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Cherub tome 11 sur 18
EAN : 9782203035362
480 pages
Casterman (13/02/2013)
4.32/5   367 notes
Résumé :
De retour d'un long séjour en Irlande du Nord, l'agent Dante Scott se voit confier une mission à haut risque : accompagné de lames et Lauren, il devra infiltrer le Vandales Motorcycle Club, l'un des gangs de bikers les plus puissants et les plus redoutés d'Angleterre.
Leur objectif : provoquer la chute du Führer, le chef des Vandales. Un être sanguinaire dont Dante, hanté par un terrible souvenir d'enfance, a secrètement juré de se venger...
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Très longue introduction (presque 100 pages) et retour vers le passé (l'arrivée de Lauren au centre). Un tome assez sombre, surtout cette introduction d'ailleurs, permettant de mettre en scène un nouveau personnage, dont on reparlera certainement par la suite vue son attachement à Lauren.
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Bonjour !
J'avoue avoir mis du temps à finir ce tome-là... On commence la lecture par une violente bataille, où le père de 2 enfants encourage un de ses enfants à tabasser l'autre. Sympa comme début d'histoire, avec en supplément des propos homophobes. Bon, la mise en scène est parfaite, et on entre direct dans la lecture, mais c'est assez troublant de commencer un roman comme ça !...

Comme dit dans plusieurs critiques, le début est assez long, l'histoire se met en place seulement après une centaine de pages (l'équivalent de 2 semaines de lecture pour moi, donc l'histoire est assez floue chez moi). On se rend compte à ce stade-là, que le début se passe dans le passé des tomes précédents, afin de ramener le héros (Dante, je ne vous l'avais pas présenté, très attachant ce gars-là) à Lauren, et James !

Je trouve personnellement, que Dante aurait du être le personnage principal de tous les tomes précédents à la place de James, il m'inspire plus confiance, et est plus attachant que James.

Que dire d'autre ? L'histoire est bien tournée, et originale, exactement ce que je voulais pour ce tome, mais la fin est quelque peu troublante

Bonne lecture finalement, je lirai sûrement le tome suivant dans quelques mois !

Bonne lecture et 193 critiques !
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Vandales, le onzième tome de la série Chérub, que l'on ne présente plus, est très plaisant à lire et captivant comme tous les tomes précédents signés par Robert Muchamore, ce qui n'est pas forcément une mince affaire en littérature. Savoir tenir en haleine un public toujours plus exigeant et qui veut que chaque tome soit pareil sinon mieux que le précédent, n'est pas chose aisée et pourtant Muchamore a réussi, une fois de plus.
En deux jours Vandales est avalé, tellement nous sommes pris par le récit. Muchamore nous entraîne dans une histoire toujours très mouvementée, crédible car sans aucun gadget, le tout reposant juste sur l'aptitude des agents de Chérub à s'adapter au milieu.
Lire l'immersion de Lauren, James et Dante s'est révélée palpitante et passionnante, bien que se soit toujours sur les mêmes principes que l'histoire se construit : séductions, scènes d'affrontements, suivi des suspects...Mais avec Vandales j'ai tout de même eu l'impression de lire un nouveau récit car d'un tome sur l'autre, Robert Muchamore introduit des variables et fait de son histoire, un texte singulier, à part, s'inscrivant dans la lignée de tous les autres tomes de Chérub tout en conservant son autonomie.
Ce que j'ai particulièrement apprécié dans Vandales c'est l'introduction d'une première partie, uniquement centrée sur le passé de Dante Scott, qui revient sur une centaine de pages sur son ancienne vie, le meurtre de sa famille et son entrée à Chérub. C'était comme le début d'une deuxième époque dans la série, avec l'introduction d'un nouveau personnage à suivre. Et oui, profitons en pour mentionner que James va bientôt devoir quitter Chérub, il a seize ans, l'âge maximal pour être agent de Chérub est dix-sept ans et le douzième tome sera donc aussi l'ultime tome de Chérub, ou du moins centré sur James. En effet, comme beaucoup de "fans" j'aimerai vraiment que Muchamore continue la série, en dépit de l'existence d'Henderson Boys, qui narre le début de Chérub.
Mais revenons à Vandales et disons simplement que le livre, plus épais du fait de l'existence inédite de cette première partie, nous emporte dans l'histoire qui s'échafaude au fil des chapitres. le personnage de Dante Scott a vraiment été travaillé par Muchamore et il vole presque la vedette à James, même si on retrouve souvent notre agent préféré dans la seconde partie.
L'humour au milieu de ces scènes d'actions et de tensions est toujours présent, de même que les passages plus distrayants, moins focalisés sur la mission, permettant de voir que les agents de Chérub sont aussi des humains.
Chérub, une fois de plus fait passer au lecteur un moment agréable, sans prise de tête, idéal pour une lecture-loisir, de détente, tel un bon James Bond pour ados.
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Dante Scott a vu toute sa famille se faire éliminer devant ses yeux. Il est le seul témoin. Mais face à un des plus puissants club de bikers sa vie ne tient qu'à un fil. C'est alors qu'il intègre l'organisation Cherub et quelques années plus tard, il se voit confier une mission dans laquelle il va devoir être confronté à ses anciens camarades devenus ses pires ennemis. Arrivera-t-il à contribuer à l'arrestation de cette mafia en Harley? La toile se tisse peu à peu et le lecteur retient son souffle...
Parution en poche de cet excellent opus.

Le monde des motards fait souvent rêver mais dans ce récit c'est la peur qui domine vis à vis de ces clubs, avec leurs codes, leur mode de vie, et parfois leur violence. le récit commence fort avec un combat de catch improvisé, se poursuit avec les tentatives pour la police pour protéger le témoin. Puis c'est l'arrivée à Chérub et le montage de la mission. Un très bon tome qui peut se lire indépendamment.

Lien : http://0z.fr/03zC2
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Et voilà des bikers pour cette nouvelle mission de CHERUB ! Une mission qui pourrait en surprendre plus d'un...



Premièrement parce que l'histoire débute en suivant Dante Scott, un enfant dont le pére, biker, va être tué par le chef de son gang, un type se faisant surnommé le Führer. Des années plus tard, Dante est devenu agent du CHERUB et va être amené à devoir infiltré le gang, en compagnie de James et Lauren...



Comme tous les romans de la saga, celui-ci se lit assez vite e ton est rapidement pris par l'histoire, qui consacre pas mal de temps à présenter Dante Scott. Ce qui n'est pas plus mal car son histoire, son parcours, et son désir de vengeance sont intéressants. L'histoire en elle même prend aussi un chemin inattendu, et un final surprenant pour un tome de la saga. Une maturité que l'on retrouve aussi chez James qui semble enfin commencé à avancer un peu. L'écriture restant simple et fluide, ce tome devrait tout autant plaire aux amateurs. Et moi, il m'a convaincu en tout cas, même s'il semble aller un peu trop vite sur la fin...
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Le dimanche matin, James achevait de préparer bagages et matériel lorsque Kerry entra dans sa chambre pour lui dire au revoir avant son départ en mission.

Comme elle semblait un peu maussade, James se décida à aborder la question de leur relation. C’était l’occasion d’en avoir le cœur net.

— Cette opération est liée à une vente d’armes mise en place par la police, expliqua-t-il. Toutes les dispositions sont déjà prises. Selon moi, nous ne resterons pas loin du campus plus d’un mois ou deux. Je suis impatient de te retrouver. On s’entend plutôt bien, en ce moment.

Kerry lâcha un bref éclat de rire.

— Ça a toujours été comme ça, tant qu’on n’est pas en couple.

James glissa son iPod dans une poche latérale de son sac de voyage.

— Mais on a grandi. On est sortis avec d’autres personnes. Je sais qu’on a déjà rompu deux fois, mais je crois qu’on était trop jeunes pour construire quelque chose de solide.

Kerry fit un pas en avant, si bien que son nez frôla le menton de James. Elle portait encore le T-shirt et le pantalon informes qui lui servaient de pyjama. Son parfum était enivrant.

L’imagination de James s’enflamma. Il envisagea de la jeter sur le lit et d’arracher ses vêtements, mais il courait le risque d’être battu à mort. Il se contenta de déposer un baiser sur ses lèvres. Kerry ne fit rien pour l’en empêcher. Au contraire, elle passa les bras autour de son cou et laissa ses mains courir sur ses fesses.

Trente secondes s’écoulèrent avant qu’elle ne se dégage et ne recule d’un pas. Ils se regardèrent sans dire un mot, tous deux stupéfaits.

— Pourquoi tu t’en vas ? demanda James.

Kerry haussa les épaules.

— Je ne devrais pas me lancer dans une nouvelle histoire avec toi alors que tu es sur le point de partir en mission.

— De quoi tu parles ? demanda James.

En vérité, il connaissait parfaitement les raisons qui poussaient son amie à interrompre leur embrassade.

— Je parle de ta réputation, répondit Kerry. De ta manie de sauter sur toutes les filles qui ont le malheur de croiser ton chemin. Quand tu reviendras, nous discuterons de notre avenir, mais pas avant.

— Tu veux dire que tu accepterais qu’on se remette ensemble ? Mais… mais si tu pars en mission avant mon retour ?

— C’est ce qui me préoccupe, justement. Je ne veux plus d’une relation longue distance. Je ne veux pas te tromper, et je ne veux pas que tu me trompes. Si ça se trouve, ils vont m’envoyer passer un an en infiltration dans l’entourage d’un beau gosse bronzé et plein aux as, et je ne veux pas manquer ça.

— Mais c’est moi, le beau gosse bronzé, plaisanta James, et tu peux m’avoir tout de suite. J’ai une pleine boîte de Durex, si ça peut te rassurer.

Kerry éclata de rire.

— Tu es craquant, par certains aspects, mais l’homme de mes rêves n’a pas de boutons dans le dos.

— Mes hormones me jouent des tours. Ça prouve que je déborde de masculinité.

— Masculinité ? C’est comme ça que tu appelles le liquide blanchâtre qui perle de ces bubons ?

Elle l’embrassa furtivement puis se dirigea vers la porte.

— Je dois m’occuper des T-shirts rouges au dojo à huit heures et demie. J’ai juste le temps de me changer. Bonne chance pour la mission. Envoie-moi des SMS, d’accord ?

— Promis, marmonna-t-il.

Dès que Kerry eut quitté la chambre, il se précipita vers son bureau, s’empara d’une règle en plastique, la brandit au-dessus de sa tête puis se planta devant le miroir de la penderie.

— Par le côté obscur de la force, je jure solennellement que je coucherai avec la chaste Kerry Chang, quoi qu’il en coûte !

Effaré par son propre comportement, il jeta un dernier regard à la pièce sans cesser de ricaner comme un demeuré, ramassa ses bagages, puis s’engagea dans le couloir menant aux ascenseurs.
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Le dimanche matin, James achevait de préparer bagages et matériel lorsque Kerry entra dans sa chambre pour lui dire au revoir avant son départ en mission.
Comme elle semblait un peu maussade, James se décida à aborder la question de leur relation. C’était l’occasion d’en avoir le cœur net.
— Cette opération est liée à une vente d’armes mise en place par la police, expliqua-t-il. Toutes les dispositions sont déjà prises. Selon moi, nous ne resterons pas loin du campus plus d’un mois ou deux. Je suis impatient de te retrouver. On s’entend plutôt bien, en ce moment.
Kerry lâcha un bref éclat de rire.
— Ça a toujours été comme ça, tant qu’on n’est pas en couple.
James glissa son iPod dans une poche latérale de son sac de voyage.
— Mais on a grandi. On est sortis avec d’autres personnes. Je sais qu’on a déjà rompu deux fois, mais je crois qu’on était trop jeunes pour construire quelque chose de solide.
Kerry fit un pas en avant, si bien que son nez frôla le menton de James. Elle portait encore le T-shirt et le pantalon informes qui lui servaient de pyjama. Son parfum était enivrant.
L’imagination de James s’enflamma. Il envisagea de la jeter sur le lit et d’arracher ses vêtements, mais il courait le risque d’être battu à mort. Il se contenta de déposer un baiser sur ses lèvres. Kerry ne fit rien pour l’en empêcher. Au contraire, elle passa les bras autour de son cou et laissa ses mains courir sur ses fesses.
Trente secondes s’écoulèrent avant qu’elle ne se dégage et ne recule d’un pas. Ils se regardèrent sans dire un mot, tous deux stupéfaits.
— Pourquoi tu t’en vas ? demanda James.
Kerry haussa les épaules.
— Je ne devrais pas me lancer dans une nouvelle histoire avec toi alors que tu es sur le point de partir en mission.
— De quoi tu parles ? demanda James.
En vérité, il connaissait parfaitement les raisons qui poussaient son amie à interrompre leur embrassade.
— Je parle de ta réputation, répondit Kerry. De ta manie de sauter sur toutes les filles qui ont le malheur de croiser ton chemin. Quand tu reviendras, nous discuterons de notre avenir, mais pas avant.
— Tu veux dire que tu accepterais qu’on se remette ensemble ? Mais… mais si tu pars en mission avant mon retour ?
— C’est ce qui me préoccupe, justement. Je ne veux plus d’une relation longue distance. Je ne veux pas te tromper, et je ne veux pas que tu me trompes. Si ça se trouve, ils vont m’envoyer passer un an en infiltration dans l’entourage d’un beau gosse bronzé et plein aux as, et je ne veux pas manquer ça.
— Mais c’est moi, le beau gosse bronzé, plaisanta James, et tu peux m’avoir tout de suite. J’ai une pleine boîte de Durex, si ça peut te rassurer.
Kerry éclata de rire.
— Tu es craquant, par certains aspects, mais l’homme de mes rêves n’a pas de boutons dans le dos.
— Mes hormones me jouent des tours. Ça prouve que je déborde de masculinité.
— Masculinité ? C’est comme ça que tu appelles le liquide blanchâtre qui perle de ces bubons ?
Elle l’embrassa furtivement puis se dirigea vers la porte.
— Je dois m’occuper des T-shirts rouges au dojo à huit heures et demie. J’ai juste le temps de me changer. Bonne chance pour la mission. Envoie-moi des SMS, d’accord ?
— Promis, marmonna-t-il.
Dès que Kerry eut quitté la chambre, il se précipita vers son bureau, s’empara d’une règle en plastique, la brandit au-dessus de sa tête puis se planta devant le miroir de la penderie.
— Par le côté obscur de la force, je jure solennellement que je coucherai avec la chaste Kerry Chang, quoi qu’il en coûte !
Effaré par son propre comportement, il jeta un dernier regard à la pièce sans cesser de ricaner comme un demeuré, ramassa ses bagages, puis s’engagea dans le couloir menant aux ascenseurs.
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Vous serez ce qui se serait passé si nous étions restés dans la légalité? poursuivit McEwen. Nous vous aurions appréhendés. Sur le conseil de vos avocats - fournis par les Vandales, cela va sans dire-, vous auriez déclaré que vous ne saviez pas ce qui se trouvait dans ces boîtes, puis vous l'auriez bouclée. Vous auriez plaidé coupable de simple détention d'armes, et vu que vous êtes de gentils garçons bien proprets au casier rigoureusement vierge, vous auriez récolté trois à six mois dans un établissement pour mineurs. A votre sortie de taule, le Fürhrer vous aurait refilé quelques milliers de livres à titre de dédommagement.
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Alors, il réalisa qu’une large tache de sang s’était formée dans le dos de la fillette. Elle resta silencieuse lorsqu’il la déposa sur le sol de béton. Il replaça son petit doigt dans sa bouche.

Elle demeura immobile, les yeux clos, le front perlé de sueur. Elle respirait, mais elle restait aussi raide qu’une poupée de cire.

- Je suis désolé de t’avoir fait mal, murmura Dante.

Il dégagea le vélo de Lizzie et défit l’attache Velcro de l’une des sacoches. Après avoir ôté un manuel d’histoire et un classeur de sciences, il souleva Holly, l’y installa aussi confortablement que possible puis replaça le rabat en prenant soin de laisser un interstice pour qu’elle puisse respirer.

Dante était beaucoup plus petit que Lizzie. Lorsqu’il essaya de se mettre en selle, il constata que ses pieds ne touchaient pas le sol. Du coude, il dut maintenir la bicyclette inclinée contre la paroi du garage pour pouvoir donner le premier coup de pédale. Il zigzagua sur quelques mètres puis, ayant rectifié sa trajectoire, remonta l’allée bordée d’arbres qui menait hors de la propriété.

Craignant de se retrouver confronté au complice du Führer, il ralentit à l’approche de la chaussé goudronnée. Il regarda à gauche et à droite, se pencha en avant pour actionner le bouton commandant le feu avant du vélo, et s’élança sur la petite route de campagne.
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Lauren Onions – désormais rebaptisée Lauren Adams – sortit de l’ascenseur et foula la moquette du huitième étage du bâtiment principal. Elle portait le T-shirt noir. Son amie Bethany Parker, qui l’accompagnait, portait le T-shirt bleu marine, obtenu l’année précédente à son retour d’une mission de huit mois au Brésil.

- J’ai un devoir de maths à terminer, gémit cette dernière. On devrait faire circuler une pétition pour réclamer l’abolition des devoirs les jours d’anniversaire.

- Tant qu’à faire, on pourrait exiger la suppression de tous les devoirs. Et exiger une glace au caramel par élève au début de chaque heure.

- Et réclamer que les profs soient remplacés par des sosies de Rafael Nadal qui feraient cours torse nu.

Lauren éclata de rire.

- Je soutiens cette proposition à mille pour cent.

Bethany ouvrit la porte de sa chambre. Une déflagration lui déchira les tympans, puis un éclair bleu la contraignit à fermer les paupières. Elle recula vers le couloir et vit des étincelles oranges et vertes flotter devant ses yeux. Un sifflement assourdissant se fit entendre, mêlé à des chocs sourds à faire trembler les murs.
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Vidéo de Robert Muchamore
La série de l'auteur de CHERUB, Robert Muchamore.
Jay, Summer et Dylan ne se sont jamais rencontrés. Pourtant, ils partagent le même rêve de gloire. le premier ne vit que pour son groupe de rock. le deuxième possède une voix à couper le souffle. le troisième a de la musique plein la tête et des mains de virtuose.
La musique était leur passion, elle va devenir leur combat.
En partenariat avec NextPlz et OuïFM.
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