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Berserk tome 1 sur 41

David Deleule (Traducteur)
EAN : 9782723448123
224 pages
Glénat (06/10/2004)
4.26/5   594 notes
Résumé :
Il porte une épée plus grande que lui. Il est muni d'un bras artificiel en acier. Guts, le guerrier, est enrobée de feutrine noire... A son passage, déluge de sang et montagnes de cadavres lui font place. Un elfe du nom de Puck le suit après qu'il ait tiré de mauvais draps. Opposant à la force de Guts son bagout, il est entraîné dans son univers d'ultraviolence. Sur son chemin, des hordes de démons. Sa marque guidera-t-il Guts vers sa vengeance ?
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Critiques, Analyses et Avis (47) Voir plus Ajouter une critique
4,26

sur 594 notes
Autant aller à l'essentiel : "Berserk" est un titre majeur de la planète manga qui présente toutes les caractéristiques de l'oeuvre d'exception, écriture et dessin gagnant sacrément en qualité de tomes en tomes. Toutefois âmes sensibles s'abstenir, car il s'agit d'une oeuvre à ne pas mettre entre toutes les mains (à moins que vous ne vouliez traumatiser à vie un adolescent ^^) : visant à dénoncer les crimes commis par l'humanité, on assiste régulièrement à des scènes d'une rare violence, tant visuelle que morale, qui flirtent régulièrement avec les limites de l'insoutenable. Mais avec le manga "Berserk", jamais l'horreur n'aura été aussi magnifiquement dessinée, jamais l'enfer n'aura été aussi superbe à contempler, et on se retrouve hypnotisés comme les phalènes par le feu malgré quelques nuits de cauchemar en perspective…
R.E. Howard disait qu'il ne savait jamais quelle quantité de violence et d'horreur les lecteurs étaient prêts à endurer… Et bien, avec ce titre vous allez découvrir vos limites, puis sans cesse les repousser ! ^^




Séquence pré-générique : au coeur d'une sombre forêt, le récit débute directement avec notre héros badass forniquant avec une bombasse… Rapidement la belle se transforme en bête et annonce à notre héros qu'il est déjà mort, avant que celui ne réplique que tel est pris qui croyait prendre et ne lui explose la tête avec l'arme à feu intégrée dans son bras gauche (clin d'oeil à l'histoire avec Gottfried le manchot et clin d'oeil au manga avec Cobra l'invincible ^^)
Il s'agit d'un détournement d'une scène du célèbre "Conan" de John Milius, la sorcière bestiale étant ici remplacée par une créature de H.R. Giger (remember "Alien")

Guts c'est un mélange entre Conan le barbare, Solomon Kane le vigilante puritain et Kenshiro le messie karatéka ! le mangaka emprunte beaucoup au héros de son mentor Testuo Hara, mais il en a été si longtemps l'assistant que c'est presque naturel.
Nous le suivons ensuite dans une ville où règne une ambiance lourde et pesante : des mercenaires sans foi ni loi semblent faire ce qu'ils veulent alors que de curieux attelages de femmes et d'enfants sont envoyés à leur employeur, le régisseur du château de Coca… En délivrant l'elfe Puck, Guts fait en massacre parmi les mercenaires et provoque l'intervention du seigneur local puis du régisseur obligé de révéler sa véritable identité et sa véritable apparence. A la violence du démon qui massacre la population (dont le look rappellera de bons souvenirs aux vieux routards de l'animation ou de la fantasy), répond celle de Guts qui déploie toutes ses forces, toutes ses ruses et tout son arsenal contre son adversaire… Nous apprenons alors que le chevalier noir est en quête de vengeance contre les membres de la God Hand, et qu'il traque sans pitié leurs apôtres démoniaques pour les retrouver…

Le 2e récit de ce tome 1 nous montre le quotidien de Guts qui doit combattre jour et nuit (enfin, surtout la nuit) les esprits du mal attirés par la marque du sacrifice qu'il porte sur sa nuque. Recueilli par un prêtre et sa protégée, il doit affronter une horde de zombies au coeur de la nuit. Alors qu'il entrevoit la victoire, le petite blessée et zombifiée assassine et décapite le vieux prêtre… C'est le début du carnage pour Guts qui passe en mode berserker ! Au final un récit qui emprunte aux films de zombies à la George Romero : et c'est cool…
C'est à travers les cauchemars provoqués par un démon incube que nous avons un premier aperçu du traumatisme qui a transformé Guts en chevalier noir…

La fin du tome, consacrée au début de l'arc "Les Anges gardiens du désir", nous montre la déclaration de guerre de Guts au Comte, un Apôtre qui masque ses bas instincts derrière une chasse aux hérétiques, qui ne s'avèrent être que des pauvres hères destinés à assouvir ses appétits inhumains. Après avoir provoqué un carnage parmi ses soldats menés par le colosse Zondarc, Guts prend la poudre d'escampette grâce au mendigot Vulgus, une ancienne victime du Comte mutilée et défigurée qui ne vit plus que pour la vengeance. Il montre à Guts son plus grand trésor, dérobé au Comte : une beherit, la pierre qui permet aux hommes d'invoquer la God Hand et de devenir démon pour satisfaire leurs ambitions !

Un tome 1 plaisant mais intriguant, qui fait bien son taf d’épisode pilote en présentant le héros, l'univers, l'histoire et ses enjeux. le mangaka est encore en début de carrière et oeuvre ici pour la première fois en solo donc les dessins des personnages et des décors sont appelés à s'améliorer, les planches ne faisant que gagner en détails donc en qualité de tomes en tomes. Mais bon sang ne saurait mentir, le découpage et la mise en scène sont déjà excellents ! On pourrait trouver incongrue la présence l'elfe Puck dans un univers aussi sombre et sérieux, mais non seulement nous découvrons Guts à travers ses yeux, mais en plus il joue le rôle de comic relief permettant d'atténuer une violence omniprésente qui teste sans cesse les limites de l'endurance des lecteurs.
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Une femme et un homme, nus, l'un dans l'autre, s'apprêtent à connaître l'orgasme au milieu de nul part. La première se métamorphose alors en créature de cauchemar. le second, en mauvaise posture, tire un canon de son bras et délivre une sanction aussi définitive qu'inattendue. Plus tard on retrouve le même homme dans une cité où il tombe sur une bande de mercenaires en train de maltraiter un elfe. Il leur rappelle, aidé d'une arbalète à répétition et d'une épée aux proportions surréalistes que la cruauté n'est pas l'apanage des tortionnaires. L'elfe ne le quittera plus. Plus tard encore il se fera capturer puis torturer en représailles. Mais là n'allait pas s'arrêter l'histoire de Guts.
Berserk est une série du mangaka Kentaro Miura. Son univers s'inscrit dans un moyen-âge européen, par son architecture, ses rites, sa culture de la guerre. Epique, comme peu peuvent s'en targuer, le récit retrace les pérégrinations de Guts, mercenaire surdoué, mu par la vengeance et perdu dans un univers ou la paix ne semble exister. L'auteur y mêle sciemment, action, érotisme et lutte de pouvoir. Mais le plus remarquable de l'oeuvre du maître est, à mes yeux, sa vision du mal. Les esprits les plus nobles n'attendent que de sombrer dans la perversion ou la folie. Les âmes les plus pures finissent violées, souillées, perverties. La mort n'est pas une fin, seule la lutte permet de repousser l'inéluctable. Quant à la paix, elle précède l'ensevelissement… le salut, ici, a le gout de la damnation. Jamais sous les pinceaux de Kentaro Miura, le blanc ne reste immaculé. L'auteur accouche de planches baroques, volontairement surchargées, à la noirceur à nulle autre pareille, vomissement chaotique tout droit venu des enfers. Un amalgame de membres crispés, de crocs, de griffes, de regards hallucinés, comme autant d'abjections, semble prêt à franchir la barrière des cases. le dessin n'admet, en ces occasions, aucun axiome anatomique, pas plus que le récit n'accepte de morale. Violence et sexe sont inextricablement liés pour toujours atteindre la limite du supportable, source d'un malaise durable chez le lecteur. Guts, le héros de Kentaro Miura n'est qu'un survivant dont l'esprit peut basculer à chaque instant, et dont la cruauté n'a d'égal que l'ignominie des épreuves qu'il traverse. Son humanité est aussi facile à percevoir qu'une épée d'obsidienne frappant par une nuit sans lune. Berserk est le sombre joyau de la fantasy. Kentaro Miura, lui, est à la bande dessinée ce que Rubens est à la peinture, un prophète de la dégénérescence en marche.
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Emprunté à ma fillotte.
(On n'est jamais en phase. Quand je lisais beaucoup de mangas, elle n'en lisait plus, maintenant que je n'en lis quasiment plus (manque de temps), elle s'y est remis, mdr !).

J'ai bien aimé ce tome 1, sans le trouver transcendant toutefois, sans doute parce qu'on ne comprends pas trop ce qu'il se passe ni qui est ce guerrier noir, ce qui fera sans doute l'objet d'éclaircissement dans les tomes suivants.

Par contre j'aime beaucoup le graphisme, et Puck met un peu de légèreté dans le toutim ce qui n'est pas du luxe.

Elle m'a prêté aussi les tomes 2 et 3, donc affaire à suivre.
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Tome 1) Marche à l'ombre

De nos jours on ne présente plus Berserk ; pour ceux qui s'intéressent de près comme de loin à la bande dessinée japonaise, désormais reconnue par tous, le manga de Kentaro Miura y figure comme un classique-incontournable de ce milieu.

La première chose que l'on relèvera de l'oeuvre du mangaka est son avertissement annoncé dès sa couverture «pour lecteurs avertis» présage d'une brutalité ambiante au récit. Augure qui se confirmera dès les premières pages(20-30 premières), Miura ne perd pas de temps à nous expliquer son histoire, il choisira en effet de nous exposer son univers de la façon la plus primaire possible, la sexualité et la nudité. Acte qui véhiculera tout le contraire de sa signification originelle d'amour et de procréation, ici il est synonyme de vulnérabilité et de mort, nous faisant comprendre que la joie n'a pas de place dans le récit de notre héros.

Ce qui frappe également le lecteur c'est la qualité de ces dessins tous plus détaillés et soignés les uns que les autres, le travail sur l'ombre notamment, celle des visages accentuant le ton sombre que veut prendre l'oeuvre. Ils permettront d'exprimer toute cette violence d'une extrême crudité et cette noirceur omniprésente. Les doubles pages sont d'ailleurs extrêmement plaisantes utilisant parfaitement la disproportionnalité de certains éléments ou personnages(l'épée de Guts, démons) rendant les combats plus épiques visuellement.

Sur son fond Miura nous dépeint un univers ultraviolent complètement déshumanisé voire diabolisé où règne une atmosphère d'apocalypse avant l'heure. Guts illustre très bien cette idée, se posant en anti-héros il nous est présenté comme étant un guerrier redoutable laissant derrière lui nulle autre chose que la mort. Véritable machine à tuer il est aguerri ; son corps endurci, ses cicatrices, c'est un borgne au bras mécanique(lui servant d'arbalète), une épée démesurément trop grande pour lui. Tout ceci nous laisse percevoir qu'il a déjà vécu bien des épreuves, surnaturellement fort il combat monstres et humains avec une agressivité déconcertante, il paraît presque immortel mais surtout démoniaque, ses sourires sadiques lorsqu'il fait souffrir ses ennemis, son visage masqué d'un teint très sombre, un regard noir laissant apercevoir une antipathie totale. En loup solitaire Guts marche à l'ombre se fondant parfaitement dans son environnement sombre et belliqueux, entre brutalité physique et morale, le Berserk est guidé par un sentiment vengeur laissant derrière lui un déluge de sang et une montagne de cadavres.

Car c'est de cette manière que nous sommes introduits dans l'histoire, sa quête n'est d'ailleurs pas explicitement dévoilée, Guts est rempli de haine, il semble être sur le chemin de la vengeance où ce qui semble en être à l'origine le poursuit, le mal. Nous ne saisissons par encore le Pourquoi du Comment renforçant le côté mystérieux et mystique, une chose qui dépasse notre personnage, une fatalité. Emprisonné par une marque dont la provenance n'est pas encore spécifiée Guts semble impuissant, son destin scellé par celle-ci le laissant dans un monde où il ne connaît que la douleur, tristesse et la guerre, maudit il apparaît condamné au malheur éternel. Il aspirerait alors simplement à la liberté et au bonheur de la tranquillité, lui étant si tourmenté et oppressé par ces ennemis. Son côté humain réapparait d'ailleurs quelques fois, faiblesse refoulée pour s'endurcir et survivre, elle ressurgit dans des moments d'horreurs (scène avec la petite fille) où la résistance de Guts ne peut transgresser sa nature d'Homme et à le laisser insensible à ce spectacle macabre.

Tout ceci est d'ailleurs très bien mis en scène, il y a ce sentiment constant d'être observé, plusieurs fois dans le tome apparaissent de simples yeux dans l'obscurité traquant sans relâche notre héros, s'invitant même dans son sommeil, ses peurs, le mal l'accule et l'entoure ne lui laissant pour unique choix l'affrontement.

Je veux d'ailleurs relever une case qui m'a vraiment plu se trouvant à la page 180 pour ceux qui auraient le tome pas très loin. La case en question est celle de Guts courant dans une ruelle fuyant les gardes. Je trouve cette scène particulièrement efficace et tristement belle car elle reflète parfaitement le ton fataliste et pessimiste que prend comme atmosphère ce premier tome. Guts est dans une impasse symbolisée par une sorte d'entrée voutée donnant sur lui et une ruelle trop étroite et sombre pour y accéder. le travail sur l'ombre et la noirceur évoqué plus haut est parfaitement caractérisé par cette scène, l'ombre projetée en opposition, dans le chemin-tunnel, inversée à la course de Guts laisse supposer que peu importe que Guts avance ou fasse demi-tour il n'y a pas d'issus, devant comme derrière se trouvent le malheur, la tristesse et la violence(encore le sentiment d'accablement). Et la case qui suit...ce regard vide comprenant ce qui l'attend, Guts fait face à quelque chose qui le dépasse, une divinité. Thème extrêmement présent, d'autant plus avec cette histoire des 5 "god hand".

Il est encore tôt pour le voir comme un véritable problème mais le personnage de Puck m'a particulièrement irrité. Arrivant au moment opportun (facilités scénaristiques) combinant un humour complètement inadapté avec le ton que prend Berserk et commentant tout ce que fait Guts ("Attention derrière toi !") en combat, il m'a paru particulièrement agaçant. Bien qu'utile à l'intrigue étant la faiblesse et la lumière dans un monde dénué de toute lueur symbolisé par Guts. L'idée développée n'est pas inintéressante mais pour le moment à l'état d'embryon. Il aura cependant une réplique très juste «C'est donc ça ton univers Guts» illustrant l'incompatibilité de ces deux êtres, et la souffrance et l'absence d'échappatoire, le perpétuel combat contre son destin pour notre héros.

Malgré un certain cynisme Guts ne semble pas résigné, bien au contraire il hurle sa rage dans un monde cruel où seuls les plus forts survivent. Dans sa résilience il avance et poursuit son objectif, ayant même délaissée une partie de son humanité pour accomplir sa vengeance et se libérer du mal qui ne le quitte pas.

Fresque cauchemardesque, le premier tome de Berserk réussit à captiver le lecteur par son univers médiéval de dark fantasy sublimé par des dessins magnifiques, par son personnage principal ainsi que sa violence viscérale et son intrigue voilée de mystères et d'enjeux sous jacents.
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Nous portons le deuil d'un grand artiste aujourd'hui.

Je pensais faire une critique de Berserk lorsque celui-ci serait enfin achevé. Malheureusement, ça ne pourra jamais être le cas. Je pense donc qu'aujourd'hui est le jour propice pour exprimer mon avis sur ce qu'est Berserk.

Il peut contenir des spoilers.

J'ai découvert Berserk à un âge où je n'aurai pas du. Bien trop jeune pour comprendre ce monde complexe, je n'ai cessé de le recommencer encore et encore. Je savais que je tenais quelque chose de précieux, et j'avais raison. Il est et sera le meilleur manga jamais crée selon moi à tous les niveaux, histoire, personnages, et graphisme.

Nous suivons dans ce manga Guts, un mercenaire en quête de vengeance accompagné de Puck, un elfe bien trop extraverti pour lui. Nous suivons ses débuts, son destin tragique et comprenons ce qu'il a amené à être comme il est aujourd'hui.

Guts est loin d'être un personnage parfait. Il peut être impitoyable, froid, maladroit, seul l'argent compte lui, il n'a jamais réellement connu une marque d'affection, jusqu'au jour où il fait la rencontre de la troupe du Faucon qui changera littéralement sa vie.

Ces moments, je les ai vécu avec Guts. Je me suis liée d'amitié avec les membres de la troupe du faucon, j'ai combattu à leurs côtés, j'ai passé des soirées devant un feu de camp à chanter pour célébrer la victoire des combats, j'ai aimé, ris et pleuré. C'est pour l'une de ses raisons que Berserk m'a marqué, grâce aux personnages. On comprenait Guts, on était heureux pour lui, on vivait chaque moment avec lui et on voulait que ça continue ainsi.

Grossière erreur.

Il ne faut pas oublier que Miura est tout aussi impitoyable que Guts. Si tout semble bien se passer, ce n'est jamais pour longtemps. C'est un univers oppressant et impitoyable envers les personnages.

C'est à partir de là que tout se chamboule. On y connaîtra la plus grande trahison et l'une des péripéties les plus sombres de l'univers manga.

Berserk est une vraie inspiration pour moi. Cet oeuvre m'a accompagné tout au long de ma vie et à participer au développement de ma créativité. Kentaro Miura, laisse un chef d'oeuvre inachevé derrière lui mais cela ne change rien au fait qu'il ai marqué Berserk comme l'une des meilleures oeuvres de dark fantasy. Il vivra à travers ses travaux et je ne me lasserai jamais de les relire pour retrouver Guts, Puck, Casca et le reste de la troupe du Faucon.

C'est avec un gros déchirement que je finis cette critique et porte le deuil d'un grand artiste qui nous a quitté bien trop tôt. Merci à Kentaro Miura d'avoir créé cet incroyable chef d'oeuvre qu'est Berserk.
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critiques presse (1)
Elbakin.net
14 janvier 2013
Très violent, lugubre presque par moments, voilà un manga qui, comme son “héros”, ne fait pas dans la demi-mesure, mais peut se prévaloir d’être sans concession.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
-Mais... Dis-moi... C'est une épée, ça ?
-Elle me sert aussi de plaque de cuisson de temps à autre.
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GUTS.-La vision des faibles me dégoûte. Cela me donne envie de les écrabouiller.
PUCK.-Ben pourquoi ? Ben...
GUTS.-Car vous êtes faibles.
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Un être mourant dans un combat qui n'est pas le sien n'est qu'un rebut. Sa faiblesse ne pouvait le mener qu'à sa propre destruction.
[...]
Quel intérêt y a-t-il à survivre sans mener l'existence que l'on désire, d'ailleurs ?
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Comme tu l'as dit, les humains sont faibles. Ils meurent en un instant. Transpercés, mutilés, ils essaient quand même de survivre. De quoi te donner matière à réflexion pendant les instants qui vont suivre.
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Cette chose était trop grande pour être considérée une épée.
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BERSERK, 2 Ans Après - MENU MANGA #98
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