Surfant sur la vague des recueil de nouvelles d'alors (le décaméron italien, déjà vieux de plusieurs siècles, mais aussi les "100 nouvelles nouvelles" françaises),
Marguerite de Navarre nous propose, à son tour, un certain nombre de nouvelles.
Le recueil n'en propose que 72, d'où son titre d'
Heptameron. L'auteure envisageait apparemment d'en réunir 100, comme c'était alors l'usage, mais le recueil est resté inachevé.
Ici, c'est l'amour qui est au centre des préoccupations, et le recueil est à mon goût un peu plus fade que ses illustres prédécesseurs, bien que sa lecture en vaille le coup.
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