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EAN : 9782355840739
400 pages
Sonatine (31/12/2013)
2.95/5   62 notes
Résumé :
Le nouveau thriller de Steve Mosby !

Brisé par le suicide de sa femme, Alex Connor a tout quitté : son métier, ses amis, son pays. Lorsqu'il apprend que Sarah, sa meilleure amie, a été assassinée, il revient pour la première fois dans la ville où il a longtemps vécu. La police ne tarde pas à mettre la main sur le coupable. Mais en dépit des indications données par celui-ci, le corps de Sarah reste introuvable.
Pendant ce temps-là, à l'autre bou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Je viens de terminer une lecture décevante . En tout cas pour moi. J'ai trouvé ce récit brouillon, lent, répétitif et le personnage principal exécrable. On a vraiment envie de lui botter le ...! Bref cette histoire où le personnage ne fait que se plaindre était d'un ennui mortel. Rien de crédible. Rien de bien expliquer. Rien de mis en place. Je crois que l'auteur avait oublié de faire un plan avant de commencer à écrire...
Ne vous inquiétez pas je vais m'en remettre.
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Thriller de Steve Mosby l'auteur si adulé de l'excellent Un sur deux qui prouve à quel point l'auteur sait faire monter la tension autant que l'effroi pour le lecteur qui qui accepte de le suivre dans cette plongée aux tréfonds de la noirceur de l'âme humaine et ne pas être trop sensible.

Sur un sujet proche des films d'horreur particulièrement gore comme "Hostel", il nous livre un thriller réussi sur une thématique glauque à souhait qui sonde l'horreur des comportements déviants.
Un thriller de bonne facture, même si un peu classique, avec ce qu'il faut de surprises et de retournements pour que cela permette de remplir son parti, celui tenir terriblement le lecteur en haleine... des exemplaires à gagner sur le blog...


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Il faut reconnaître à Steve Mosby un excellent tour de main. Il sait faire monter la tension autant que l'effroi chez le lecteur qui se demande jusqu'où toute cette histoire va l'emmener. Après, il faut avoir envie de plonger aux tréfonds de la noirceur de l'âme humaine et ne pas être trop sensible. Heureusement, l'auteur tricote son affaire avec une certaine finesse qui évite de sombrer dans le morbide et permet de s'attacher aux personnages au point d'avoir envie qu'ils s'en sortent.

Et ce n'est pas gagné d'avance, parce qu'ils ont tous des passés assez chargés sur le plan psychologique. Alex Connor se remet très mal du suicide de sa femme et traîne sa culpabilité dans un voyage sans fin. Sarah, sa meilleure amie est également marquée par le suicide de son père quand elle avait neuf ans ; devenue journaliste, elle se passionne pour les enquêtes criminelles comme si son lien avec la mort était trop fort. Paul Kearney, l'inspecteur de police traque les criminels en série et cherche à comprendre d'où lui viennent ses horribles cauchemars et sa fascination pour certaines vidéos réservées à une catégorie d'amateurs à la perversité morbide. Lorsqu' Alex apprend la disparition de Sarah, il se décide enfin à revenir en Angleterre et à affronter ses démons. Il reprend pas à pas la dernière enquête de Sarah qui va l'emmener sur des terrains glissants et hautement dangereux. Car il existe sur cette terre des individus prêts à tout pour satisfaire leurs fantasmes les plus vils.

La réussite du livre tient à la psychologie des personnages prompts à susciter l'empathie, ce qui permet de laisser à distance ce qui doit l'être, c'est à dire l'horreur des comportements déviants. On pourra reprocher à l'auteur quelques ficelles un peu trop marquées pour créer l'attente mais, globalement, c'est un bon thriller avec ce qu'il faut de surprises et de retournements pour que ça marche. Et puis on lui saura gré d'éviter de s'engluer dans le macabre comme c'est souvent le cas avec ce type d'ouvrages.

Bref, pour comparer avec ce qui est comparable, je préfère nettement ce "Derniers instants" à "Angor" de Franck Thilliez ; les deux flirtent avec la même thématique mais Steve Mosby semble quelque part avoir un peu plus confiance en la nature humaine, malgré la noirceur qu'il fait ressortir. Et il a surtout la plume plus légère.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Ne pas se retourner ...

Ne-pas-se-retour-ner ...

Bon juste une fois alors vite fait!

Ouf! rien ...

Je deviens folle ? Non! J'ai juste été prise de cette bouffée de délicieuse angoisse qui vient vous serrer la gorge lorsque vous tenez entre les mains un thriller de qualité.

"Derniers instants" fut pour moi le premier de ma rencontre avec la plume de Steve Mosby. Et bon sang .... quelle rencontre. C'est un peu comme le coup de foudre, ça vous prend par surprise et ne vous laisse pas indemne, à la différence qu'ici vous n'êtes pas envahis par une douce chaleur et des papillons, mais vous sentez votre sang se glacer et pire encore vous en redemandez.

Deux intrigues parallèles, deux histoires effroyables, pour un seul voyage au fin fond de la noirceur humaine (oui oui au début ça peut sembler déroutant mais il faut tenir bon le roman en vaut tellement la peine). Une ambiance pesante, lourde, bâtissant peu à peu une sorte de fascination terrifiante pour la mort. Glauque, sombre mais pourtant pas à l'excès. Juste assez que pour être immergé dans les bas fonds de l'intrigue mais en gardant ce soupçon de pudeur qui fait qu'en aucun cas vous n'êtes dégoûtés et qu'envers et contre tout (envers et contre un mercredi après-midi avec un 6ans malade) vous devez savoir, vous devez tourner les pages . Envie de savoir? Envie d'en finir ? Plus aucune façon de faire la différence, seul compte le besoin entêtant de s'enfoncer encore et encore dans les pages et de voir jusqu'où ira l'auteur.

Un thriller captivant et saisissant qui ne laisse pas de marbre. Servi par un rythme constant du début à la fin, il sait ravir les amateurs du genre tout en préservant les plus sensibles (entendez par là ceux qui comme moi détestent les effusions de sang gratuites). C'est sombre oui (très) mais palpitant. Ça ne vous lâche pas (un peu le marche ou crêve du lecteur de thriller), et pourtant si je tiens compte des notes lues à gauche et à droite ce ne semble pas être son meilleur.

Un constat s'impose: je dois lire les autres romans de l'auteur!
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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un tueur qui se prend pour un vampire tue des jeunes femmes. Il est aidé par un peintre qui dessine avec du sang les victimes sur ses tableaux.Les deux tueurs laissent leurs proies dans la campagne anglaise
Une jeune journaliste se met à enquêter quand elle disparaît à son tour;son mari est accusé et mit en prison
Alex, le frère de l'accusé, a quitté l'Angleterre deux ans auparavant et traîne sa peine à travers toute l'Europe. Apprenant par hasard l'incarcération de son frère, il revient
Polar aux multiples rebondissements, je n'ai pourtant pas accroché .Peut être est ce du aux nombreux atermoiements des protagonistes qui nuisent au rythme du livre
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Les profondeurs qu'atteignait la folie provoquaient toujours l'étonnement de Kearney. Plus que les choses qu'elle poussait à faire, c'étaient les raisons sous-jacentes aux actes qui le stupéfiaient, l'intensité du tourbillon que pouvait susciter la folie dans un esprit humain.
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Les choses qu’on oublie sont par définition invisibles, définies uniquement par l’espace vide qu’elles laissent entre les souvenirs auxquels elles se rattachent. Lorsqu’on leur tourne le dos, ça marche. Mais lorsqu’on finit par se retourner, les souvenirs qui les entourent vous sautent aux yeux, et, inévitablement, la forme de ce qui manque apparaît peu à peu. Et il devient de plus en plus difficile de ne pas voir.
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Un homme tel que White ne s'intéressait pas aux pourquoi.
Il n'était même pas préparé au fait que la question était sa propre réponse. Au fait que demander "pourquoi" revenait à braquer une caméra sur un écran. La même image se répétait à l'infini, de plus en plus petite. Cela se produisait spontanément et cela formait un tunnel dans lequel, si on le regardait, on ne pouvait s'empêcher de tomber de plus en plus profondément.
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Les choses qu'on oublie sont par définition invisibles, définies uniquement par l'espace vide qu'elles laissent entre les souvenirs auxquels elles se rattachent. Lorsqu'on leur tourne le dos, ça marche. Mais lorsqu'on finit par se retourner, les souvenirs qui les entourent vous sautent aux yeux, et, inévitablement, la forme de ce qui manque apparaît peu à peu. Et il devient de plus en plus difficile de ne pas voir.
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Faire semblant, ça ne marche pas. Alors mon esprit avait opté pour une autre solution. Plutôt que d’essayer d’effacer cette chose, il l’avait cachée. Et la meilleure façon de dissimuler quelque chose de sombre, c’est toujours de le cacher dans les ténèbres.
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Videos de Steve Mosby (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Steve Mosby
The crime writer Steve Mosby discusses where ideas come from.
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