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EAN : 9782290054116
80 pages
J'ai lu (10/10/2012)
3.46/5   25 notes
Résumé :
"La philosophie hédoniste est une proposition psychologique, éthique, érotique, esthétique, bioéthique, politique... Elle (se) propose un discours sur la nature des choses afin que tout un chacun puisse trouver sa place dans une nature, que tout un chacun puisse trouver sa place dans une nature, un monde, un cosmos dans la perspective d'une vie réussie - la vie réussie se définissant comme celle qu'on aimerait revivre s'il nous était possible d'en vivre une à nouvea... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
"Connaître l'être de ce qui est, c'est savoir la volonté de Puissance" rappelle Michel Onfray dans son essai Abrégé hédoniste.
Résolument placé à l'ombre du "sage" Nietzsche, Michel Onfray, philosophe contemporain prolifique (comme dans Manifeste hédoniste où il confiait entre autres avoir été dirigé lui-même en pensionnat par des prêtres salésiens) s'insurge contre la religion (en particulier le christianisme car "une éthique hédoniste suppose un combat athéologique") et Platon, rejette les théories psychanalytiques de Freud (pour lui préférer la "psychanalyse existentielle de Sartre") et aborde sa théorie hédoniste par le biais de plusieurs courants: psychologique, éthique (Dieu est "une fiction") où la morale est mise en avant (ne se faire du mal ni à soi ni aux autres),érotique (l'érotisme donnant "un supplément d'âme à la sexualité") esthétique (ex:on peut faire de sa vie une oeuvre d'art), politique (en restant libre sans jamais ne se faire dominer).
Cet Abrégé hédoniste est fouillé, brillant et éclairant quant à la pensée d'un philosophe nietzschéen, même si je n'approuve pas le fait qu'il soit lui même sectaire par rapport à des dites sectes, ou qu'il étudie plus l'esthétique et la "fétichisation" de l'art que son langage ou qu'il combatte la "philosophie pour philosophes" en ouvrant une Université populaire (ce qui est très bien en soi comme démarche) et emploie lui-même au fil des pages une langue hermétique pour philosophes!!!
A lire! Pour 3 euros c'est chez Librio et on amortit amplement son achat!
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Après l'avoir vu dans deux émissions télé, Onfray m'avait paru être quelqu'un de méprisant (je n'ai pas dit méprisable). Mais deux personnes de mon entourage m'ont déclaré le trouver intéressant. J'ai donc voulu connaître sa pensée. J'ai choisi un tout petit volume pour cette première rencontre.
Divisé en tous petits chapitres sur différents aspects de l'hédonisme, cet ouvrage est souvent stimulant mais je n'ai pas adhéré à tout. J'ai trouvé que si Onfray a parfaitement le droit d'être non croyant et de le dire, la façon qu'il a de le faire est exagérée. J'ai d'ailleurs estimé assez ridicule sa persistance à parler de « l'ère commune » plutôt que de l'ère chrétienne. L'usage est établi depuis deux mille ans, l'existence d'un homme nommé Jésus est avérée quel que soit le rôle qu'on lui reconnaît, alors quel intérêt de rejeter l'expression « après Jésus Christ », sinon par entêtement.
Le christianisme est d'ailleurs selon lui le père de tous les maux. Encore une fois j'ai été amusée par ce qui m'a semblé être une certaine mauvaise foi. Entre autre, on lui doit le machisme. Tiens, me suis-je dit, il me semble que la Chine ou le Japon n'ont rencontré le christianisme qu'assez récemment, je n'avais pas eu l'impression que la vie des femmes dans les siècles précédents y avait été si enviable. Peut-être n'est-ce pas dû au christianisme mais à la mentalité masculine.
A plusieurs reprises, la phrase de Boileau « ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément » m'est venue à l'esprit, mais pas comme illustration de ce que j'étais en train de lire.
Je trouve tout cela d'autant plus dommage que sa pensée est vraiment stimulante comme je l'ai dit plus haut.
Je ne sais pas encore si et éventuellement quand j'essaierai un autre de ces écrits, il y a tant à lire avec un plaisir sans mélange.
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un livre court certes, mais qui s'apparente plus à une première ébauche, une première découverte du Manifeste hédoniste d'Onfray
ouvrage que je compte lire désormais, même si cet Abrégé m'a semblé assez inégal selon les chapitres, les thématiques abordées :
préambule / psychologie / éthique / esthétique / érotique / bioéthique / politique

le chantier est vaste certes, mais les réflexions de l'auteur me semblent inégalement convaincantes, abouties, construites

j'ai beaucoup apprécié le préambule, évoquant la métaphysique, notre condition humaine, le cosmos et le sentiment océanique, l'astrophysique ...
il peut parler à des personnes très différentes, scientifiques, humanistes, les deux, ou à des personnes sensibles à la poésie ...

la partie abordant la psychologie laisse beaucoup de place à des charges, à mon avis un peu excessives, à l'encontre de Freud
certes Freud avait ses défauts, et il est utile de remettre en question ses théories, ses écrits, son "héritage", les différents courants "psy" qui ont pris tant d'importance dans nos sociétés ... mais peut-être devrions-nous nous souvenir qu'à l'époque les théories de Freud et d'autres scientifiques étaient novatrices ... et puis c'est ignorer un peu trop l'influence de tous les scientifiques et psy qui se sont succédé depuis ... et qui marquent également notre culture occidentale

les parties abordant l'éthique, l'érotique et la politique, n'arrivent pas plus à me convaincre ... j'ai nettement préféré la partie abordant l'esthétique, l'art, que j'ai trouvé plus cohérente, pertinente et pas forcément "moderniste" et aussi relativiste que chez d'autres auteurs contemporains ! j'ai apprécié ce point

enfin, de bonnes réflexions sur le capitalisme, aussi vieux que le monde et difficilement évitable, et le libéralisme, devenu pensée unique et trop souvent confondu avec le capitalisme (ce qui arrange certains, probablement)

à lire donc si vous avez une ou deux heures devant vous
et ensuite, à approfondir avec le Manifeste hédoniste si le coeur vous en dit
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Petit abrégé concis, clair, relativement simple et abordable,- ou en tout cas marche pied instructif-, permet d'entrer dans la philosophie de Michel Onfray, beaucoup critiqué ces derniers temps pour ses positions qui ébranlent les poncifs psychanalytiques dont il est un peu question ici, mais pas que!...
Il aborde la question de l'hédonisme dans plusieurs domaines dont la psychologie, l'éthique, la politique et ouvre des possibilités que je trouve très intéressantes!
On sent le "contre historien" de la philosophie, ses références sont multiples et toujours d'actualité même avec des racines grecques!
Je vois donc cet essai comme une petite fenêtre entrouverte sur un salon où discuteraient Michel Onfray certes, mais Platon, Hegel, Levi Strauss, Sartre mais aussi Freud même si il aurait sûrement quitté les lieux en claquant la porte, je suis sûre qu'il aurait été invité!
Chaque sujet traité montre bien comment nous sommes inscrits dans une histoire séculaire et comment on peut la réécrire aujourd'hui pour avoir envie de la revivre demain!
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Il est curieux de constater à quel point ce que l'on combat déteint sur soi !
Michel Onfray, pourfendeur des dogmes politiques et religieux, réalise ici un manifeste de la « religion » qu'il défend : l'hédonisme, cette recherche du plaisir en toute chose, qui exclue la souffrance.
Et la souffrance créatrice, la souffrance du corps vieillissant ou malade, la souffrance amoureuse, qu'en est-il ? Pas de réponse…
On croirait lire une dissertation sur le slogan de Mai 68 : « Jouir sans entraves »
Des idées, certes, Onfray est après tout un esprit fin, quoique peu enclin à la controverse, qu'il balaie souvent d'un revers de la main en déclarant de son socle que l'on ignore ce que lui sait ! Imparable !
Oui, mais voilà, la jouissance perpétuelle est un voeu, sinon pieux, sensiblement infantile, étant donné la nature de l'homme, sans entrer dans de fastidieux développements, indigne que je suis de frayer avec le totémique Onfray !
Oint par les saintes huiles de la connaissance, il va donc m'éclairer pour me sortir des ténèbres de l'indigence intellectuelle ! Voilà ce que j'entends dans cette succession de règles beaucoup plus strictes que ne le laisse paraître leur auteur.
Tout n'est pas non plus à jeter avec le bébé et l'eau du bain, mais c'est écrit comme un procès-verbal.
Si j'aime, par exemple, son analyse de l'art contemporain, je déplore dans le même temps son aversion obsessionnelle pour la spiritualité, qu'il caricature à foison. Non, le matérialisme ne peut pas tout, puisqu'il n'en est qu'une infime partie, selon ma petite tête, bien entendu!
Dans cet abrégé, le dogmatisme plane comme une odeur déplaisante.
A lire avec prudence...

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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Je propose donc qu'on se souvienne que, pour être fidèle à Duchamp, il ne faut pas le dupliquer mais le dépasser.
Ce dépassement suppose la pratique du droit d'inventaire et la mise à l'écart des symptômes de la psychopathologie de l'époque : l'indigence intellectuelle, l'autisme, le solipsisme, l'hystérisation, la thanatophilie, la régression, le kitsch, l'élitisme et le narcissisme. D'où, dans un premier temps, une série de propositions critiques sur le principe du nettoyage des écuries d'Augias :

1) Raréfier le conceptualisme et renouer avec l'idéal révolutionnaire de Duchamp. Notre époque paraît plus esthète et décadente qu'artistique.
L'abus de concepts détruit le concept et finit même par ruiner toute possibilité d'oeuvre. (...) La peinture de monochromes, le concert de musique sans musique, les projections de films sans images, la poésie sans mots (...)
dupliquer ces impasses n'est pas rendre service à l'art ...

2) Restaurer la catharsis comme moyen et non comme fin.
Les riches et belles heures du Happening, de la Performance et autres scénographies hystériques (...) pouvaient se justifier (...) avant Mai 68, mais après, il en va moins d'un théâtre progressiste que d'une scénographie régressive.

3) Dépasser l'égotisme autiste et rompre avec la complaisance solipsiste de ceux qui mettent en scène la banalité, la trivialité et la vacuité de leur quotidien (...) pour créer une tendance lourde de l'art contemporain, par exemple sous la rubrique des "Mythologies personnelles"

4) Combattre la fétichisation de la marchandise et dénoncer les oeuvres produites selon le principe du clonage (...)
5) En finir avec la religion de l'objet trivial (...)
6) Abolir le règne du kitsch (...)
7) Rompre avec la passion thanatophilique (...)
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Pour autant, le divorce entre grand public et art contemporain n'est pas dû au seul public car nombre d' "artistes", sous prétexte de conceptualité, oublient qu'un demi-chemin leur est imputable et produisent des oeuvres dépourvues de sens, d'intérêt, d'intelligence, de signification.

Miroir du nihilisme oblige, leurs productions trahissent moins une radicalité signifiante qu'une asthénie dominante. Dupliquer Duchamp, c'est encore dupliquer (...)
Il existe aujourd'hui une arrière-garde définie par sa revendication d'avant-garde, doublée d'une pratique dupliquante célébrée et entretenue par l'institution (...)

Duchamp révolutionne donc les choses sur deux plans : le regardeur investi d'une responsabilité dans le processus de création esthétique mais également, nous l'avons déjà vu, la révolution des supports. (...)
Cette possibilité de toutes les matières ouvre la porte à une surenchère de supports (...)

La contemporanéité interdit le jugement de goût avec recul.
Tout est possible, on ne peut tout de suite saisir ce qui, dans ce tout, surnagera
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Le refus d'en appeler à la raison, la volonté délibérée de s'appuyer sur les passions, le pari de solliciter les émotions, de jouer l'affect déraisonnable contre la pensée rationnelle, génèrent une immobilité chère au coeur des conservateurs nombreux dans le domaine de la bioéthique où ils chassent en meute.

Je propose pour ma part une heuristique de l'audace en matière de bioéthique, l'exacte antithèse de la peur : ne pas tabler sur la technophobie, la peur du pire, la menace de la catastrophe, le pessimisme de la modernité,
mais défendre la technophilie, le désir du meilleur, la perspective du perfectionnement, l'optimisme de l'éthique hédoniste.

Le techniquement faisable n'est pas toujours moralement défendable, et de loin, mais la science n'est pas mauvaise en soi : elle l'est en fonction des causes servies. (...)

Une bioéthique nominaliste défend donc l'artifice pour pallier la nature : là où cette dernière manque sur le terrain hédoniste (un amoindrissement du corps, une douleur, une souffrance, un affaiblissement des potentialités de la chair, la perspective d'une affection handicapante, une maladie, etc), elle est compensée par un artifice qui vient en aide, qui propose un recours. (...)

La réappropriation de soi est l'épicentre de ce projet : notre corps nous appartient.
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Je distingue le capitalisme du libéralisme et désespère qu'on confonde souvent les deux termes : le capitalisme est un mode de production des richesses dans lequel la rareté constitue la valeur; le libéralisme un mode de redistribution des richesses dans lequel le marché libre fait sa loi.

(...) En revanche, ce capitalisme se coefficiente : le capitalisme néolithique n'est pas le capitalisme financier, qui n'est pas le capitalisme antique des Gréco-Romains ni sa formule médiévale, encore moins celui qu'on prend souvent pour le seul, le capitalisme industriel.

Le problème est donc moins dans le substantif que dans son épithète : capitalisme, certes, mais quel capitalisme ?
Capitalisme libéral, non merci.
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Déchristianiser la chair, en finir avec le corps chrétien schizophrène, séparé entre l'âme lumineuse et la chair peccamineuse, l'ensemble goûtant particulièrement , les putréfactions, les cadavres, les morgues; montrer la vérité de l'homme machine, de la chair travaillée par la vie ; apprendre, en renouant avec l'art anatomique , à apprivoiser la mort et à bien mourir , autrement dit : à bien vivre.
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Videos de Michel Onfray (159) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Onfray
*INTRODUCTION* : _« […] Je veux seulement, Monsieur, vous faire part d'une chose que j'ai lue dans Montaigne, et qui marque son bon goût. Il souhaitait devenir assez savant pour faire un recueil des morts les plus éclatantes dont l'Histoire nous parle. Vous qui êtes son partisan, vous approuverez ce dessein que j'exécute en partie. En effet, le véritable point de vue où je placerais une personne qui veut bien juger du ridicule qui règne dans le monde, est le lit de mort. C'est là qu'on se détrompe nécessairement des chimères et des sottises qui font l'occupation des hommes. Nous sommes tous fous ; la folie des uns est plus bouillante, et celle des autres plus tranquille. »_ *André-François Boureau-Deslandes* [1690-1757], _À Monsieur de la Ch…_
_« Rien ne doit plus nous frapper dans l'histoire des grands hommes, que la manière dont ils soutiennent les approches du trépas. Je crois que ces derniers moments sont les seuls, où l'on ne puisse emprunter un visage étranger. Nous nous déguisons pendant la vie, mais le masque tombe à la vue de la mort, et l'Homme se voit, pour ainsi dire, dans son déshabillé. Quelle doit être alors la surprise ! Tout l'occupe sans le toucher : tout sert à faire évanouir ce dehors pompeux qui le cachait à lui-même. Il se trouve seul et sans idées flatteuses, par ce qu'il ne peut plus se prêter aux objets extérieurs. Cette vue a cela d'utile en flattant notre curiosité, qu'elle nous instruit. Il n'est rien de quoi, disait Montaigne, je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, quelle parole, quel visage, quelle contenance ils y ont eus ; mille endroits des histoires que je remarque si attentivement. Il y paraît, à la farcissure de mes exemples, et que j'ai en particulière affection cette matière*._ _Je suis persuadé que la dernière heure de notre vie est celle qui décide de toutes les autres. »_ *(Chapitre III : Idée générale d'une mort plaisante.)*
* _« Et il n'est rien dont je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, de quelle parole, quel visage, quelle contenante ils y ont eus, non plus qu'il n'est d'endroit dans les histoires que je remarque avec autant d'attention. Il apparaît à la farcissure de mes exemples que j'ai cette matière en particulière affection. Si j'étais faiseur de livres, je ferais un registre commenté des morts diverses. Qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre. »_ (« Chapitre XIX : Que philosopher c'est apprendre à mourir » _in Montaigne, Les essais,_ nouvelle édition établie par Bernard Combeaud, préface de Michel Onfray, Paris, Robert Laffont|Mollat, 2019, p. 160, « Bouquins ».)
*CHAPITRES* : _Traduction d'un morceau considérable de Suétone_ : 0:02 — *Extrait*
0:24 — _Introduction_
_De quelques femmes qui sont mortes en plaisantant_ : 0:49 — *1er extrait* ; 2:08 — *2e*
_Additions à ce qui a été dit dans le IX et dans le XI chapitre_ : 3:15
_Remarque sur les dernières paroles d'Henri VIII, roi d'Angleterre, du Comte de Gramont, etc._ : 6:09 — *1er extrait* ; 6:36 — *2e*
_De la mort de Gassendi et du célèbre Hobbes_ : 7:45
_Remarques sur ceux qui ont composé des vers au lit de la mort_ : 10:47
_Examen de quelques inscriptions assez curieuses_ : 13:52
_Des grands hommes qui n'ont rien perdu de leur gaieté, lorsqu'on les menait au supplice_ : 14:33
_Extrait de quelques pensées de Montaigne_ : 15:31
_S'il y a de la bravoure à se donner la mort_ : 17:37 — *1er extrait* ; 18:57 — *2e*
_De quelques particularités qui concernent ce sujet_ : 19:14
19:28 — _Générique_
*RÉFÉ. BIBLIOGRAPHIQUE* : André-François Boureau-Deslandes, _Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant,_ nouvelle édition, Amsterdam, Westeing, 1732, 300 p.
*IMAGE D'ILLUSTRATION* : https://www.pinterest.com/pin/518547344600153627/
*BANDE SONORE* : Steven O'Brien — Piano Sonata No. 1 in F minor Piano Sonata N0. 1 in F minor is licensed under a Creative Commons CC-BY-ND 4.0 license. https://www.chosic.com/download-audio/46423/ https://www.steven-obrien.net/
*LIVRES DU VEILLEUR DES LIVRES* :
_CE MONDE SIMIEN_ : https://youtu.be/REZ802zpqow
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/B0C6NCL9YH *VERSION NUMÉRIQUE* _(.pdf)_ : https://payhip.com/b/VNA9W
_VOYAGE À PLOUTOPIE_ : https://youtu.be/uUy7rRMyrHg
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/
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