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Knights of Sidonia tome 1 sur 15
EAN : 9782723488761
180 pages
Glénat (23/01/2013)
3.42/5   19 notes
Résumé :
Dans un lointain futur, l’humanité navigue aux confins de l’espace depuis 1 000 ans. Mais à nouvelles frontières, nouvel ennemi ! Les redoutables Gaunas, de très loin supérieurs à l’humanité, ont détruit la Terre et poursuivent les survivants sans relâche. Les hommes, réfugiés dans de gigantesques navires spatiaux, mettent au point une arme révolutionnaire, les Sentinelles, pour tenter de faire face à la menace. Tanikaze Nagate, est né dans les entrailles du Sidonia... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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« Dans l’espace, personne ne vous entendra crier… » Tel pourrait être le leitmotiv de l’œuvre atypique de Tsutomu Nihei.
Le talentueux mangaka nous livre avec "Knights of Sidonia" son œuvre la plus accessible, la parfaite porte d’entrée de son univers où sur fond de mélange entre Moebius et Enki Bilal les créatures biomécaniques d’Hans Ruedi Giger se baladent dans les structures vertigineuses de Maurits Cornelis Escher…
Véritable amoureux de la science-fiction, il marrie ici space opera, cyberpunk et dystopie. On sent comme base de départ les "Gunbuster" et "Evangelion" de Hideaki Anno, on sent aussi la nostalgie de l’âge d’or de la SF japonaise avec "Macross" et "Gundam", mais "Albator" également avec cet espace infini, froid et cruel… (l’auteur est aussi un fan de fantasy et d’horreur, mais j’en reparlerai plus tard ! ^^)


1000 ans après la destruction de la Terre par les extraterrestres dénommés Gaunas (Shoggoths, qui a dit Shoggoths ? blink), des centaines de vaisseau sillonnent l'espace dans l'espoir d'échapper à leurs ennemis innombrables et quasi invincibles. Nous suivons la lutte pour la survie de l'équipage de Sidonia qui n'a plus eu de contact avec le reste de l'humanité depuis 600 ans, et qui a dû repartir de zéro ou presque après la dernière attaque des Gaunas qui n'a que quelques centaines de survivants…
Des mesures drastiques ont été prises pour sauver l’espèce et repeupler un vaisseau-monde privée de ressources en nourriture (remember le "Soleil vert" d’Harry Harrison)… Nous sommes clairement dans en présence de toutes les thématiques de la post-humanité car nous découvrons à travers les yeux de Nagate Tanikaze, un jeune marginal élevé par son grand-père dans les entrailles du vaisseau-monde, la population de Sidonia composée d’immortels, de clones, d’androgynes, de gynoïdes, de cyborgs, de mutants et d’hybrides tous génétiquement modifiés et tous capables de se priver de nourriture en photosynthétisant. Notre sauvageon geek n’est-il pas le dernier vestige d’une humanité désormais dépassée ?

C’est froid, c’est dur, c’est violent… On est vraiment quelque part entre le remake de "Galactica" et "L’Attaque des titans" (comme notre manga précède celui-là, les thématiques survivalistes sont vraiment dans l’ère du temps : "Terra Formars", "Tokyo Ghoul", "Area D", "Sprite", "Ajin"… c’est la répercussion du TINA sur la culture populaire mondiale).
Il y a quelque chose d’émouvant dans ces jeunes pilotes qu’on envoie au casse-pipe mais qui ne se dérobent pas pour autant car ils ne veulent trahir ni leurs compagnons ni la population qui compte sur eux pour les protéger. Civils et militaires sont pris en otage par les ambitions de dirigeants sociopathes et les folies d’un scientifique psychopathe, ce dernier voulant devenir plus immortel que ses supérieurs hiérarchique ayant déjà obtenu l’immortalité (si si, c’est possible ! ^^).
Je parlerai de lutte des classes si on n’était pas dans le dégommage en bonnes en dues formes du Japon de l’Ere Showa :
- jeunes pilotes = les kamikazes envoyés en missions suicides pour préserver les privilèges de la caste dirigeante
- crevards sociopathes = la junte militaire qui a pris le pouvoir en assassinat le premier ministre Tsuyoshi Inukai en 1932, ce qui laissa les mains libres à ce gros con suprématiste de Kanji Ishiwara et ses amis… MDM
- scientifique psychopathe = le tristement célèbre Shiro Ishii, qui a échappé aux tribunaux d’après guerre grâce à la protection des leaders du monde libre fascinés par ses travaux sur les armes bactériologiques (qu’ils aillent se faire foutre ceux-là avec leurs beaux discours en contradiction avec leurs actes) MDM
Je ne vous cache pas que par bien des aspects la SFFF japonaise prend le chemin de la SFFF anglaise : no pasaran !

Néanmoins le mangaka met ici son imaginaire à la portée de tous les lecteurs avec une saga mécha, des graphismes plus clairs et plus simples, plus d’explications sur le pourquoi du comment qu’on en aura jamais eues dans ses œuvres précédentes, un héros shonen naïf mais courageux et altruiste, quelques triangles amoureux des familles et des séances de photosynthèse tenant lieu de safe sex… ^^ (Et pour ne rien gâcher, l’adaptation en animation est de bonne qualité et assez bien prenante si on met de côté le temps de mise en place et un passage à vide au milieu de la saison 2 pour cause de tranches de vie haremesques destinées à flatter le public dans le sens du poil)


Dans ce tome 1, après la mort de son grand-père le jeune Nagate Tanikaze est obligé de partir à la découverte du vaste monde (remember "Dragon Ball" ^^)… Nous découvrons avec lui le vaisseau-monde Sidonia et ses habitants soumis aux séances de photosynthèse et aux alertes antigravs. Peu ou prou ostracisé pour ses problèmes d'odeur corporelles liés à son besoin de se nourrir chaque jour et non une fois par semaine comme le reste de ses concitoyen, il se fait des amis avec la pilote d'élite Shizuka Hoshijiro, l'androgyne Izana Shinatose (fier d'être « il » avant de ce choisir de devenir « elle »), et des ennemis avec le pilote d'élite Norio Kunato et les 22 clones Honoka…
C'est au cours d'une mission de routine que lui et ses camarades se font attaquer par un Gauna pour la première fois depuis un siècle et notre héros voit sa camarade Eiko Yamano se faire dévorer vivante par une créature géante qui prend son apparence!
Survivant mais traumatisé, il accepte de faire part de son expérience aux pilotes d'élite qui sont destinés à l'affronter après le festival antigravité : Mochikuni Akai, Hinata Momose, Kashiwade Aoki et Izumo Midorikawa…

On ne va pas se mentir : la mise en place des mystères lostiens est immédiate !!!
- pourquoi les dirigeants de Sidonia cachent-ils à la population que les Gaunas sont de retour ?
- pourquoi les aristas sont-elles les seules armes capables de vaincre les extraterrestres Gaunas ?
- qui c'est cette Lala Hiyama, ourse cyborg qui travaille comme cantinière et prend soin de notre héros ?
- pourquoi la froide amirale Kobayashi qui cache son immoralité derrière un masque comme les autres dirigeants du vaisseau-monde Sidonia se dévoile immédiatement et chaleureusement à notre jeune héros ?
- et d'ailleurs notre jeune héros est-il vraiment humain, lui qui guérit et récupère plus vite que n'importe qui et qui parvient à résister à force génétiquement amplifiée des clones Honoka ?


De la bonne grosse SF comme je l'aime : ambitieuse mais accessible !
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1000 ans après la destruction du système solaire par les Gaunas, l'humanité s'est réfugié en Sidonia, gigantesque vaisseau interstellaire, ultime havre des hommes. Mais les massives et protéiformes bestioles aliens rôdent, dans le vide sidérale et glacée de l'espace, prêtent à...quoi? Bon, pour le moment ça reste flou, si ce n'est nous détruire. Nous suivons les premiers pas de Nagate Tanikaze, extrait de sa fange souterraine par l'Amiral de Sidonia, pour être rapidement promu pilote de sentinelle (pas de surprises, on parle bien ici de mechas). Très vite, il se distingue par un combat contre un Gauna dont il ressort, contre toute attente, vivant (ouais, faut pas déconner, victorieux c'est pas pour tout de suite).

Knights of Sidonia n'est certes pas transcendant, mais c'est tout de même un sympathique divertissement. Les amateurs de mechas et de sf devraient y trouver leur compte. le rythme est soutenu, l'action bien dosé. Les personnages sont un brin caricaturaux ou fidèles aux codes des mangas, c'est selon. Les transitions ne sont pas toujours très heureuses mais rien qui n'entrave la compréhension (bon, j'avoue, je manque un peu de repères en matière de bd nippone). le dessin est assez minimaliste et aurait gagné à être davantage fouillé. J'ai quand même une certaine sympathie pour Nagate qui, surtout au début, s'en prend plein la gueule, ne semble jamais être à sa place et apparaît comme une sorte d'anachronisme, lui qui souffre de la faim, alors que la majorité de ses compatriotes ont subi la transformation qui permet d'avoir accès à la photosynthèse (l'avenir de l'homme est donc la plante verte).

Bref du basique mécanique si l'on peut dire (ne pas oublier la révision toutes les 15000 années-lumières).
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J'ai découvert Tsutumu Nihei il y a 20 ans avec son titre Blame! qui fut une vraie expérience, graphique notamment, mais à laquelle je n'ai rien compris à l'époque... Cependant je conserve un a priori très positif avec cet auteur car ses univers sont toujours très originaux, du coup, j'aime de temps en temps tester l'un de ses titres, et Knights of Sidonia est peut-être l'un des plus accessibles que j'ai pu lire à ce jour !

Dans un lointain futur, l'humanité navigue aux confins de l'espace depuis 1 000 ans. Mais à nouvelles frontières, nouvel ennemi ! Les redoutables Gaunas, de très loin supérieurs à l'humanité, ont détruit la Terre et poursuivent les survivants sans relâche. Les hommes, réfugiés dans de gigantesques navires spatiaux, mettent au point une arme révolutionnaire, les Sentinelles, pour tenter de faire face à la menace. Tanikaze Nagate, est né dans les entrailles du Sidonia, l'un de ces navires. Il est alors recruté pour piloter une Sentinelle.

Le nouvel univers que nous propose le mangaka est un univers futuriste assez classique mais très prometteur. On suit une nouvelle humanité qui vit désormais en permanence dans l'espace sur de gigantesques vaisseaux-villes où toute une vie s'est développée mais qui recèlent bien des secrets. Ils luttent en permanence face à une menace qui peut sembler lointaine mais qui l'est de moins en moins, les Gaunas, ces êtres tout droit échappés de l'imaginaire de H.P. Lovecraft avec leurs tentacules et leur regard vide ainsi que leur capacité à emprunter une apparence humaine malgré leur gigantisme et leurs appendices. de vraies créatures de cauchemars ! Face à elles, les humains ont imaginé des robots pilotés par certains élus, à l'image d'un Gundam ou d'un Evangelion. Avec de tels éléments, je ne pouvais qu'aimer.

Cependant, l'univers a beau être étrange et intrigant, il n'en serait rien si l'ambiance était mauvaise. Or, ici, l'auteur a réussi à dépeindre un monde plein de mystères, qui interpelle, avec des personnages non moins étranges de par leur attitude et leurs particularités. le héros tout d'abord sort du lot parce qu'il a toujours vécu dans les entrailles de ce monde sans le savoir et qu'il va le découvrir brusquement. Il a des capacités hors du commun par rapport aux autres et rapidement tout le monde se demande bien pourquoi. A côté de lui, nous découvrons le monde des pilotes de Sentinelles, les élus en quelques sortes de cet univers, des jeunes aux capacités intellectuelles et physiques hors normes et qui représentent l'espoir mais aussi l'arme et le bouclier de tout ce petit monde. Les deux s'opposent, les pilotes ayant du mal avec ce petit nouveau qu'on leur met brusquement dans les pattes. Les pilotes sont assez froids et détachés de nature mais on comprend vite pourquoi. On apprend qu'ils sont le résultat de avancées technologiques et génétiques de l'humanité, des sortes de post-humains, l'un d'eux par exemple appartient à un 3e sexe, ni homme ni femme, qui peut procréer avec les 2 ou tout seul au besoin. Des idées déjà croisées dans des romans SF mais rarement exploitées dans les mangas publiés chez nous. C'est donc un plaisir de le voir ici.

Le mystère est également présent avec l'ennemi qui est à combattre. On se demande ce que c'est exactement, d'où ça vient, pourquoi ça attaque les humains, comment ces derniers en sont venus à le connaitre, depuis quand ils l'affrontent, etc. Plein de questions me viennent et je trouve ça assez fascinant.

Pour autant, malgré toutes ces bonnes idées séduisantes, le rythme de ce premier est un peu mollasson. le mangaka aime prendre son temps. Certes, il nous balance de plein pied dans cet univers hors norme mais en même temps ensuite, il temporise l'évolution de son héros, nous permettant ainsi de découvrir pas à pas la vie sur ces vaisseaux-mondes. Ce n'est pas un titre où l'action explose de partout. Elle est plutôt distillée habillement à des moments où on ne l'attend pas pour mieux nous surprendre, voire même on penche assez souvent vers un titre plus psychologique. Moi, j'ai vraiment apprécié cette association et cette lenteur qui en découle.

Graphiquement, c'est agréable mais on est en-dessous des expériences graphiques de Blame! ce qui m'a un peu déçue. J'ai l'impression que Nihei s'est assagi pour plaire à un plus large public. Alors à la fois cela rend le titre plus lisible et c'est bien, et en même temps ça le rend peut-être un peu trop consensuel, ce qui est dommage. Cependant, on retrouve bien sa patte dans certains décors vertigineux du vaisseau, de ses entrailles à ses tours qui montent jusqu'aux étoiles, ou encore dans la monstruosité des Gaunas qui a vraiment de quoi nous faire trembler.

Ainsi, l'étrangeté, le mystère et la dimension futuriste de Knights of Sidonia m'ont séduite. Je n'attendais pas Nihei sur ce genre de registre et je suis agréablement surprise. J'aime cette revisite d'univers à la Gundam/Evangelion et je sens que le titre est vraiment prometteur. Je poursuivrai.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Le synopsis de ce manga avait l'air assez intéressant. Que se passerait-il si la terre était détruit par des extraterrestres et que les survivants vivaient dans l'espace pendant 1000 ans ? Ils sont obligés de fuir devant la menace sachant qu'ils sont poursuivis sans relâche.

On pense surtout à l'excellente série TV Battlestar Galactica. Pour autant, le traitement ne m'a pas convaincu. L'intrigue ne parvient pas à me séduire malgré la mise en place d'un univers assez particulier et de l'utilisation de certaines technologies comme le clonage. le graphisme me paraît très pauvre. Il y a un traitement informatique qui enlève tout charme à l'oeuvre.

Bon à savoir : ce manga a été sélectionné pour le prix Asie de la critique 2013 décerné par l'Association des critiques et des journalistes de bande dessinée. En 2015, il est nominé pour le 39ème prix du manga Kōdansha dans la catégorie générale. Il existe même une adaptation en série télévisée d'animation.
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Depuis ma dernière lecture d'une oeuvre de l'auteur Tsutsomu Nihei, à savoir BLAME! et Abara, je gardais une vision somme toute unique de son travail, à savoir un soin maladif à confiner ses personnages dans l'immensité de structures filiformes et dépeindre avec talent les tares cybernétiques d'un futur aussi lointain qu'impalpable.

J'avais aussi su apprécier, à ma façon, sa manière particulièrement cryptique de dévoiler des informations et des indices, éparpillés dans les compositions au trait noir charbonneux et incisif.

Mais on m'avait prévenu d'une chose concernant Sidonia: qu'une étape avait été franchi, et que du Nihei de l'ombre on devait faire table rase pour embrasser un artiste plus en phase avec son temps, plus apaisé dans son for intérieur, et plus à même d'introduire des éléments qui nous aurait fait soufflé du nez il y a quelques années en arrière, tel que de l'humour ou bien du ecchi.

Force est de reconnaître qu'au début, je n'étais vraiment pas emballé par la proposition, et ce malgré une histoire SF de grande ampleur à base de civilisation humaine à la dérive, fuyant un ennemi extraterrestre plus puissant que lui : les Gauna. C'est donc sur fond de space-opera que s'amorce cette histoire en quinze tomes, mais aussi autour de plusieurs thématiques chères à l'auteur, tels que le clonage, les transformations cybernétiques, la réplication d'esprit, l'accès à une immortalité illusoire...

Mais j'ai finalement réussi à renouer avec un certain plaisir de lecture et ait pu agréablement virevolter dans l'espace aux côtés de notre héros, Nagate, qui réunit beaucoup d'éléments shonen dans ses traits de caractère, tel que sa bêtise permanente ou sa malchance à se retrouver dans des situations ecchi. Il y a un vrai plaisir de la part de Nihei à nous offrir pour la première fois une histoire plus claire, sans faux semblants ni codex noisesque à lire pour en comprendre les tenants et aboutissants., et cela se ressent autant dans son trait épuré (quoique d'abord un brin brouillon au début) que dans ses sublimes Cents Vues de Sidonia à se damner tellement elles reflètent tout l'amour de Nihei pour l'architecture.

Mais, à mon sens, un beau coup de crayon ne sauve pas les meubles, et je ressors de ma lecture sans grandes sensations. Loin des mégastructures délirantes d'un BLAME! et loin des combats violents et techniques d'un Abara, Knights Of Sidonia a finalement surtout pour lui ses grands espaces ou s'affronte Gauna et humains au prix d'une survie toujours plus gourmande en ressources, mettant par instants en lumière la futilité de la survie de notre race.
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critiques presse (1)
ActuaBD
25 février 2013
Un premier tome assez étrange qui met en place quelques éléments, mais laisse en suspens l’histoire de la colonie et le passé de Nagate. Clair et mystérieux, on attend le développement du récit dans les prochains tomes.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
- T’es un mec ou une fille ?
- Ni l’un, ni l’autre !
- Hein ?
- Tu ne dois pas être au courant… Mais dernièrement on, on a créé un troisième sexe. Nous pouvons nous reproduire aussi bien avec un homme qu’avec une femme… Et même sans partenaire, nous pouvons donner naissance à notre propre clone par parthénogénèse !
- …
- Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu cet air gêné… C’est dommage, je me disais que tu avais peut-être une particularité physique comme moi.
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Nous avons tous les quatre été sélectionnés pour former le corps expéditionnaire... On nous a confié deux artistes... Nous recevrons peut-être l'ordre de déploiement demain...
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La supériorité à un ennemi ne s'affirme pas dans la destruction, mais par la construction.
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