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EAN : 9782707316615
91 pages
Editions de Minuit (19/01/1999)
3.36/5   58 notes
Résumé :
Mme Lemarchand se met en quête d’une femme de peine, qui aura pour tâche à la fois de s’occuper de la maison et des enfants, et de l’aider à supporter la mortelle longueur des journées.
Mme Lemarchand jette son dévolu sur Hilda dont elle a entendu dire beaucoup de bien. En premier lieu, qu’Hilda est parfaitement belle de visage et de corps. Puis, qu’Hilda ne fume pas, ne prend pas de médicaments.
Mme Lemarchand n’a pas l’intention d’exploiter Hilda, ... >Voir plus
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Première et dernière fois que je lis Marie NDiaye. Hilda, c'est l'image même de la pièce qui se veut intelligente, originale et critique, et qui n'est qu'une grossière caricature d'un sujet que l'auteure ne connaît pas - car on ne me fera pas croire que quelqu'un qui est allée dans un lycée huppé, a été "repérée" à 17 ans par le directeur des Éditions de Minuit (tu parles, comme s'il était tombé par hasard sur elle), connaît quoi que ce soit des smicards, des bonniches et du travail au noir. Donc on repassera pour la leçon de morale sur les riches qui exploitent les pauvres, vu que, merci bien, on est extrêmement nombreux à être au courant depuis fort longtemps. Mais peut-être que Marie NDiaye venait, elle, tout juste de découvrir les choses en 1999, quand elle a écrit Hilda.


Une pièce qui n'a pas dû lui demandé beaucoup d'efforts, par ailleurs. Trois personnages, mais en fait un seul qui parle tout le temps : Mme Lemarchand, bourgeoise qui se dit de gauche, et qui va embaucher, exploiter et vampiriser une femme "du peuple", sans que le mari ou la soeur de celle-ci ne réagissent. Donc un long, très long, mais vraiment très très long monologue qui tourne en rond, se répète à l'infini, fatigue, lasse, épuise le lecteur qui attend avec avidité la dernière page pour pouvoir passer à autre chose, n'importe quoi, mais vite, vite, qu'il soit enfin délivré de cette pièce narcissique où l'on sent un peu trop que l'auteure se trouve très très maligne. Six scènes qui n'en finissent plus, censées monter en tension sans y parvenir, emplies d'un discours d'une affligeante banalité et de clichés navrants. Pour le coup, vingt ans après l'écriture de la pièce, ça doit beaucoup plaire aux personnes persuadées que ceux qui roulent à vélo, mangent bio et vegan sont forcément ce qu'ils appellent des bobos (terme dénué de toute signification vu qu'on y fourre absolument tout ce qu'on déteste selon le point de vue), riches, hypocrites et de gauche. Alors oui, évidemment, des riches qui se disent de gauche et qui suintent l'hypocrisie, bien sûr que ça existe. Et après ? Ce que je vois dans cette pièce, c'est que Marie NDiaye ne fait absolument rien de son sujet. Or, une pièce se voulant une critique sociale qui va au but, avec le procédé qu'a utilisé NDiaye (c'est-à-dire le monologue qui se répète pour tendre à une fin monstrueuse), c'était faisable. Mais dans une forme courte, et avec un peu de finesse, si c'était pas trop demander. Seulement voilà, une pièce courte, c'est difficile à faire jouer de nos jours (et n'aide pas à accéder à la célébrité), donc ça traîne, ça traîne... Mais je suis persuadée que de toute façon, même en faisant court, NDiaye se serait plantée, parce qu'il me paraît évident qu'elle ne possède pas du tout l'acuité nécessaire pour s'attaquer à ce genre de sujet.


On parle quand même de quelqu'un qui fait des déclarations fracassantes à la presse, du style "Sarkozy est un monstre", et qui se tire en 2007 (avec son mari et son petit pécule d'écrivain qui vit dans le confort) à Berlin, où on peut se payer des logements avec tout l'espace nécessaire pour une somme fort intéressante. Donc les discours soi-disant de gauche de NDiaye, qui passe d'un pays de droite ultra-libéral à un pays de droite ultra-libéral, et qui laisse tomber ses concitoyens qui, eux, vont payer les pots cassés à sa place... eh ben je m'en passe très bien, de ce type de discours, en fait.


En bref, c'est mauvais d'un point de vue formel : NDiaye ne réfléchit pas en dramaturge, elle ne fait que reprendre, mais de façon maladroite, malavisée et sans intérêt, un procédé déjà utilisé par des dramaturges de talent. Et c'est mauvais sur le fond, parce que NDiaye n'a rien à dire sur les inégalités sociales qui ne soient pas des banalités et des formules creuses.


Sur ce, je vais me regarder un film de Tarantino, parce que l'obsession de Mme Lemarchand pour le prénom Hilda m'a rappelé le dialogue entre Schultz et Django sur le prénom Broomhilda dans Django Unchained. Il y a des priorités dans la vie, et il est clair que pour moi, Tarantino l'emporte sans conteste sur l'insipide (et hypocrite, à mon sens) Marie NDiaye.

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Hilda qui donne son nom à la pièce n'apparaît jamais dans la pièce. Elle est la domestique embauchée par Mme Lemarchand (nom bien choisi). Cette dernière se veut une femme progressiste, soucieuse du bien être et de l'éducation de son employée. Elle dialogue avec Franck, mari de Hilda et prend très vite le dessus car elle maîtrise le langage. Hilda la fascine et peu à peu, elle va se l'approprier, la déposséder de sa famille et de sa personnalité en parfaite bonne conscience. Cette courte pièce dénonce l'esclavagisme moderne, la domination de classe mais venant de gens qui se disent progressistes et de gauche. Il s'agit davantage d'un récit dialogué que véritablement une pièce.
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Etrange lecture que ce "Hilda".

Mme Lemarchand veut une femme à journée. Une bonne à tout faire. Tout faire, sauf faire la bonne, justement. Mme Lemarchand, elle ne veut pas qu'on dise du mal d'elle, qu'on dise qu'elle exploite les nécessiteux... Mais en même temps, elle ne se prove pas de faire remarquer à Franck, le mari d'Hilda, qu'il fait partie de la plèbe.

Mme Lemarchand, elle veut qu'Hilda vienne garder ses enfants, car les enfants de Mme Lemarchand, ils ne vont pas à la crèche. Mais pour venir, Hilda va mettre les siens à la crèche. C'est normal, les enfants de Franck, ils peuvent aller à la crèche. Comment? Non, ils DOIVENT aller à la crèche.

Mme Lemarchand, elle a une Toyota, rouge, racée, avec peu de kilomètres. Alors elle pourra la revendre à Franck et Hilda quand la leur claquera. Car elle claquera, c'est sûr. Ou alors, mieux encore... elle va leur prêter. C'est pas toutes les bourgeoises qui feraient cela, hein ?

Mais Mme Lemarchand, c'est pas une bourgeoise... non, non, non ! C'est une femme qui veut du bien à Hilda. Alors, quand il faut la séquestrer, la forcer, la faire quitter son mari, ses enfants... tous les moyens sont bons pour "élever" Hilda et faire son éducation... sauf que Mme Lemarchand n'est pas un modè!e... C'est très "monomaniaque" en fait. Tout est aussi centré sur Mme Lemarchand. Un peu lassant.

J'ai souvent eu l'impression de ne pas me trouver dans une pièce, mais dans un monologue. Mme Lemarchand parle sans cesse, avec très peu de répartie, de présence de Franck. Cela fait partie du personnage, mais c'est peu satisfaisant en ce qui me concerne. C'est très "monomaniaque" en fait. Tout est aussi centré sur Mme Lemarchand. Un peu lassant.

De plus, on tourne un peu en rond, on comprend assez vite où Marie Ndiaye veut en venir. Et pas mal d'événements n'ajoutent rien au propos. Cette critique du "bobo XVIè" paternaliste... C'est bien écrit mais il y a sans doute mieux à faire. Cela manque de contexte aussi. On n'entend pas Hilda, c'est dommage. Finalement à mesure que je lisais, tous les avantages, tous les côtés sympa du texte se retournaient contre l'ouvrage.
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Hilda, ma chère, je vous en prie, asseyez-vous sur mon confortable fauteuil pour que l'on puisse discuter de cet arrangement qui m'intére… nous intéresse à toutes les deux, n'est-ce pas ? Ne me répondez pas, cela ne sera pas nécessaire, je remarque déjà dans vos yeux que cet entretien nous mènera à votre embauche, j'en suis convaincue !

Vous le savez sûrement déjà, mais vous m'intéressez tout particulièrement. Pourquoi, me demandez-vous de vos yeux si implorants de ce contrat de travail ? Parce qu'une domestique n'est jamais de trop dans une habitation, en particulier quand cette domestique est fort belle, ravissante comme le jour, vous savez. Oui, c'est vrai, vous devez sûrement vous demander « Mais pourquoi moi, comment une jeune femme aussi banale que moi puisse un jour être embauchée dans une entreprise aussi … Grandiose que celle-ci ? » Ma réponse sera des plus simples ma chère Hilda : vous êtes somptueuse et cultivée, parfaite !

Votre mari, Frank, sera sûrement convaincu lui aussi de vous laisser à moi, bien que cela soit temporaire bien entendu ! Vous devrez cependant exécuter le moindre de mes ordres, la moindre de mes demandes, est-ce clair ? Je vois que vous l'avez compris ! Votre mutisme ne vous prive heureusement pas de paroles corporelles que, je suis sûre, vous ne soupçonniez guère !

Alors, acceptez-vous mon offre ? Oui, j'en étais sû… comment ça vous me faites « non » de la tête ? …



Hilda, l'accord là, l'avez-vous lu ? le label libellé là-dessous, la lettre ? Laissez, lâche labrador ! L'oubliez-vous, la lamentation de Frank le lendemain de l'anniversaire de Corinne ? L'avez-vous louché lorsqu'il, lamentablement, leva l'honneur de la lignée de votre logis, me léchant l'annulaire pour « l'embauche d'Hilda » lors de l'entretient actuel ? Lisez-vous mes iris Hilda ? Lisez-vous l'indignation, l'envie et l'intérêt, libertine ? L'amitié, Hilda, … ligotez-la pour moi. Laissez Frank et livrez-vous à moi…

Laissez-vous m'appartenir…



Excusez-moi ma chère Hilda, je ne me souviens plus de ce que je vous disais … Ah si, ça me revient, vous disiez « non » de la tête il me semble ? Il serait vraiment regrettable que vous me résistiez, car cela me donnerait encore plus envie de vous embaucher ! Bien entendu, vous serez payée au prix que vous souhaitez … Oh, je remarque que vous esquissez un sourire 🙂

Je vois que vous commencez à vous montrer plus joviale, et ça me fait plaisir de voir que votre sourire fait ressortir votre beauté ! Travaillez pour moi, aidez-moi, car je vous aime Hilda, vous et personne d'autre. J'ai besoin de vous, et je serais prête à vous payez 50 francs de l'heure, je vous le garanti ! Vous seriez mon égale, je serais votre égale. Nous serions tous égaux, comme une grande famille, rien que nous deux, mes enfants, mon mari et mes tâches domestiques que je vous lègue. N'ayez craintes cependant, vous resterez proche de votre famille, de votre Frank ! Allons ma chère, accepteriez-vous de m'appartenir ? J'ai tant à faire et tant besoin de vous, vous et personne d'autre. Allons ma chère, laissez-vous m'appartenir ...
Lien : https://lethesaurex.wordpres..
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Pièce de théatre qui débute en comédie fofolle, où Madame Lemarchand paraît complètement à côté de la plaque lorsqu'elle s'entretient avec Franck Meyer de l'embauche de sa femme (pour ménage et garde d'enfants) en arguant des motifs farfelus,Hilda va rapidement tourner au drame.
Hilda est belle, "ne prend pas d'antidépresseurs", est "propre et vaillante". "Je la veux" répète en vrille Madame Lemarchand.
"Il faut s'organiser" répond le mari. L'absente, elle, n'a pas droit de parole.
Tout est déjà dit. Un trio: un tyran qui manipule,contraint,abuse, charme,soumet,humilie,exige,contrôle,interdit,menace,dépersonnalise,détruit. Un mari faible qui sait, voudrait,ne peut pas,essaye,plaide,se rétracte,baisse les bras...puis s'organise.
Et une esclave peureuse, fatiguée, muette, qui devient un objet ( qu'on habille,douche,prête au gré de ses fantaisies) bon à tout jusqu'à ne plus être rien.
Le sujet de l'esclavagisme, dur et émouvant est ici extrèmement bien traîté car on ne voit jamais Hilda,tout se passe au dessus de sa tête et même très loin d'elle. de plus Marie Ndiaye, dotée d'un humour décapant, suggère et pousse le lecteur à interprêter, à prendre le contre pied des mots énoncés (ex: Madame Lemarchand se dit douce, "humaine,décontractée,facile à contenter"; on se doute qu'elle est tout l'opposé).
L'angoisse transmise par la patronne qui monte crescendo excitation,déception,colère,punition, nous rend témoin d'une injustice et d'une grave atteinte des droits de la femme.
Les armes fatales de l'argent,du manque de couverture sociale et de situation irrégulière sont brandies habilement pour rouler les victimes dans la farine du pouvoir absolu.
Un message à transmettre.Encore un, comme dans Trois femmes puissantes (Goncourt général 2009), Rosie Carpe (prix Fémina 2001) qu'il m'a plu de chroniquer car Marie Ndiaye est vraiment talentueuse.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Mme Lemarchand. - Je tâcherai de former Hilda à la chose politique. M.Lemarchand et moi-même adhérons maintenant au parti radical. Il est important qu'Hilda soit instruite politiquement. De nos jours, Franck, les servantes doivent embrasser l'action politique, car il n'est plus question, pour elles, de se laisser exploiter. Plus question, pour Hilda, de se laisser abuser.

Franck. - Non.

Mme Lemarchand. - Hilda doit se défendre, faire valoir ses droits. Moi-même je protégerai Hilda, quoi qu'il arrive. Mais Hilda est ma femme de peine, elle m'est donc assujettie. Vais-je, pour autant, la tromper et la violenter, Franck ?

Franck. - Non.

Mme Lemarchand. - Hilda aura la chance de servir chez des gens de gauche. Nous avons des domestiques, comme tout le monde, mais nous n'oublions jamais de les élever, par la parole, jusqu'à nous. Je n'oublierai pas qu'Hilda est ma servante par accident, et non par nature. Seules les circonstances ont fait d'Hilda celle qui m'obéira plutôt que de me commander. C'est le hasard de la vie, voilà tout, car Hilda n'était pas née pour servir plus que moi, Franck. Je suis une maîtresse de gauche, humaine, décontractée, facile à contenter. J'offre une place à Hilda. Hilda, Hilda ! Je vous parle, Franck, mais c'est Hilda que je veux. Demain, qu'elle m'obéisse, à présent. Mais qu'elle comprenne bien cela : je serai bonne avec elle, aussi bonne qu'on peut l'être avec quelqu'un dont on ne doit jamais oublier, malgré tout, qu'il cherchera toujours le moyen de vous avoir un petit peu, de resquiller, de tirer au flanc. Moi-même, si je devais servir, ne serais-je pas comme cela ? Honnêtement, Franck, on acquiert, une fois devenu domestique, une sorte de complexion particulière, inhérente à cette condition, qui vous rend légèrement menteur, fraudeur, sournois comme un enfant, et comme un enfant vis-à-vis de l'employeur qu'on s'échine à vouloir tromper petitement, oui, Franck, pour le simple plaisir de se croire libre. Je connais tout. Et après ? J'aime déjà Hilda telle qu'elle est et telle qu'elle va m'arriver demain. Pourvu qu'elle soit aussi belle qu'on le dit, Franck. Est-ce que quelque chose vous tracasse ? Hilda. Je parlerai à Hilda demain. J'ai besoin d'une femme immédiatement. Je me sens si seule et si lourdement chargée de corvées insurmontables.
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MME LEMARCHAND : Hilda aura la chance de servir chez des gens de gauche. Nous avons des domestiques, comme tout le monde, mais nous n'oublions jamais de les élever, par la parole, jusqu'à nous. Je n'oublierai pas qu'Hilda est ma servante par accident, et non par nature. Seules les circonstances ont fait d'Hilda celle qui m'obéira plutôt que de me commander. C'est le hasard de la vie, voilà tout, car Hilda n'était pas née pour servir plus que moi, Franck. Je suis une maîtresse de gauche, humaine, décontractée, facile à contenter. [...]

ACTE I
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Vidéo de Marie NDiaye
Le réel, dans l'oeuvre de Marie NDiaye, est bien souvent teinté d'étrangeté. le fantastique y affleure dans des univers réalistes, parfois triviaux ; comme si ces effets de dissonance, en s'immisçant dans le quotidien, offraient une meilleure compréhension du monde et le rendaient plus intelligible. Explorant des lieux de marginalité, ses romans arpentent des territoires ambivalents, en tension, où les personnages pourtant ancrés dans l'ordinaire vacillent parfois vers la folie. Évoluant dans une atmosphère cruelle, sur le seuil d'univers heurtés où l'équivoque s'impose, ils ne cessent de questionner leur appartenance, se confrontent à la métamorphose, à l'étrangeté du lien familial et aux déplacements incessants. Dans ce grand entretien, l'autrice évoquera l'évolution de son écriture tout au long de son parcours d'écrivaine majeure de la littérature contemporaine, qui a également investi le théâtre comme lieu d'exploration de la cruauté et de l'ambivalence humaines.
Marie NDiaye est l'autrice d'une oeuvre prolifique depuis la parution, en 1985, de son premier roman à l'âge de dix-sept ans (Quant au riche avenir, Minuit). Elle a obtenu le prix Fémina en 2001 pour Rosie Carpe, et le prix Goncourt en 2009 pour Trois femmes puissantes. En 2012, elle se voit décerner le Grand Prix du théâtre de l'Académie française, après avoir écrit de nombreuses pièces de théâtre dont Papa doit manger, qui est entrée au répertoire de la Comédie-Française en 2003.
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