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La grande guerre de Charlie tome 2 sur 10
EAN : 9781090916006
DELIRIUM 77 (30/11/-1)
4.46/5   13 notes
Résumé :
Dans le premier volume de la série, Charlie a découvert le quotidien dans les tranchées et fait son baptême du feu. Dans ce deuxième volume, l’absurdité et l’horreur se déchaînent et il n’y a plus de répit pour Charlie et ses camarades qui constatent avec amertume que l’ennemi ne se distingue pas seulement par son uniforme, mais qu’il se trouve bien de chaque côté du No Man’s Land. Dans un univers où les deux camps s’entre-tuent dans une surenchère frénétique de nou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Ce tome fait suite au tome 1 : "2 juin 1916 - 1er août 1916". Il contient 30 épisodes de 3 à 4 pages (3 pour ceux de 1 à 23, et 4 pour ceux de 24 à 30) parus au tout début des années 1980. Il y a une introduction de Steve White sur les premiers tanks utilisés lors de la première guerre mondiale, un résumé en 1 page du tome précédent, 5 pages de commentaires de Pat Mills, et une postface de 2 pages de Garth Ennis.

Au fond de la tranchée, Charley s'est porté volontaire pour acheminer un message à l'état major alors que les 12 messagers précédents ont échoué. Ayant accompli cet acte de bravoure, il est pour le moins décontenancé par la manière dont les gradés réagissent audit message. Après cette offensive, il peut passer un peu de temps à l'arrière et assister de visu à l'application de la discipline. En particulier son lieutenant passe en cour martiale pour acte de trahison. Dès septembre 1916, Charley est de retour dans les tranchées et il participe à une offensive (over the top) dans laquelle les soldats disposent de l'appui des tout premiers tanks. Il est désigné d'office pour acheminer des pieux de bois à dos de mule sous une pluie torrentielle, avec toujours le risque de tirs de barrage ennemis. Enfin, il s'endort alors qu'il était de faction de nuit et que l'ennemi effectue une opération commando.

Pat Mills (scénario) et Joe Colquhoun continuent leur évocation de la première mondiale vécue par un tommy anglais (soldat d'infanterie) affecté en France dans les tranchées lors de la bataille de la Somme. L'Histoire est en marche et elle broie les individus sans distinction de classe, ou presque. le simple soldat Charley Bourne continue de servir pour sa gracieuse majesté et découvre des aspects de cette guerre qu'il ne soupçonnait pas. Mills et Colquhoun montrent au lecteur ce quotidien des affrontements, sous un jour d'autant plus horrible qu'il est prosaïque. de ci, de là, le lecteur peut parfois faire la moue devant la narration parfois un peu trop didactique de Pat Mills qui ajoute un mot bref d'explication, ou qui surjoue une émotion. Une fois dépassée ces imperfections narratives, la découverte de la vie de Charley est à l'opposé d'une promenade de santé, et elle permet d'ouvrir les yeux sur la réalité d'un champ de bataille. Cette expression perd sa banalité dépourvue de sens pour devenir des moments concrets, toujours plus absurdes et dérisoires.

Pat Mills conserve sa volonté de rester dans le factuel, de proscrire toute glorification de la violence, de pourfendre tout romantisme des combats, toute ode à la testostérone, tout glorification de la guerre. Il n'a pas pour objectif de condamner l'action militaire de l'Angleterre, mais de montrer le quotidien. Évidemment, le lecteur retrouve déjà des éléments évoqués dans le premier tome tels que l'arbitraire des morts par obus, les séquelles de l'exposition au gaz, le manque d'hygiène (morpions et rats sont au rendez-vous), l'absence de confort basique (pas de douches, pas de place pour dormir) et l'omniprésence de la mort. Ce deuxième tome est également l'occasion d'aborder de nouveaux aspects du conflit. Il y a donc la première utilisation de tanks dans une guerre. L'introduction permet de comprendre que l'utilité d'un tel engin n'avait rien d'une évidence pour l'état major anglais. Les circonstances de l'affrontement amènent Charley à prendre place à bord d'un tank. Et là, le lecteur découvre ou contemple (en fonction de son degré de familiarité avec ce type d'engins) les contraintes d'utilisation pour les soldats. Il s'agit d'un moment exceptionnel dans sa banalité et son évidence, comme dans son horreur puisque cet armement est, pour les soldats, autant un atout (puissance de feu supplémentaire) qu'une source de danger (cercueil roulant et visibilité limitée). Il serait facile d'écarter ce point comme un exemple d'une technologie encore balbutiante, mais il est aussi facile de comprendre que les armes modernes présentent des difficultés d'utilisation similaire. Et Pat Mills n'oublie pas de rappeler qu'à l'époque peu de soldats (appelés comme engagés) savaient conduire un véhicule à moteur.

Mills ne se contente pas de parler de technologie, il évoque également des problématiques plus épineuses, telles que celle de la discipline. D'un coté les soldats meurent sous le feu de l'ennemi ; de l'autre les gradés doivent maintenir une discipline stricte pour éviter toute désobéissance, ou pire toute désertion. Les moyens employés vont des punitions corporelles (Field punishment number one), jusqu'à l'exécution, en passant par la cour martiale. La juxtaposition de la mort sous les balles ennemies, et de la mort sous les balles du peloton d'exécution provoque un haut-le-coeur irrépressible. Pat Mills évoque également la mort des soldats du fait de tirs amis ; le pourcentage de tués correspondant est estimé à 10% lors de la première guerre mondiale. Il met en scène le traumatisme psychologique des soldats soumis aux tirs ennemis et étant témoins de la mort de leurs camarades. L'horreur absurde monte encore lors de la consultation médicale où le praticien doit intégrer à ses diagnostics et ordonnances les nécessités de service (impossible d'exempter de combats tous les blessés). Et il continue d'exposer les manifestations matérielles d'une société où les classes sociales sont fortement marquées. Devant une telle densité thématique, il est facile de faire fi des maladresses narratives et de pardonner le fait que les soldats allemands soient réduits au stéréotype d'ennemis sanguinaires, d'autant plus que Mills a bien fait son travail de recherches.

Il en est de même pour Joe Colquhoun qui produit des planches d'une qualité supérieure aux standards des bandes dessinées anglaises de l'époque. Non seulement, il continue à dessiner des uniformes et des armes conformes à la réalité. En plus il a lui aussi bien effectué ses recherches pour que ses dessins de tanks retranscrivent leur apparence réelle, jusqu'aux rivets servant à boulonner les tôles entre elles. Il inclut des détails qui apportent des spécificités à chaque scène, que ce soit les briques d'un mur, les visages de soldats, leur morphologie et leur langage corporel (l'inoubliable escouade d'appelés allemands), l'agencement des "lits" dans les tranchées, etc. Et il sait tout dessiner : des masques en cottes de maille des conducteurs de char (authentique) jusqu'aux rats et même une poule et un cochon. D'un coté, cela peut sembler normal comme capacités chez un dessinateur ; de l'autre il est rare qu'un artiste soit à l'aise pour tous ces éléments disparates. Or Joe Colquhoun se révèle également un excellent metteur en scène, que ce soit pour l'avancée des tanks, ou, pour beaucoup, plus difficile, un combat aérien vu du sol. Non seulement il arrive à créer des visuels et des approches à chaque fois différentes pour les séquences dans les tranchées (alors que l'environnement change peu), mais en plus il livre des images mémorables. Il faut voir Charley revenir avec un sac à la main et accablé par le poids de l'horreur, ou encore Charley patauger dans la boue, avec un camarade et une mule. Cette séquence est l'exemple même de pages qui font comprendre au lecteur la réalité de la situation. D'un seul coup, grâce aux images, les conséquences de la pluie, du terrain défoncé par les obus deviennent une évidence. Comme pour Pat Mills, Colquhoun atteint parfois ses limites, en particulier quand un personnage dénote trop, comme le beau-frère de Charley au potentiel comique discutable. Par contre le spectacle donné par les militaires eux-mêmes est enchanteur, à commencer par le numéro de ventriloquie.

Avec ce deuxième tome, les rares maladresses narratives (aussi bien scénaristiques que visuelles) disparaissent devant un récit à la force pédagogique exemplaire qui est entièrement au service du récit du quotidien de Charley Bourne, simple troufion exposé en première ligne (au propre comme au figuré) aux combats. Exceptionnel ! La guerre continue dans tome 3 : "17 octobre 1916 - 21 février 1917".
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Quand j'ai commencé cette série, je la savais environnée d'une aura de "BD culte." Quand on en attend beaucoup, qui plus est sur un de ses thèmes de prédilection, on court nécessairement le risque d'être déçu, et c'est ce qui s'est passé – au moins un peu – sur le tome 1 de cette très longue saga (qui en comporte 10 dans sa version intégrale, de 100 pages chacun, soit 1 000 pages en tout !)
L'un des plus gros reproches que je lui faisais, c'était cette tendance à faire de cette guerre une affaire personnelle : Charlie et ses copains avaient leurs ennemis fritz attitrés qu'ils retrouvaient d'un épisode sur l'autre, ce qui est bien peu conforme à la réalité de cette guerre immense et anonyme, alors que par ailleurs, par leur obsession du détail technique, l'authenticité semblait être chez les auteurs une préoccupation majeure. Il y avait aussi cette manière d'accompagner un peu trop le lecteur, parfois, en faisant dire aux personnages ce qu'en temps normal ils se contenteraient de penser (genre : ach ! ces tommies ont tué mon copain, je fais me fenger et leur faire la peau !)
Bref, pour moi c'était bon, mais pas culte.
À la lecture de ce tome 2, là j'avoue que je comprends enfin l'enthousiasme des puristes pour ce truc. N'ayons pas peur des mots : cet album est une putain de tuerie ! (à tous les sens du terme).
Certes, je me suis sans doute habitué au noir et blanc et au format épisodique de 3 pages. Mais pas que. Franchement, le duo Mills Colquhoun s'est apprivoisé et a fait des progrès énormes sur cet opus. Finies ces bien peu convaincantes vendettas personnelles contre Helmudt, Hans et Frantz (je dis des noms au hasard), désormais les seuls ennemis personnels sont quelques officiers incompétents ou policiers militaires trop zélés, ou un beau-frère trouillard, et ce sont des Anglais, c'est-à-dire ceux avec lesquels Charlie doit cohabiter tous les jours. Finies les planches trop chargées, en texte comme en dessin ; et pendant ce temps, les personnages prennent de l'épaisseur, les réparties deviennent excellentes, et l'atout maître du tome 1 (les anecdotes techniques véridiques sur cette sale guerre) reste bien présent, et même davantage encore.
Dans un ensemble saisissant de justesse, l'épisode de l'attaque de char sur Flers – entre autres – est tout bonnement ahurissant.
Ajoutons à cela une préface passionnante et des post-commentaires du scénariste toujours aussi éclairants, et on obtient 22 € foutument bien dépensés.
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La Grande Guerre de Charlie de Pat Mills et Joe Colquhoun est un classique de la BD anglaise qui a connu une première parution en 1979 (dans Battle), cette série est une des meilleures bandes dessinées de guerre. Les traductions en français devraient rassembler entre 2011 et 2014 dix volumes traitant de la Grande Guerre. Une introduction dans le tome 2 de Garth Ennis donne les caractéristiques que présente le héros.

Le premier tome montre les conditions d'engagement d'un jeune volontaire anglais de seize ans au moment où commence la bataille de la Somme. Chaque récit de quatre pages est indépendant, ce qui permet au jeune lecteur d'entrer dans les aventures dans l'ordre de son choix, ceci d'autant plus facilement que chaque tome traite d'une période resserrée, donc homogène, de la Grande Guerre.

Le second volume couvre l'été et le début de l'automne 1916 avec l'arrivée des tanks pour la première fois dans l'histoire, les phénomènes d'automutilation et des fusillés pour l'exemple. Dans les tomes qui suivent, le héros rencontre des déserteurs britanniques qu'il choisit d'aider.

Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
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Charley's War est un chef-d'oeuvre de la bande dessinée britannique, paru sous forme d'épisodes dans la revue britannique Battle entre 1979 et 1986. Excepté quelques épisodes publiés dans les magazines “Bengali” et “Pirates”, cette histoire réalisée par Pat Mills et dessinée par Joe Colquhoun n'avait pas encore réussi à franchir la Manche. Grâce au nouveau label Delirium, fruit d'une collaboration entre les éditions Ça et Là et 360 Media Perspective, c'est maintenant chose faite… et de bien belle manière !

Alimentée par des faits authentiques, ce récit qui traite de la guerre 14-18 invite à suivre les aventures de Charly Bourne : un jeune « Tommy » de 16 ans qui, en mentant sur son âge, se retrouve au front, à quelques jours de la terrible bataille de la Somme. le fait de suivre les pas de ce jeune britannique un peu stupide, mais courageux et foncièrement bon, permet non seulement de plonger le lecteur dans le quotidien de la Première guerre mondiale, mais surtout de lui faire découvrir le point de vue anglais.

Après un premier tome, qui se déroulait entre les mois de juin et août 1916, le lecteur retrouve Charlie au milieu des horreurs du front. Courant dans les tranchées pour aller prévenir les lignes arrières qu'ils sont en train de pilonner leurs propres troupes, Charlie va découvrir que l'ennemi ne se trouve pas uniquement de l'autre côté du No Man's Land. du bombardement de leur camp par leur propre bombardier à la célèbre « field punishment No.1 », en passant par des officiers pourris, cette seconde intégrale dénonce l'injustice et l'inhumanité de certaines actions qui se déroulaient dans le camp des alliés.

Après les attaques au gaz du tome précédent, ce deuxième volet va mettre en avant une seconde arme inventée par l'être humain pour détruire encore plus et encore plus vite : les tanks. Pour les hommes, passer de l'insalubrité des tranchées au huis-clos suffocant de ces engins crachant le feu, n'est pas vraiment une promotion et les chances de survie toujours aussi minces.

Si le réalisme de ces scènes tirées de faits réels impressionne, c'est surtout l'humanité dégagée par cette oeuvre qui fait mouche. Au sein de la Grande Histoire, Pat Mills invite en effet à découvrir les petites histoires de simples soldats. Multipliant les détails et les anecdotes, Pat Mills restitue la dureté du conflit avec grand brio. le graphisme noir et blanc de Joseph Colquhoun fourmille de détails et contribue également à dépeindre le quotidien des tranchées avec énormément de réalisme.

L'une des meilleures bandes dessinées jamais écrites sur la guerre et un troisième volume prévu en octobre 2012.

Retrouvez cet album dans mon Top comics de l'année !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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Dessin admirable, scénario tendu. Et bravo aussi pour les bonus historiques et les commentaires de l'auteur.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
— Mais j'ai vu l'effet des chars sur les fritz, ils étaient morts de trouille ! Si 200 chars avaient traversé le no man's land aujourd'hui, la guerre aurait pu êt' finie à Noël.
— Au lieu de ça, nos crétins d'généraux s'sont servis des tanks trop tôt... par ci, par là... et la prochaine fois, les fritz seront prêts, et comme d'habitude, c'est nous qui l'paierons de nos vies !
— Les généraux voulaient ptêt tester les tanks. Ils avaient ptet raison.
— Ben tiens ! Un général, ça a toujours raison ! Surtout quand il a tort !
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— Monsieur a sonné ?
— Ah, vous voilà enfin, Trotty ! Juste ciel, dans quel état !
— Veuillez m'excuser de saigner, Monsieur, c'est une légère blessure de shrapnel, de peu d'importance.
— Bien, vous pouvez servir le thé, Trotty. Mais je vous en supplie, ne faites pas couler de sang sur les sandwiches au concombre.
— Je vais essayer, Monsieur.
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— Vous voulez rester un lâche toute votre vie ?
— Jawohl, herr oberst !
— Vous avez peut-être besoin d'encouragement ? Qu'est-ce que vous préférez ? Une croix de fer... [il sort son pistolet et le braque sur son interlocuteur] ... ou une croix de bois ?
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— Du calme, "yeux d'fou" !
— Je suis calme ! Tu m'écoutes, le moteur ? Si tu démarres pas c'coup-ci, je vais t'faire des trucs innommables !
Le moteur rugit.
— Bravo Charlie !
— Vous avez vu ? Il savait c'qu'il risquait et il m'a obéi !
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Quel culot ! Vous avez sérieusement endommagé mon char ! Le toupet de ces fritz ! Détruire des véhicules qui n'vous appartiennent pas !
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Au programme de cette vidéo : Rencontre avec Olivier pour une visite de l'exposition Requiem Découvre la série Requiem : https://www.glenat.com/bd/series/requiem
Avec Requiem, récit épique et gothique scénarisé par Pat Mills, Olivier Ledroit avait fait découvrir le versant sombre de son talent. Plébiscitée par les amateurs de dark fantasy, cette série culte sort chez Glénat dans une toute nouvelle édition dont chaque volume est enrichi d'un cahier de 8 pages. L'occasion de (re)découvrir une oeuvre majeure et l'époustouflant graphisme en couleur directe de l'un des meilleurs artistes de sa génération.
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