Les kidnappeurs professionnels avaient appris à s’adapter à la nouvelle loi et ils choisissaient des cibles suffisamment introduites dans les milieux politiques afin d’obtenir qu’une partie de l’argent soit versée par l’État, comme le prévoyait la clause « autorisant le paiement pour les besoins de l’enquête ».
On pleure quand on veut obtenir de l’aide ou du réconfort, ne croyez-vous pas ? Ce qui explique les cris des bébés. Incapables de parler ou de marcher, ils ne sont pas maîtres de leur existence, ils ne peuvent commander de la nourriture quand ils ont faim, se changer eux-mêmes quand ils sont mouillés. Il ne leur reste que les pleurs, mais ils sont persuadés que quelqu’un viendra, ils n’ont aucun doute là-dessus.
Personne ne pouvait vous dire quel était le comportement idéal à adopter face à vos enfants. La chance et l'intuition jouaient un si grand rôle. (p.282)
La mort par suffocation était la pire chose que j’imaginais. Je ne suis pas claustrophobe mais, pour vous donner une idée, je ne suis pas bonne nageuse parce que je n’arrive jamais à laisser ma tête dans l’eau.
C’était tellement ridicule de me kidnapper alors que je n’avais pas fini de payer mes dettes !