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Critique de AuBazartDesMots


J'avais déjà lu quelques NOTHOMB (eh oui, notre Amélie fait partie de ces auteurs dont le nom est devenu en quelque sorte un adjectif…). Je les avais trouvé assez faciles d'accès et rapidement lus, bref, de parfaits romans dits « de transports », assez courts pour être fini à l'arrivée et assez long pour tenir un trajet. Mon premier livre (le culte « Stupeur et Tremblements ») a accompagné mon premier trajet de jeune enseignante, entre Strasbourg, mon lieu de villégiature, et Mulhouse, ma première affectation. le suivant, « Hygiène de l'Assassin », a suivi un périple entre la gare de Lyon Part Dieu (nouvel appartement) à Meyzieu (nouvel établissement). Et « Métaphysique des Tubes » a bien illustré mes errances de TZR entre Troyes et Bar sur Seine.

Et c'est donc tout naturellement lors d'un trajet (Troyes-Strasbourg) que j'ai lu » Cosmétique de l'ennemi ». le texte tient une heure, bon, j'avais espéré un peu plus, et est fait pour être lu d'une traite. Pas de chapitres, juste un dialogue, tel une pièce de théâtre. Deux protagonistes s'attirent et s'opposent. Il y a un homme d'affaire qui justement est en trajet, et attend dans le hall d'un aéroport avec un livre. le moins qu'on puisse dire, c'est que je m'y suis identifiée (dans un premier temps, hein, je rassure ceux qui ont lu l'ouvrage). Et il y a un autre, au nom impossible, Textor Textel, qui le harcèle. Ils conversent un temps, ou plutôt se disputent.

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Lien : https://aubazartdesmots.word..
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