu autant d'imagination. me voici a découvrir ou pas Nouvelle- crobuzon, une mega ville. OU ? mystère. quand ? idem. ou se croise des humains et bien d'autres créature depuis plus de 1000 ans. Arrive alors un homme oiseau ayant perdu ses ailes et qui demande a un savant fous et génial de l'aider a retrouver ses ailes. et voila qu'a eux deux ils vont libérer a travers de leur recherche une abomination sur la ville entière. Si au début le livre m'a enchanté, ensuite je n'ai trouvé que des longueurs. J'aime bien au départ me balader dans un autre univers très riche, mais la, la promenade se prolonge un peu trop et l'action n'arrive que vers les derniers chapitres que j'ai atteint avec peine. Et en plus bien sur il va falloir que je lise le tome II, ou pas !
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Une deuxième partie qui est plus dans le ton de la fin de la première que le début, bref dans la continuité de la ou j'avais un peu décroché car ça devenais un peu trop bizarre et dérangeant pour moi.

Bref j'ai fini par comprendre ou l'auteur allait mais le virage m'a moyennement plu. de même j'ai regretté la présence réduite de Lin dans cette deuxième moitié.

Si l'univers de Nouvelle-Crobuzon reste malgré tout fascinant il est un peu glauque et particulier pour être vraiment ma tasse de thé et l'intrigue de cette deuxième moitié n'a pas su me convaincre complètement.

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