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Critique de SylvieBelgrandReims
Je n'allume plus la télé depuis des mois parce que je ne supporte plus le monde tel qu'il y est montré.
Là, je suis en vacances pour une semaine, et je me dis : Tiens, je lirais bien le dernier Norek. Ses trois premiers romans étaient très bons, avec des histoires passionnantes et des personnages profonds, sensibles... et là, en trois pages, bam! Direct le coup au plexus solaire qui coupe le souffle. Une ouverture digne d'un très bon film. Impossible à lâcher.
Me voilà partie pour une intrigue policière, mais pas seulement, de plus de 400 pages dans la jungle de Calais. À chaque page, j'ai mal. À chaque page, je suis en colère. J'ai souvent les larmes aux yeux... Et j'adore ça !
C'est bien écrit, bien rythmé, profondément humain. On serre les poings devant la détresse des migrants, celle des humanitaires, celle des flics.
Bouleversant.
Au-delà d'un bon moment à lire une excellente histoire policière, j'en ressors avec beaucoup d'interrogations sur le monde bien sûr, mais aussi sur la justice, sur les rêves que fait parfois naître le mot France, sur moi aussi, il faut bien le dire.
Là, je suis en vacances pour une semaine, et je me dis : Tiens, je lirais bien le dernier Norek. Ses trois premiers romans étaient très bons, avec des histoires passionnantes et des personnages profonds, sensibles... et là, en trois pages, bam! Direct le coup au plexus solaire qui coupe le souffle. Une ouverture digne d'un très bon film. Impossible à lâcher.
Me voilà partie pour une intrigue policière, mais pas seulement, de plus de 400 pages dans la jungle de Calais. À chaque page, j'ai mal. À chaque page, je suis en colère. J'ai souvent les larmes aux yeux... Et j'adore ça !
C'est bien écrit, bien rythmé, profondément humain. On serre les poings devant la détresse des migrants, celle des humanitaires, celle des flics.
Bouleversant.
Au-delà d'un bon moment à lire une excellente histoire policière, j'en ressors avec beaucoup d'interrogations sur le monde bien sûr, mais aussi sur la justice, sur les rêves que fait parfois naître le mot France, sur moi aussi, il faut bien le dire.
