J'ai choisi cet ouvrage dans le cadre de la dernière opération masse critique. La raison est la suivante j'apprécie les
histoire de famille sur plusieurs génération et en plus
Juliet Nicolson est la descendante de la célèbre femme excentrique
Vita Sackville- West (romancière et elle fut l'amie de
Virginia Woolf). Elle nous offre un livre de mémoire et de transmission. Elle dresse les portraits de sept femmes aux privilèges parfois lourd à porter.
La première étant Pépita Duran, une danseuse espagnole (1830-1871) sa fille Victoria et Vita la petite fille de Pépita sont des femmes a fort tempérament et elle termine son ouvrage en 2013 avec sa petit fille Imogen. Elle évoque aussi son père
Nigel Nicolson, l'auteur de "
Portrait d'un mariage". Juliet a été très complice et proche de son père, alors qu'elle a été plus distante avec sa mère Philippa.
J'ai été moyennement conquise par cet ouvrage au vu de mes attentes voir plus haut. J'y ai trouvé aucune émotion, il ne me reste pas grand chose de cette histoire familiale quelques jours après avoir lu cet ouvrage. Peut-être que je ne l'ai pas lu au bon moment ? Peut-être que je suis passée à côté d'un livre fort intéressant ? Peut -être à relire un jour ?
Il ne me reste plus qu'à lire
Orlando de
Virginia Woolf, roman dédié à la poétesse
Vita Sackville-West
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