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EAN : 978B0017VYYEY
(30/11/-1)
3.25/5   8 notes
Résumé :
« Elle était plus intelligente, plus malicieuse que personne. Ce poète avait la sagacité psychologique d'un Marcel Proust, l'âpreté d'un Mirbeau, la cruelle netteté d'un Jules Renard », écrit Jean Rostand dans sa préface à Choix de poésies d’Anna de Noailles, en 1960.

Femme du monde et de lettres à l’esprit vif et à la verve débordante, Anna ne laisse pas indifférent ses contemporains, et parmi eux André Gide qui dit d’elle : « Impossible de rien note... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Il est rare que j'attribue une mauvaise note à un livre comme c'est le cas ici.

J'avais lu il y a quelques semaines que cette poétesse d'origine roumaine était appréciée de Proust, de Gide, de Valéry, et d'autres écrivains, qui louaient son lyrisme. Certes, elle est classée comme une poétesse romantique (de la fin du 19ème siècle et du début du 20ème), ce qui est assez loin de mes goûts en matière de poésie, et ceci même si j'apprécie beaucoup Victor Hugo, ou Marceline Desbordes-Valmore.

J'ai donc tenté une petite incursion au sein de ses poèmes ce qui a été possible grâce à ce recueil Éblouissements disponible gratuitement sur internet.

Au fur et à mesure des pages, et à quelques minimes exceptions (Ivresse du printemps, Glauque matin, ….) quelle déception. Et je suis bien triste d'écrire que je n'ai pas aimé du tout ce lyrisme qui s'applique principalement à la nature, tout cela me semble sonner faux, les images plates, un peu ridicules parfois même.

Si je me contente, ce qui est un choix arbitraire, de comparer ces textes à ceux d'autres poétesses, la magique Andrée Chedid, ou Marceline Desborde-Valmore avec ses poèmes pleins de fraîcheur et de musicalité, ou même Louise Labé, celles là me touchent énormément, alors que ce n'est pas du tout le cas d'Anna de Noailles.

Sans doute, parce qu'il y me manque comme le dit Verlaine, « de la musique avant toute chose… » ou encore ceci « Rien n'est plus cher que la chanson grise où l'indécis au précis se joint ».
Et si, comme le dit Marcel Proust, « chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même », je me dis que j'attends, et depuis longtemps, et surtout sur l'évocation de la « nature », plus de mystère dans le texte poétique, qu'il soit en vers ou pas (ainsi les romans de Bosco ou de Giono).

Il me reste quand même, et sans explication, l'énigme de l'estime qu'a eue Anna de Noailles de ses contemporains, qui n'étaient pas médiocres loin de là.
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J'ai commencé l'année avec, allez savoir pourquoi, des envies de poésie. Des recueils – que je n'avais jamais parcourus qu'en diagonale jusqu'alors – m'ont fait de l'oeil. Les soeurs Brontë, Victor Hugo, Louis Aragon… d'autres m'attendent encore.

J'ai décidé de m'attaquer à l'oeuvre d'Anna de Noailles, ne serait-ce que parce que j'avais envie de lire une poétesse – et non un poète. Fichtre. Quelle n'a pas été ma déception.

J'ai eu l'impression de lire sans cesse la même rengaine. Des plantes, des plantes et encore des plantes, un herbier, somme toute. Damn. le recueil est organisé en quatre parties : j'ai lu « vie-joie-lumière » en entier (et me suis délitée au fur et à mesure), navigué par ci par là dans « Beauté de la France », sauté « Les Jardins » (plus JAMAIS d'arbres, vous dis-je, fussent-ils des sapins), puis j'ai attaqué avec force acharnement « La Douleur et la mort ». Je dois vous avouer que je n'en suis pas ressortie grandie.

La Comtesse de Noailles fait souvent référence à des villes étrangères telles que Venise, Florence, Constantinople ; à des pays tels que le Sénégal, l'Egypte, l'Espagne ; mais qu'importe, elle n'aura pas réussi à me faire voyager.

Pour cause, le style m'a paru plutôt plat. Les comparaisons ou métaphores se cantonnent souvent à l'évidence, du genre « clair comme un miroir ». On n'est pas loin de « bleu comme l'eau », ou « vert comme l'herbe », bref. de plus, trop d'enthousiasme tue l'enthousiasme, et les exclamations (enthousiastes, l'ai-je précisé ?), ont fini par me sortir par les trous de nez. Ne parlons pas de cette manie de terminer tous ses poèmes par des points de suspension.

Anna de Noailles évoque à un moment le « lyrisme divin » : je pense pouvoir affirmer dorénavant que c'est typiquement ce que je n'aime pas. Les multiples références à des divinités et à la mythologie, à l'instar de ses invitations au voyage, m'ont paru creuses.

J'ai malgré tout apprécié quelques images, quelques poèmes, mais ceux-ci se sont révélés bien rares. En conclusion, même si l'ensemble est bien construit, il ne m'aura pas touchée.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
ÉBLOUISSEMENT

Quelquefois, dans la nuit, on s’éveille en sursaut,
Et, comme un choc qui brise et qui perce les os,
On songe au temps qui fuit, aux plus jeunes années,
À l’aurore enflammant les vitres fortunées,
Aux fougueux papillons, qui, sur la paix des blés,
Se poursuivaient pareils à des jasmins ailés.
Les odorantes fleurs étaient des puits, des jattes.
Les abeilles dansaient autour des aromates,
Et leur vol chaud semblait aux plantes retenu
Par un fil lumineux, élastique et ténu.
Comme un clair groupement de forces bondissantes,
Les collines riaient triomphantes, luisantes ;
Jeunes jours dont l’accent ne peut pas revenir,
Qui nous consolera de tous nos souvenirs !
Ô matins de quinze ans, où le corps tendre et preste
S’alliait à l’arôme, à la chaleur céleste,
Où les oiseaux montaient d’un vol facile et pur,
Où tout l’être semblait aspiré par l’azur,
Où l’on palpait, l’odeur, l’air, l’horizon, les vagues
Avec la main qui tremble et l’esprit qui divague !
Matins où l’on était solitaire et vainqueur,
Où l’on sentait courir les fleuves sur son cœur,
Où l’on goûtait, buvant l’aurore sur la cime,
La divine pudeur de se sentir sublime !
Où le désir, à l’aigle audacieux pareil,
Était un arc d’argent qui vise le soleil !
Pensif, l’on se sentait indispensable au monde,
L’on se disait : « Ma vie où le désir abonde,
Le flambeau de mes yeux, mon bras tendre et pressant,
Rajeuniront demain l’univers languissant... »
Je me souviens des soirs en mai sur la terrasse,
L’odeur d’un oranger engourdissait l’espace,
Et je sentais, venant par tous les blancs chemins,
Le soir apprivoisé se coucher dans mes mains…
Sans pouvoir distinguer les formes, les visages,
De tout, je me disais : « C’est Éros qui voyage. »
Les ailes des oiseaux et les pas des passants
Faisaient un même bruit de désir dans mon sang.
Sous le magnolia, le cèdre, les troènes,
L’odeur coulait ainsi que de chaudes fontaines,
Et, l’âme épouvantée, et le cœur éperdu
Je demandais à l’infini : « Que me veux-tu ? »
La lune, sur la mer mollement agitée,
Par chaque flot mouvant semblait être emportée,
Et sous l’astre laiteux aux bondissants regards,
Toute la mer était blanche de nénuphars…
Je contemplais cette eau luisante, énigmatique.
Je me disais : « Là-bas, c’est la puissante Afrique,
C’est le cri des félins, par l’écho répété,
C’est l’inimaginable et meurtrier été,
C’est la rage divine et l’écume de l’âme... »
Et j’étendais ma main pour toucher cette flamme.
– Aujourd’hui, le cœur las et blessé par le feu,
Je vous bénis encor, ô brasier jaune et bleu,
Exaltant univers dont chaque élan m’enivre !
Mourante, je dirai qu’il faut jouir et vivre,
Que, malgré la langueur d’un corps triste et brûlant,
La nuit est généreuse et le jour succulent ;
Que les larmes, les cris, la douleur, l’agonie
Ne peuvent pas ternir l’allégresse infinie !
Qu’un moment du désir, qu’un moment de l’été,
Contiennent la suave et chaude éternité.
Ô sol humide et noir d’où jaillit la jacinthe !
Qu’importe si dans l’âpre et ténébreuse enceinte
Les morts sont étendus froids et silencieux ;
Ô beauté des tombeaux sous la douceur des cieux !
Marbres posés ainsi que des bornes plaintives,
Rochers mystérieux des incertaines rives,
Horizontale porte accédant à la nuit,
Ô débris du vaisseau, épave qui reluit,
Comme vous célébrez la joie et l’abondance,
La force du plaisir, l’audace de la danse,
L’universelle arène aux lumineux gradins !…
– Et quelquefois, parmi les funèbres jardins,
Je crois voir, ses pieds nus appuyés sur les tombes,
Un Éros souriant qui nourrit des colombes…
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LES TERRES CHAUDES

C’est un brûlant accablement,
L’espace, par chaude bouffée,
Descend sur la plaine étouffée,
Sur le taillis lourd et dormant.

Il semble que la nue ardente,
Que l’azur, que l’argent du jour,
Tombent du poids d’un grand amour
Sur toute la terre odorante,

Sur la terre ivre de couleurs,
Où, tendre, verte, soleilleuse,
La primevère, aimable, heureuse,
Luit comme une laitue en fleurs.

La lumière semble sortie
De son empire immense et haut
Pour se poser sur le plateau
Que fait la feuille de l’ortie,

Pour se poser sur le prunier,
Sur le tronc mauve de l’érable.
Tout l’univers est désirable,
Et se pâme, d’amour baigné...

— Je songe aux villes éclatantes,
À des soleils mornes et forts
Pesant comme une rouge mort
Sur les rivières haletantes.

Ô divin étourdissement
Dans la douce île de Formose,
Lorsque, le soir, le paon des roses
Fait son amoureux sifflement !

Langueur des villages de paille,
Où, chaude comme l’âpre été,
La danseuse aux doigts écartés
Est un lys jaune qui tressaille.

Moiteur des nuits du Sénégal,
Corps noirs brûlants comme une lave,
Herbe où le serpent met sa bave,
Sanglots du désir animal !

Ô Rarahu, ô Fatou-gaye,
Ô princesse Ariitéa,
Ivres d’un feu puissant et bas
Qui vous brûle jusqu’aux entrailles ;

Immense stagnance du temps,
Torpide, verte, lourde extase,
Odeur du sol et de la case,
Herbages mous comme un étang.

Tristesse, quand la nuit s’avance
Avec ses bonds, ses cris déments,
De songer à des soirs charmants
Dans la Gascogne ou la Provence ;

Et soudain, salubre parfum
D’un navire aux joyeux cordages
Qui glisse vers de frais rivages
Avec ses voiles de lin brun !

Ô beauté de toute la terre,
Visage innombrable des jours,
Voyez avec quel sombre amour
Mon cœur en vous se désaltère,

Et pourtant il faudra nous en aller d’ici,
Quitter les jours luisants, les jardins où nous sommes,
Cesser d’être du sang, des yeux, des mains, des hommes,
Descendre dans la nuit avec un front noirci,

Descendre par l’étroite, horizontale porte
Où l’on passe étendu, voilé, silencieux ;
Ne plus jamais vous voir, ô lumière des cieux ;
Hélas ! je n’étais pas faite pour être morte !
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Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent.
La rumeur du jour vif se disperse et s’enfuit,
Et les arbres, surpris de ne pas voir la nuit,
Demeurent éveillés dans le soir blanc, et songent...

Les marronniers, sur l’air plein d’or et de lourdeur,
Répandent leurs parfums et semblent les étendre ;
On n’ose pas marcher ni remuer l’air tendre
De peur de déranger le sommeil des odeurs.

De lointains roulements arrivent de la ville...
La poussière qu’un peu de brise soulevait,
Quittant l’arbre mouvant et las qu’elle revêt,
Redescend doucement sur les chemins tranquilles ;

Nous avons tous les jours l’habitude de voir
Cette route si simple et si souvent suivie,
Et pourtant quelque chose est changé dans la vie ;
Nous n’aurons plus jamais notre âme de ce soir...
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COMMENCEMENTS

Je songe quelquefois à mon commencement ;
L’azur venait d’éclore
Et déjà je vivais, avec un cœur charmant,
Éparse dans l’aurore.

Je suis comme le temps, ma vie est faite avec
La matière du monde,
Je fus avant l’immense Égypte, avant les Grecs,
Aux premiers jours de l’onde ;

J’ai dû naître sur l’eau, dans un matin puissant,
Sous la luisante écume,
Quand l’Univers était un volcan plein d’encens,
Un mol azur qui fume.

Je crois me souvenir de ce matin où vint
Sur mes lèvres mouillées
Se poser à jamais le lyrisme divin
Aux ailes éployées.

Et maintenant, je suis le tendre et chaud miroir
De l’époque en allée,
La fraîcheur du matin, la tristesse du soir
Et la nuit étoilée.

Quelquefois je me sens couchée au bord des eaux,
Un dattier noir m’effleure
Tandis que, lents coteaux balancés, des chameaux
Vont vers l’Asie-Mineure.

Quelquefois je m’assieds dans l’or d’un sable amer,
À l’abri bleu du saule,
Et j’attends que revienne Ulysse jeune et clair,
La rame sur l’épaule.

J’habite tout l’espace et je remonte au temps ;
Je m’en vais attendrie
Écouter les docteurs ondoyants et chantants
Des soirs d’Alexandrie.

Parfois je suis la chaude Arabe, aux yeux de loup
Qu’un songe immense creuse,
J’erre dans les jardins d’un couvent andalou,
Près d’une palme heureuse.

Je ne pourrais jamais exprimer mon désir,
L’ardeur qui me terrasse,
Ni si les monts d’argent me prêtaient leur soupir
Soulevé dans l’espace,

Ni si le lis brûlant me donnait son odeur
Dans l’azur infusée,
Ni si toute la mer se groupait dans mon cœur
Pour jaillir en fusée !
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Être dans la nature ainsi qu’un arbre humain,
Etendre ses désirs comme un profond feuillage,
Et sentir, par la nuit paisible et par l’orage,
La sève universelle affluer dans ses mains !
Vivre, avoir les rayons du soleil sur la face,
Boire le sel ardent des embruns et des pleurs,
Et goûter chaudement la joie et la douleur
Qui font une buée humaine dans l’espace !
Sentir, dans son cœur vif, l’air, le feu et le sang
Tourbillonner ainsi que le vent sur la terre.
- S’élever au réel et pencher au mystère,
Etre le jour qui monte et l’ombre qui descend.
Comme du pourpre soir aux couleurs de cerise,
Laisser du cœur vermeil couler la flamme et l’eau,
Et comme l’aube claire appuyée au coteau
Avoir l’âme qui rêve, au bord du monde assise...
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Vidéo de Anna de Noailles
« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])
« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960])
0:00 - Jeanne Perdriel-Vaissière 1:17 - Marguerite Burnat-Provins 1:54 - Hélène Picard 4:05 - Jean Dominique 5:16 - Lucie Delarue-Mardrus 6:11 - Anna de Noailles 8:25 - Renée Vivien 9:41 - Générique
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Référence bibliographique : Alphonse Séché, Les muses françaises : anthologie des femmes-poètes (1200 à 1891), Paris, Louis-Michaud, 1908.
Images d'illustration : Alphonse Séché, Les muses françaises : anthologie des femmes-poètes (1200 à 1891), Paris, Louis-Michaud, 1908. Marguerite Burnat-Provins : https://christianberst.com/en/artists/marguerite-burnat-provins
Bande sonore originale : Arthur Vyncke - Uncertainty Uncertainty by Arthur Vyncke is licensed under a CC BY-SA 3.0 Attribution-ShareAlike 3.0 license.
Site : https://www.free-stock-music.com/arthur-vyncke-uncertainty.html
#PoétessesFrançaises #PoèmesDeFemmes #LittératureFrançaise
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