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EAN : 9782811213299
456 pages
Milady (21/11/2014)
3.52/5   22 notes
Résumé :
Demoiselle d honneur de la reine Anne Boleyn, Eloise Tyrell espère pouvoir un jour se marier selon son coeur. Lord Wolf, un soldat endurci, intrigué depuis l enfance par Eloise, se présente à la cour du roi Henry VIII avec le projet de l épouser.
Alors que la jeune femme déteste ce guerrier qu elle connaît à peine, elle ne manque pas de succomber au désir qu il éveille en elle. Désir qui la terrifie, car l Angleterre se trouve plongée dans un scandale qui mon... >Voir plus
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J'aime beaucoup l'époque des Tudors, même si ces royaux représentants ne m'inspirent guère une folle sympathie, mais je trouve le contexte historique extrêmement intéressant avec cette dynastie ambitieuse qui fait de l'Angleterre une puissance de premier plan... Aussi, la quatrième couverture de cette saga avait-elle complètement titillé ma curiosité, jusqu'à me pousser à me procurer ce 1er tome (oui, cette fois, je ne me suis pas trompée, d'ailleurs, le tome 2 n'est toujours pas paru en français !^^)...

Je dois dire que j'ai été agréablement surprise par le début prometteur : d'ordinaire, les romances historiques n'en portent que le nom et ne sont qu'un prétexte pour faire évoluer des personnages à une époque à la mode, sans souci de réalisme, mais j'ai trouvé que le contexte historique était ici bien intégré à l'intrigue, avec suffisamment de détails et un effort au niveau des dialogues pour que l'on se sente immergé au coeur de cette Renaissance anglaise. L'auteure n'a pas choisi par hasard l'année où débute son histoire puisque le premier chapitre se situe en janvier 1536, soit quatre mois avant l'exécution d'Ann Boleyn (je ne pense pas spoiler en parlant de cet événement, n'est-il pas ?!) !

Eloise est donc depuis deux ans l'une des dames de compagnie de la reine. Elle est tombée amoureuse d'un jeune noble de la Cour, Simon, qu'elle rencontre en secret, malgré son manque de perspective d'avenir. Les rêves d'Eloise de l'épouser en dépit de son statut volent en éclat le jour où son père vient la chercher pour qu'elle épouse le baron Wolf, un guerrier endurci et plus vieux qu'elle... Elle se soumet à contre-coeur à la volonté paternelle et se résigne à respecter les voeux sacrés du mariage tout en se sentant attirée malgré elle par son fiancé... Hélas, la grande Histoire la rattrape peu après son mariage quand elle se retrouve éclaboussée par le scandale qui touche Ann Boleyn et certains de ses familiers...

Malgré les clichés inhérents à toute romance, je plaçais de grands espoirs dans cette chronique de l'ère Tudor qui commençait sous les meilleurs auspices. Malheureusement, l'auteure s'est peu à peu laissée aller à la facilité et aux travers des romances historiques actuelles : comportement des personnages finalement inapproprié pour l'époque, anachronismes, situations ou dialogues trop modernes, psychologie invraisemblable, surenchère dans des scènes sexuelles atteignant des sommets de ridicule...

Le lecteur se rend vite compte que l'héroïne est affligée d'un caractère immature et indécis, de plus en plus agaçant. Tout au long du roman, nous aurons donc droit à ses volte-faces incessantes et incohérentes : elle accepte le mariage, puis le refuse, non par désamour mais par peur que son époux ne partage pas la même passion qu'elle et ne se lasse de son inexpérience (par contre, que le lecteur se lasse de ses sempiternels atermoiements, ça, ça ne lui viendrait pas à l'esprit, hein !!) ; or, peu auparavant, elle était prête à accepter ce mariage juste par confort financier ! Elle aspire à provoquer le désir chez son fiancé, puis s'en alarme "même si elle savait bien que c'était uniquement dans le dessein de concevoir un héritier. Si elle faisait son devoir et lui donnait un fils sans tarder, il la laisserait sans doute tranquille." (page 31). Puis plus loin, nouvelle volte-face : si Wolf la désire, cela la mettrait à l'abri de toute maltraitance....
Oh, puis finalement non, elle doit plaider sa cause pour échapper au mariage ! Tiens, si on fleuretait avec Hugh Beaufort, un ami proche du fiancé pour faire croire à ce dernier qu'il a un rival, et ce, en totale contradiction avec les précédentes paroles qu'elle a eues sur son propre sens du devoir et de l'honnêteté ?

En plus de ses tergiversations, Eloise ne nous épargne jamais ses réactions idiotes à l'égard de Wolf ! Après l'attaque, après le sexe, n'importe quelle occasion lui est bonne pour adresser à son époux des reproches infondés... Franchement, on admire la patience dont il fait preuve à son égard ! Et l'on se dit que l'écervelée ne mérite pas toutes les attentions qu'il lui témoigne ! Enfin, jusqu'à un certain point, car Wolf se met à avoir un comportement et des exigences outranciers, à croire que la bêtise de sa femme a fini par déteindre sur lui !

Pour tout avouer, je n'ai presque rien à reprocher à la première partie, malgré mon agacement sur le caractère indécis de la donzelle, mais la deuxième n'est qu'une succession de scènes grotesques dont l'acmé est atteinte avec la nuit de noces et le séjour des deux époux dans le pavillon de chasse... Je n'ai alors cessé de ponctuer les scènes de sexe de "pfff" de plus en plus blasés et consternés...
Déjà, la condition qu'il lui impose pour consommer le mariage est parfaitement ridicule, en totale contradiction avec sa prévenance habituelle : "Je veux que vous m'imploriez de vous faire l'amour." (page 93)
pffff...

Et il ne se contente pas de cette exigence une seule fois, non, mais à chaque fois qu'il désire faire coulisser son andouillette dans le cresson de sa femme...
pffff...
Ça en devient franchement pénible, en plus d'être ridicule, car la nuit de noces (la nuit de noces véritablement consommée, hein, mais vous comprendrez en lisant le bouquin !) compte une bonne trentaine de pages !

On a l'impression que l'auteure s'est ingéniée, avec une constance déstabilisante, et par-là même admirable, à parfaire, étape par étape, le ratage des scènes de sexe !
Quand la jeune vierge inexpérimentée supplie son époux de la déflorer : "Baisez-moi, Wolf, murmura-t-elle, sincère. Je veux sentir votre queue en moi. Prenez-moi." (page 100).
Franchement, ça mérite un "pffff", non ?

Et quand Wolf a cette intention super glamour :"Il décrivit un cercle du bout de la langue autour de l'un de ses tétons avant de l'attirer entre ses lèvres et de le sucer avec force, comme s'il espérait en tirer du lait." (page 97), re- "pffff" n'est-il pas ?

Et là, la phrase incontournable de toute romance érotico-anglo-saxonne qui se respecte et qui couronne le ratage parfaitement accompli et assumé (ou pas) de toute scène sexuelle : "C'est cela, Eloise, jouissez pour moi." (page 101),
nan mais "pffff", quoi !

Allez, encore une pour la route : "Auriez-vous encore faim, milady ?" (page 114) À votre avis, à quoi fait-il allusion ? et si je vous donne comme indice : c'est fin, ça se mange sans faim ? toujours pas ?
Alors contentez-vous d'un simple "pffff"...

Je clôture tout de même le sujet "scène sexuelle" par celle où il oblige sa jeune femme à.... une gorge profonde... vivivi, vous avez bien lu, une GORGE PROFONDE !!! Ubuesquement stupéfiant, non ? Moi qui croyais que cette pratique sexuelle avait été mise au goût du jour dans un film pornographique éponyme (ne me demandez pas comment je sais ça, cela fait partie de ma culture G - à ne pas confondre avec mon point G, hein !!! - désolée, je craque....)
Là, ça mérite un bon gros "pfff" d'honneur, hein !!!

Donc voilà, l'histoire avait bien commencé, toute romance qu'elle était, grâce aux informations estampillées XVIème siècle que l'auteure égrenaient de çi de là (j'ai bien aimé ses allusions aux contraintes liées au statut de Wolf, ou les différentes conceptions sur le mariage ainsi que certains dialogues...)
Par contre, sa propension à alimenter un faux suspens sur l'incompréhension mutuelle des deux époux devient extrêmement lassante, d'autant que l'on n'y croit pas un seul instant : en effet, les signes ostensibles d'hostilité que se témoignent Eloise et Wolf sonnent complètement faux et donnent un caractère artificiel à ces scènes. Personne ne croit un seul instant à la haine que Wolf est supposé porter à sa femme. Les obstacles à leur bonheur conjugal semblent donc trop surfaits, on a l'impression que l'auteure se force à remplir un cahier des charges sur ce thème.
Moss n'est en outre pas aidée par son héroïne qui enchaîne les réactions idiotes. Eloise se pose tout de même à un moment de l'histoire une question on ne peut plus pertinente : "Pourquoi tenait-elle tant à tout remettre en question ?" (c'est marrant, c'est exactement la question que l'on se pose ! l'héroïne a quand même mis la moitié du bouquin pour arriver à ce constat...).
Malheureusement, ses jérémiades incessantes reprennent de plus belle pour devenir tout à fait insupportables, provoquant chez nous cette réaction épidermique :

QU'ON LUI COUPE LA TÊTE !!!!

Nan mais, y'a pas de raison pour qu'Ann Boleyn soit la seule à être punie !!!

Pour conclure, une histoire dont le potentiel a été largement gâché par les choix narratifs de l'auteure qui multiplie les invraisemblances (et les dérapages !) afin d'amener des rebondissements auxquels on ne croit pas : volte-faces incessants des deux personnages principaux, fausse haine, fausse rivalité, tout finit par sonner faux. le pire est atteint avec les scènes sexuelles, qui ne dépareraient pas dans un film pornographique amateur sans queue ni tête !

Dans tous ces revirements, l'auteure arrive même à se perdre dans les méandres de sa propre histoire puisqu'au début, elle présente la reine comme une femme coupable d'adultère, pour faire ensuite porter la responsabilité au roi (pour le coup on ne peut pas lui en vouloir, car vous ne trouvez pas que ce mec, tout royal qu'il est, est un porc répugnant ?). Peut-être était-ce d'ailleurs délibérée de sa part afin de nous montrer l'évolution de son héroïne, mais l'effet est en tout cas raté !

Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Franchement j'ai adoré. Ce roman m'a un peu rappelé les premières romances historiques que j'ai lues. Lord Wolf est un homme blessé par une femme qu'il croyait amoureuse de lui (rien de nouveau sous le soleil je sais bien) mais c'est aussi un ours doublé d'un rustre maladroit mais tellement adorable à la fin. Éloïse est également un personnage que j'ai adoré qui voudrait être plus qu'un meuble mais nous sommes au 16ème siècle cocotte 😁. Donc ma lecture se passait bien, Lord Wolf faisait son autoritaire et Eloise tentait de se rebeller. Comme je l'ai dit c'est un mariage arrangé donc on se doute que les époux ne vont pas passer leurs soirées à enfiler des perles, d'autant que l'on apprend assez vite que Lord Wolf a de "gros besoins". Il y a donc des scènes de sexe mais genre vraiment beaucoup et autant vous dire que le missionnaire pour nos 2 héros c'est soooo 15ème siècle quoi... ils nous refont le kama sutra. Je pense que ça peut déranger certaines parce que non seulement c'est sportif mais ils ont un langage cru pas du tout adapté à l'époque. Je pense que c'est volontaire cela dit. Personnellement ça ne m'a pas dérangé du tout. En fait les 2 héros éprouvent une attirance bestiale et instinctive l'un pour l'autre et sont juste fusionnels. J'ai surtout adoré l'intrigue en 2nde partie du roman c'était très très bien. Petit bémol au début de ma lecture beaucoup de répétitions comme si l'auteure avait oublié que son héroïne avait déjà exprimé une pensée identique 3 pages plus tôt. Un retour très positif pour moi donc
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Ayant entendu parler de ce livre à maintes reprises, j'ai fini par me lancer dans sa lecture moi aussi.
Et je dois dire que je n'ai pas été déçue. Entre les confrontations d'Éloïse et son mari Wolf et les intrigues à la cours d'Henri VIII, j'ai été captivée d'un bout à l'autre de ma lecture. L'auteur à su mettre se qu'il fallait pour me captiver , une écriture allant droit au but, on ne tourne pas autour du pot pendant X chapitres.
Cependant j'aurai un seul bémol, ce sera pour des scènes de sexes que j'ai trouvé inutiles à l'histoire, dont une en particulier. J'ai trouver la deuxième scène de sexe dans la maison de chasse( celle de la pièce ou ils mangent) dégoûtante et inappropriée ( avis personnel). Passé ce moment le reste du récit ma transporté de bout en bout et même si Wolf est agaçant au début de l'histoire, j'ai parfois eu de la compassion pour lui. Je me suis attaché à pas mal de personnages et j'espère que la suite sera traduite en français car j'ai vraiment envie de connaitre l'histoire de Susannah, la soeur d'Éloïse.

Pour fini un bon tome qui ne sera pas un coup de coeur mais qui mérite d'être lu.
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Il m'arrive parfois de choisir un livre uniquement par sa couverture sans lire le résumé, je ne sais donc pas à quoi m'attendre. Et c'est ce qui s'est produit avec le premier tome de la trilogie « Au temps des Tudors » publié chez Milady en 2014. Seul le premier tome a été traduit et je n'ai aucune information sur une prochaine sortie du tome 2.

Ma curiosité sur la dynastie des Tudors remontent à la diffusion de la série TV « Les Tudors » et au film « Deux soeurs pour un Roi ». Il faut dire que l'histoire de Henry VIII est très riche et source d'inspiration.
Cette curiosité a été piqué au vif dès les premières pages alors qu'Elizabeth Moss nous introduit directement à la Cour d'Henry VIII et d'Anne Boleyn.

Héloise est une des dames de compagnie de la Reine. A ce titre, elle est témoin de certains de ses agissements ce qui la conduira à être en danger. C'est une beauté atypique qui a attiré l'oeil du Roi. En conséquence, son mariage arrangé la sauvera de ses attentions malvenues. Elle est promise à Lord Wolf, un soldat fidèle qui a été récompensé pour avoir mené des batailles. Wolf est un homme caractériel qui est habitué à ce que les femmes lui soient soumises. Héloise lui posera quelques problèmes mais c'est avant tout une femme qui sait où est sa place dans le monde.

Cette période de l'histoire de la Grande Bretagne est fascinante mais il est sûr que je n'aurais pas aimé être une femme à cette époque qui ne représente pour son mari qu'une possession de plus. J'ai apprécié qu'Elizabeth Moss aborde cet aspect là de l'histoire car Héloise, même si elle a du caractère, ne s'oppose pas publiquement à son mari.

La romance est pimentée par la folie d'Henry VIII qui souhaitant se séparer d'Anne Boleyn demande à toutes les personnes ayant connu la Reine de venir témoigner à la Cour.
Malheureusement, le caractère emporté du Roi est un vrai danger pour les courtisans. Wolf va devoir faire preuve d'ingéniosité pour sauver la journée! Cependant, la relation entre Héloise et Wolf souffrant d'un manque cruel de communication est source d'incident.

Je n'ai fait qu'une bouchée de cette romance historique qui est un excellent divertissement. Néanmoins, je ne m'attendais pas à trouver une certaine vulgarité dans les scènes de sexe ce qui m'a relativement décontenancée alors qu'il faut avouer que je suis habituée à les lire depuis le temps. Mais un peu de poésie n'aurait pas fait de mal et cela aurait allégé le style.

Toutefois, j'espère que la suite sera traduite et publiée en France. Je suis très curieuse de connaitre les aventures de la soeur d'Hélios. J'ai beaucoup apprécié le fait que les intrigues de la Cour et la réalité historique se mêlent à une romance inventée de toute pièce.
Lien : https://darcybooks.wordpress..
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Encore une lecture que j'avais pris avec moi pour lire en vacances au bord de la piscine, qui une nouvelle fois est sans prise de tête, mais sans réelle surprise non plus.

Éloïse est donc demoiselle d'honneur à la Cour de Henry VIII quand son père vient lui annoncer qu'il va la marier à Lord Worlf, un homme qu'elle doit avoir croiser une ou deux fois pendant sa jeunesse dans le Yorshire. Éloïse qui n'a aucune envie de n'être qu'une possession pour son mari va tenter de se libérer de cet engagement, mais c'est sans compter la volonté et la persuasion de Lord Worlf.

J'avoue avoir un peu de mal à formuler ma chronique, car même si le roman ne m'a pas déplu (je n'irai pas jusque là) il ne présente rien qui n'ait pas déjà été vue et revu dans ce genre de bouquin. Il n'y a rien de vraiment transcendant: une héroïne un peu naïve en ce qui concerne l'amour, et un homme froid et autoritaire, mais qui se révèle être un merveilleux amant (toujours selon le point de vue de l'héroïne vierge et naïve).
Attendez-vous donc à quelques scènes bien épicées tout au long de votre lecture. Celles-ci ne sont pas en option.

Cependant, le contexte historique apporte quand même un petit plus à l'histoire. On voit sous un autre angle les relations entre Henry VIII et Anne Boelyn, ainsi que la fin tragique de celle-ci.
On a même droit à une petite intrigue à ce propos, ce qui amène un peu de suspense dans l'histoire.

L'écriture de l'auteure est néanmoins assez agréable à suivre. Elle nous offre de suivre l'histoire du point de vue de ses deux personnages principaux, ce qui nous permet de mieux les appréhender et mieux les comprendre (surtout Lord Wolf en fait).

Ce premier tome n'est donc pas une surprise en soi, mais il reste une lecture agréable qui passe assez bien quand on a envie de lire quelque chose de léger.
Lien : http://cranberriesaddict.blo..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Janvier 1536, Greenwich Palace, aux abords de Londres.
Les rires cristallins qui émanaient des appartements de la reine résonnaient dans tout le corridor et jusque dans les jardins. Éloïse n'ignorait pas que, s'ils se faisaient surprendre, ils seraient exécutés. Lady Margaret avait beau monter la garde a l’entrée de l'aile ouest, la cour du roi d'Angleterre n’était pas un lieu propice aux secrets. Des rumeurs circulaient déjà au sujet des infidélités de la reine, mais comme personne ne souhaitait s'attirer les foudres du roi, elles demeuraient discrètes.
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