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Critique de Imeine
En saisissant ce roman, je me suis dit que j'avais fait une erreur, que les histoires d'amour ce n'est pas pour moi, que j'allais forcément trouver ça niais.
Je n'aurais pas pu plus me tromper ! Ce n'est pas une simple histoire d'amour, Avant toi est un roman d'émotions. D'émotions fortes qui surgissent en rires irrépressibles et en grosses larmes qui coulent sans vouloir s'arrêter sur le visage.
J'ai adoré. Voire même plus qu'adoré, j'ai fini par, en deux jours, ne plus pouvoir lâcher ce livre, ne plus pouvoir m'empêcher d'y penser jusqu'à ce que je l'ai fini, que je sois arrivée au bout, au dernier point.
Jojo Moyes a su créer des personnages qui ont une personnalité forte et empreinte de réalisme, qui nous bouleversent et nous touchent depuis leur monde de papier. Louisa, Will, Treena, Nathan, Mme Traynor et les autres sont si réels, si complexes, si paradoxaux qu'ils deviennent humains. Je les ai aimés, chacun, pour leur originalité, leurs mots.
Ah leurs mots. Leurs mots ! Je ne dirais pas que Moyes a une plume d'une poésie remarquable, mais que sa simplicité est teintée d'une beauté qui reflète les personnages. Elle ne cherche pas à éblouir par des métaphores tordues, ni à établir des jeux de sons, mais plutôt à faire vibrer la corde de l'émotion du lecteur, et probablement aussi la sienne par la même occasion. Et dans ce registre, aucun problème, elle est maître.
Je n'aurais pas pu plus me tromper ! Ce n'est pas une simple histoire d'amour, Avant toi est un roman d'émotions. D'émotions fortes qui surgissent en rires irrépressibles et en grosses larmes qui coulent sans vouloir s'arrêter sur le visage.
J'ai adoré. Voire même plus qu'adoré, j'ai fini par, en deux jours, ne plus pouvoir lâcher ce livre, ne plus pouvoir m'empêcher d'y penser jusqu'à ce que je l'ai fini, que je sois arrivée au bout, au dernier point.
Jojo Moyes a su créer des personnages qui ont une personnalité forte et empreinte de réalisme, qui nous bouleversent et nous touchent depuis leur monde de papier. Louisa, Will, Treena, Nathan, Mme Traynor et les autres sont si réels, si complexes, si paradoxaux qu'ils deviennent humains. Je les ai aimés, chacun, pour leur originalité, leurs mots.
Ah leurs mots. Leurs mots ! Je ne dirais pas que Moyes a une plume d'une poésie remarquable, mais que sa simplicité est teintée d'une beauté qui reflète les personnages. Elle ne cherche pas à éblouir par des métaphores tordues, ni à établir des jeux de sons, mais plutôt à faire vibrer la corde de l'émotion du lecteur, et probablement aussi la sienne par la même occasion. Et dans ce registre, aucun problème, elle est maître.
