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Critique de bina
Après avoir lu et beaucoup aimé la trilogie 1Q84, j'ai voulu lire d'autres ouvrages de Murakami, pour la plus grande joie de mon libraire. C'est par Les attaques de la boulangerie que je viens de commencer, pour mon plus grand malheur.
Ce petit livre est un recueil de deux nouvelles qui sont liées et se suivent chronologiquement, à dix ans d'écart, mais il ne m'a absolument rien apporté, je n'en comprends pas l'intérêt.
Dans la première nouvelle, le narrateur et son ami, poursuivis par une faim qui ne peut être assouvie normalement, et sans argent pour acheter à manger, braquent une boulangerie, la dévalisent de son pain, après avoir écouté un album de Mozart. Pourquoi pas.
Dix ans plus tard, rebelote, à quelques nuances près.
Et alors? Pourquoi cette répétition? Qu'est ce que cela apporte aux personnages, à part probablement des soucis de digestion?
Braquent-ils vraiment ces lieux? Rêvent-ils? Certains indices de la deuxième nouvelle font penser à une situation onirique, mais on reste dans le flou.
Je reste sur ma faim, mais je ne vais pas pour autant aller braquer le boulanger de ma petite commune, même si son pain est délicieux.
Ce petit livre est un recueil de deux nouvelles qui sont liées et se suivent chronologiquement, à dix ans d'écart, mais il ne m'a absolument rien apporté, je n'en comprends pas l'intérêt.
Dans la première nouvelle, le narrateur et son ami, poursuivis par une faim qui ne peut être assouvie normalement, et sans argent pour acheter à manger, braquent une boulangerie, la dévalisent de son pain, après avoir écouté un album de Mozart. Pourquoi pas.
Dix ans plus tard, rebelote, à quelques nuances près.
Et alors? Pourquoi cette répétition? Qu'est ce que cela apporte aux personnages, à part probablement des soucis de digestion?
Braquent-ils vraiment ces lieux? Rêvent-ils? Certains indices de la deuxième nouvelle font penser à une situation onirique, mais on reste dans le flou.
Je reste sur ma faim, mais je ne vais pas pour autant aller braquer le boulanger de ma petite commune, même si son pain est délicieux.
