>
Critique de valentineuchin
Je conseille vivement ce livre et ce, pour plusieurs raisons.
D'une part, l'intrigue est vraiment haletante, il n'y a pas de temps mort, pas de pause, les rebondissements sont nombreux et inattendus. le roman se termine en apothéose.
Le talent d'Olivier Norek réside aussi dans le fait que les dialogues font mouche, on ne perd pas de temps à s'attarder sur les détails, seulement sur ceux qui sont utiles à l'intrigue et c'est ce qui donne, à mon sens, un côté très réaliste à l'intrigue.
Pour autant, il prend le temps de développer les personnages qui font ce roman notamment l'équipe qui accompagne également les deux premiers romans et forcément, sans trop en dire, on s'y attache et la fin du roman ne peut que vous marquer.
Puis, que ce soit pour Surtensions, Code 93 ou Territoires, ses précédents romans, l'intrigue a un côté particulièrement réaliste qui est évidemment, enrobé pour les besoins du roman mais il n'empêche que l'on ressent que Norek n'est pas loin de la réalité, il sait de quoi il parle, il a épluché le sujet, rencontré les acteurs (policiers, surveillants de prison...) avant de se lancer dans l'écriture du bouquin qui dépeint d'ailleurs avec un grand réalisme (je pense) le milieu carcéral.
En définitive, je recommande vivement ce livre pour tout ce que je viens d'exposer plus haut mais également parce qu'il nous rappelle que tout n'est pas noir ou blanc dans la vie, qu'on ne fait pas, soit le bien, soit le mal mais qu'un tas de choses viennent court-circuiter nos façons de penser et de réagir.
Mention spéciale à la fin du roman qui m'a beaucoup touché.
Et pour les mêmes raisons, je vous conseille Code 93 et Territoires même si, à mon humble avis, Surtensions est, à ce jour, le meilleur des trois.
D'une part, l'intrigue est vraiment haletante, il n'y a pas de temps mort, pas de pause, les rebondissements sont nombreux et inattendus. le roman se termine en apothéose.
Le talent d'Olivier Norek réside aussi dans le fait que les dialogues font mouche, on ne perd pas de temps à s'attarder sur les détails, seulement sur ceux qui sont utiles à l'intrigue et c'est ce qui donne, à mon sens, un côté très réaliste à l'intrigue.
Pour autant, il prend le temps de développer les personnages qui font ce roman notamment l'équipe qui accompagne également les deux premiers romans et forcément, sans trop en dire, on s'y attache et la fin du roman ne peut que vous marquer.
Puis, que ce soit pour Surtensions, Code 93 ou Territoires, ses précédents romans, l'intrigue a un côté particulièrement réaliste qui est évidemment, enrobé pour les besoins du roman mais il n'empêche que l'on ressent que Norek n'est pas loin de la réalité, il sait de quoi il parle, il a épluché le sujet, rencontré les acteurs (policiers, surveillants de prison...) avant de se lancer dans l'écriture du bouquin qui dépeint d'ailleurs avec un grand réalisme (je pense) le milieu carcéral.
En définitive, je recommande vivement ce livre pour tout ce que je viens d'exposer plus haut mais également parce qu'il nous rappelle que tout n'est pas noir ou blanc dans la vie, qu'on ne fait pas, soit le bien, soit le mal mais qu'un tas de choses viennent court-circuiter nos façons de penser et de réagir.
Mention spéciale à la fin du roman qui m'a beaucoup touché.
Et pour les mêmes raisons, je vous conseille Code 93 et Territoires même si, à mon humble avis, Surtensions est, à ce jour, le meilleur des trois.
