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Critique de dom007
Je suis absolument ravie d'avoir reçu ce livre par l'intermédiaire de masse critique. le résumé m'avait donné envie de le lire et je dois dire que je n'ai pas été déçue.
Le début du récit relate la montée du nazisme et comment les Allemands ont été de plus en plus impliqués dans cette idéologie et dans la machine de guerre.
Tout en décrivant la vie des soldats, la vie de la population, sa souffrance il donne des clefs pour essayer de répondre à des questions essentielles sur la participation du peuple allemand au nazisme.
La période qui suit le débarquement est également très intéressante car elle est racontée d'un point de vue allemands : les camps de travail en France, aux Etats-Unis, le retour en Allemagne, des villes allemandes dévastées par les bombardements des alliés …
Ce livre ne juge pas, il parle de l'ambiguïté de la guerre, de la souffrance de ceux qui ont dû y participer malgré eux : « du jour au lendemain les deux familles avaient compris que les nazis avaient jeté leur terrible toile sur leur patrie bien-aimée. Ils détestaient Hitler, ils détestaient ses conseillers mais aussi, naturellement, ils voulaient préserver leur vie. Ils avaient de jeunes enfants à protéger ; ils avaient peur de la Gestapo ».
Mais aussi « Il fallu se rendre à l'évidence, la majorité des Allemands appartenaient à la même catégorie : les Mitlaüfer, c'est-à-dire ceux qui avaient suivi passivement »
Passionnant.
Le début du récit relate la montée du nazisme et comment les Allemands ont été de plus en plus impliqués dans cette idéologie et dans la machine de guerre.
Tout en décrivant la vie des soldats, la vie de la population, sa souffrance il donne des clefs pour essayer de répondre à des questions essentielles sur la participation du peuple allemand au nazisme.
La période qui suit le débarquement est également très intéressante car elle est racontée d'un point de vue allemands : les camps de travail en France, aux Etats-Unis, le retour en Allemagne, des villes allemandes dévastées par les bombardements des alliés …
Ce livre ne juge pas, il parle de l'ambiguïté de la guerre, de la souffrance de ceux qui ont dû y participer malgré eux : « du jour au lendemain les deux familles avaient compris que les nazis avaient jeté leur terrible toile sur leur patrie bien-aimée. Ils détestaient Hitler, ils détestaient ses conseillers mais aussi, naturellement, ils voulaient préserver leur vie. Ils avaient de jeunes enfants à protéger ; ils avaient peur de la Gestapo ».
Mais aussi « Il fallu se rendre à l'évidence, la majorité des Allemands appartenaient à la même catégorie : les Mitlaüfer, c'est-à-dire ceux qui avaient suivi passivement »
Passionnant.
