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EAN : 9782259248952
240 pages
Plon (17/03/2016)
3.79/5   63 notes
Résumé :
Ceci est, d’une certaine manière, une autobiographie politique dans laquelle il est question d’athéisme social et de refus des mythes proposés par ceux qui nous gouvernent ; de ce qui nourrit le Front national et du rôle de la gauche libérale dans la formation de ce chiffon rouge ; du besoin des Le Pen qui structure la gauche gouvernementale et de sa prétendue lutte contre eux ; de la fabrication du consentement par les médias et du journalisme comme propagande de c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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« La Gauche va mal ! », tu disais encore cela il y a quelques semaines. Je ne savais pas trop quoi dire ou faire pour te rassurer. Toi, l'homme qui a sabré le champagne le 21 mai 1981 lors de l'élection de Mitterrand, qui rentrait tous les soirs à pas d'heure à la maison, mangeant seul sur ton coin de table, de retour des cours que tu donnais à tous ces gens « qui venaient tous de leur plein gré vider les poubelles » de nos contrées, qui prenait tant soin des « gamins de la rue » au risque d'en oublier les tiens.
Que t'en reste-t'il maintenant ?

J'aimerai te faire partager ma lecture du miroir aux alouettes de Michel Onfray. Pas pour te réconcilier avec ce courant politique qui a bercé chez toi tant d'espoirs (l'alouette s'est déjà faite assez plumée comme cela !), mais pour te dire que non. Tu n'as pas fait tout ça pour rien. Lui aussi, c'est un adepte du Colibri, alors tu vois...

Tu aimeras l'entendre dire que cette Gauche-là, sur le devant de la scène politique, n'est pas la « vraie » Gauche, celle du Peuple, le vrai, le "old school", celui d'où tu viens... Celle que tu ne comprends plus a usé ses fonds de pantalons sur les mêmes bancs que ceux que tu fustiges. L'école de la rue, ils ne connaissent pas. Alors je ne te parle même pas de l'école de la vie...

Il va parfois t'énerver, le Michel, car il tire à boulets rouges sur tout ! Ça castagne dur ! Les politiques (Gauche - surtout la gauche -, Droite, Centre, Extrêmes des deux bords), les Médias, les Intellectuels - surtout de Gauche (vade retro BHL !), la Religion (bon, là, tu feras pas celui qui savait pas...), L'Europe, la faillite de la Culture, de l'Éducation et j'en passe car la liste est longue...
Je sais ce que tu me répondras : C'est peut-être bien parce que "tout fout le camp", qu'il "en a pris plein la gueule" et que "y a un moment où faut que ça sorte !" et "qu'il faudra bien que ça cesse !"

Là où cela va moins te plaire, c'est quand il explique pourquoi des gens comme toi on rejoint le FN. Comment à force de plus savoir comment se battre, de dénis, de confiscations de la parole (et de l'écoute qui va avec), tu as baissé les bras et abandonner le combat. Tu as laissé pourrir tes idées face à la réalité que tu n'arrives plus à concilier avec tes idéaux. Mais d'un autre côté, toi, tu as déjà bien lutté. C'est notre tour, maintenant...
Tu les entends tous parler de de Gaulle, de Mitterrand, de Jaurès... tu ne sais plus si c'est eux qui ont plus de quatre-vingts balais ou toi ! T'aimerais voir un jeunot de moins de quarante berges sortir de derrière le rideau. Pas celui-là, mais un autre. Un des tiens. Des nôtres...
Alors tu souris à Marine en pensant qu'elle te le rendra bien.

Te connaissant, je sais ce que tu vas me dire quand tu l'auras lu : "Il serait pas un peu démago "ton" Michel ?" Et je te donnerais raison. Puis quand tu apprendras qu'il ne va plus voter depuis des années, je m'attends à ta colère et ton mépris : "Il n'est pas mieux que les autres ! " Mais je prends le risque, car il a dans sa manche une carte contre laquelle tu ne pourras rien dire, car cela a toujours été la tienne : Il ne fait pas que critiquer, dire ou donner des leçons "mon" Michel. Il agit aussi...

¤ ¤ ¤

- C'est un truc comme ça qu'on doit raconter quand on a lu un bouquin sur ton site ?
- Non pas vraiment.
- Bah pourquoi tu le mets alors ?
- Parce que c'est comme ça que j'avais envie de l'écrire, tellement j'ai pensé à toi en le lisant.
- Mais tu dis même pas si tu l'as aimé. Tu l'as aimé ce livre, alors ?
- Oui. Je l'ai aimé. Même si je ne suis pas toujours d'accord avec son auteur. Mais l'important n'est pas là. L'important, c'est qu'il donne à agir, là où on n'aurait aimé que penser...
Lien : http://page39.eklablog.com/l..
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Armé de sa prose philo et de son université populaire
l'Onfray défraye, résiste au courant du libéralisme et des idées extrémistes.
Il en a ras la coiffe de se faire critiquer par des réducteurs d'idées
et de têtes et réplique aux pourfendeurs d'opinions reçues
qui ingurgitent en masse la soupe qu'ils dissertent
et recrachent sur leurs ondes ou sur les bancs de leur partis :
des sophistes qui tournent en rond...
On peut être contre les idées d'Onfray qui effraient les girouettes
L'épouvantail n'en a qu'épi- cure...
Lui, il préfère débattre exposer, démontrer et argumenter avec les anciens et les nouveaux...
Il attend de même de ces journalistes, hommes du pouvoir ou citoyens
Le libéralisme n'est pas la seule voie,
il existe un autre chemin vers plus de liberté...

Issu de la classe populaire, ses racines sont proches de la terre
bien loin de ses dé-tracteurs détachés du peuple.
Il n'a pas peur de se battre seul contre des moulins à paroles qui roulent pour le libéralisme et le cynisme en politique
qui changent par opportunisme de cap et de combat au gré de leurs lubies ; des gens de gauche qui vivent et pensent à droite comme leur porte feuille.
Onfray l'anar-athée tel le colibri arrose de son jet... le débat en philosophant à contre courant ...du vent libéral !
Le miroir des alouettes......tous plumés, moi itou !
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Page 59 : « La philosophie est un sport de combat », dont acte.
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, le combat a commencé. A ma droite : La gauche ( !) libérale, en short rose (délavé, usé le rose). A ma gauche, en short noir (Anarchie positive ?) : Michel Onfray le Philosophe. Michel Onfray est pugnace, il a de la technique, les faits, et leur généalogie, sont ses points (poings) forts, il cogne dur. En face la gauche libérale, trop lourde, trimballant depuis des décennies ses compromissions, tire la langue de bois devant la combativité du philosophe. Onfray utilise les mots justes, il a de la méthode, un crochet du gauche au foie de Hollande qui Valls. Mais la gauche libérale se sert de son meilleur allié : la presse (prétendument de gauche) vendue à la finance, avec sa pensée unique, et ses déviances sémantiques, Onfray en prend plein la gueule, mais il encaisse. le philosophe n'évite pas quelques poncifs, la gauche en profite pour le traiter de tout et son contraire. Plus combatif que jamais le philosophe libertaire assène une série de coups : Mitterrand : ex-collabo machiavélique, le référendum du Traité de Maastricht : un déni de démocratie ... le réel, les faits, l'Histoire : Implacable. Mais le libéralisme a d'autres armes : La télévision (celle-là aussi est un miroir aux alouettes) Onfray prend des directs en direct, il vacille, - Il ne fallait pas y aller Michel ! - Onfray semble un peu groggy, désenchanté, mais il n'a pas dit son dernier mot, il convoque quelques un de ses « maitres » à penser, ses managers : Nietzsche, Proudhon (l'anarchie positive, pacifiste et pragmatique), et même La Boétie [Soyez résolus de ne plus servir, et vous voilà libres]... Et puis le Peuple est avec lui, ou plutôt, lui est avec le peuple, ce Peuple que la gauche méprise depuis trop longtemps. Victoire aux points (sur les i) : du Philosophe, Michel Onfray ! Pour finir la petite déclaration du vainqueur : « Je ne saurais délivrer une recette, un mode d'emploi, un truc, mais je peux donner une direction. Que chacun fasse, là où il est, ce qu'il peut faire pour éviter ce qu'il déplore ». Allez, salut.

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Encore un brillant traité de Michel Onfray, moins docte que beaucoup des précédents, et qui est d'une certaine manière une autobiographie politique. Ce philosophe, sûrement un des plus lucides et assurément le moins formaté de nos intellectuels, remet les pendules à l'heure et récuse tous les endoctrinements et toutes les balivernes dont nos gouvernants, de tout bord, nous arrosent éhontément. Il appuie où ça fait mal avec la précision d'un acupuncteur et partout où le point est relié à un organe malade ! C'est vous dire la quantité d'auguilles qui lui sont nécessaires. Personne n'est épargné, mais sans arrogance – vice si fréquent de nos jours – ni sectarisme, et à la seule lumière de l'analyse des faits. de l'abomination ultralibérale qui mène notre écosystème et notre société dans une impasse à la rien-pensance d'une gauche déviée, des contre-sens du coran – que, lui, a lu plume à la main et en multiples versions – à l'abrutissement médiatique à fin de propagande, tout le monde se retrouve face à ses incohérences, ses mensonges et parfois ses lâchetés et ses crimes. Seul notre vieux Général trouve quelque grâce à ses yeux.
Paradoxalement cette lecture fait un bien fou et livre une belle synthèse à celui qui partage ses idées – j'en fais partie depuis longtemps. Et il est réconfortant par ce prisme de consolider sa vision du monde alors que l'on est en permanence assailli d'informations innombrables que nous n'avons pas toujours le loisir ni le courage d'ausculter. Voilà une oeuvre salutaire et bienfaisante.
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Je ne parlerai pas d'autobiographie sauf dans la préface, nous sommes dans le domaine du pamphlet tant M.Onfray tire sur tout ce qui bouge, n'épargne personne et appuie là où ça fait mal. Ce serait vain si ce n'était argumenté, nourri d'exemples et s'il n'avait pas payé de sa personne. Toutefois, l'espace politique dans lequel il s'active s'avère étroit et demande une force morale à toute épreuve.
" Soyez résolus de ne plus servir, et vous voilà libres" LA BOETIE
"Si nous sommes esclaves, chacun sait désormais qu'il ne tient qu'à lui de cesser de l'être. S'il le reste, c'est qu'il l'aura bien voulu".
Dernière phrase de ce livre qui se lit bien, vivant, volontaire, sans langue de bois ni phrases creuses.
A lire
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Je crois que ne pas voter est un devoir quand ceux qui se présentent à nos suffrages se moquent d'honorer les promesses qu'ils font pour parvenir au pouvoir. Ça n'est pas le vote qui devrait être obligatoire, mais le respect de ses engagements de la part des élus.
A défaut, le mandat impératif s'impose. Dans ce cas de figure, l'élection désigne un élu qui n'a pas des droits mais des devoirs : en l’occurrence celui de respecter les engagements au nom desquels il a obtenu ses suffrages. S'il manque à sa parole, alors il est destitué en cours d'exercice par l'assemblée lui ayant confié son mandat. C'est donc l'électeur qui contrôle son élu et non l'élu qui enfume son électeur.
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La déréliction d’une époque s’accompagne de la déréliction du langage. Quand plus rien ne fait sens, pourquoi les mots le feraient-ils, eux et eux seuls ? Le congédiement de l’histoire et des humanités, des belles lettres et de la lecture, de la mémoire et de la rédaction au profit de l’instant médiatique et du livre écrit par un nègre, de la pensée en moins de cent quarante signes et du triomphe numérique des passions tristes couvertes par l’anonymat, tout cela condamne les mots à mort. Plus besoin de signifiants clairs avec des signifiés précis quand triomphe partout le désir de faire de l’audience.
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Plus besoin de signifiants clairs avec des signifiés précis quand triomphe partout le désir de faire de l'audience.
Or, pour l'audience, les passions tristes font merveilles : l'insulte et le sarcasme, l'injure et l'invective, l'outrage et l'offense, la raillerie et l'affront, la vexation et l'humiliation suffisent ; pour l'intelligence et le débat, la raison et la pensée, la réflexion et la discussion, il y avait jadis, les mots et leur sens enseignés. En ce temps-là, le dictionnaire avait un sens. (Page56)
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C'est Pierre qui m'a montré ce que voulait dire être de gauche : non pas voter à gauche, ce qu'il fit toute sa vie, bien sûr, mais mener une vie de gauche. Autrement dit : donner, partager, distribuer ce que l'on a : du temps, de l'argent, de l'énergie, de l'affection, de l'écoute, de la bienveillance, de l'amitié, de la sollicitude, de la tendresse, de la disponibilité.
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Penser ce que pense l'autre parce que son support passe pour le summum de la bienséance intellectuelle ou politique, ça n'est pas penser mais dodeliner de l'intelligence.
(...)
Qui peut avoir assez de liberté, d'esprit critique, d'intelligence rebelle et libertaire, pour s'affranchir de journaux qu'il croit libres, de journalistes qu'il estime honnêtes, d'éditorialistes qu'il suppose sincères, lorsqu'il s'agit de se faire un avis ?
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Videos de Michel Onfray (159) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Onfray
*INTRODUCTION* : _« […] Je veux seulement, Monsieur, vous faire part d'une chose que j'ai lue dans Montaigne, et qui marque son bon goût. Il souhaitait devenir assez savant pour faire un recueil des morts les plus éclatantes dont l'Histoire nous parle. Vous qui êtes son partisan, vous approuverez ce dessein que j'exécute en partie. En effet, le véritable point de vue où je placerais une personne qui veut bien juger du ridicule qui règne dans le monde, est le lit de mort. C'est là qu'on se détrompe nécessairement des chimères et des sottises qui font l'occupation des hommes. Nous sommes tous fous ; la folie des uns est plus bouillante, et celle des autres plus tranquille. »_ *André-François Boureau-Deslandes* [1690-1757], _À Monsieur de la Ch…_
_« Rien ne doit plus nous frapper dans l'histoire des grands hommes, que la manière dont ils soutiennent les approches du trépas. Je crois que ces derniers moments sont les seuls, où l'on ne puisse emprunter un visage étranger. Nous nous déguisons pendant la vie, mais le masque tombe à la vue de la mort, et l'Homme se voit, pour ainsi dire, dans son déshabillé. Quelle doit être alors la surprise ! Tout l'occupe sans le toucher : tout sert à faire évanouir ce dehors pompeux qui le cachait à lui-même. Il se trouve seul et sans idées flatteuses, par ce qu'il ne peut plus se prêter aux objets extérieurs. Cette vue a cela d'utile en flattant notre curiosité, qu'elle nous instruit. Il n'est rien de quoi, disait Montaigne, je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, quelle parole, quel visage, quelle contenance ils y ont eus ; mille endroits des histoires que je remarque si attentivement. Il y paraît, à la farcissure de mes exemples, et que j'ai en particulière affection cette matière*._ _Je suis persuadé que la dernière heure de notre vie est celle qui décide de toutes les autres. »_ *(Chapitre III : Idée générale d'une mort plaisante.)*
* _« Et il n'est rien dont je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, de quelle parole, quel visage, quelle contenante ils y ont eus, non plus qu'il n'est d'endroit dans les histoires que je remarque avec autant d'attention. Il apparaît à la farcissure de mes exemples que j'ai cette matière en particulière affection. Si j'étais faiseur de livres, je ferais un registre commenté des morts diverses. Qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre. »_ (« Chapitre XIX : Que philosopher c'est apprendre à mourir » _in Montaigne, Les essais,_ nouvelle édition établie par Bernard Combeaud, préface de Michel Onfray, Paris, Robert Laffont|Mollat, 2019, p. 160, « Bouquins ».)
*CHAPITRES* : _Traduction d'un morceau considérable de Suétone_ : 0:02 — *Extrait*
0:24 — _Introduction_
_De quelques femmes qui sont mortes en plaisantant_ : 0:49 — *1er extrait* ; 2:08 — *2e*
_Additions à ce qui a été dit dans le IX et dans le XI chapitre_ : 3:15
_Remarque sur les dernières paroles d'Henri VIII, roi d'Angleterre, du Comte de Gramont, etc._ : 6:09 — *1er extrait* ; 6:36 — *2e*
_De la mort de Gassendi et du célèbre Hobbes_ : 7:45
_Remarques sur ceux qui ont composé des vers au lit de la mort_ : 10:47
_Examen de quelques inscriptions assez curieuses_ : 13:52
_Des grands hommes qui n'ont rien perdu de leur gaieté, lorsqu'on les menait au supplice_ : 14:33
_Extrait de quelques pensées de Montaigne_ : 15:31
_S'il y a de la bravoure à se donner la mort_ : 17:37 — *1er extrait* ; 18:57 — *2e*
_De quelques particularités qui concernent ce sujet_ : 19:14
19:28 — _Générique_
*RÉFÉ. BIBLIOGRAPHIQUE* : André-François Boureau-Deslandes, _Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant,_ nouvelle édition, Amsterdam, Westeing, 1732, 300 p.
*IMAGE D'ILLUSTRATION* : https://www.pinterest.com/pin/518547344600153627/
*BANDE SONORE* : Steven O'Brien — Piano Sonata No. 1 in F minor Piano Sonata N0. 1 in F minor is licensed under a Creative Commons CC-BY-ND 4.0 license. https://www.chosic.com/download-audio/46423/ https://www.steven-obrien.net/
*LIVRES DU VEILLEUR DES LIVRES* :
_CE MONDE SIMIEN_ : https://youtu.be/REZ802zpqow
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/B0C6NCL9YH *VERSION NUMÉRIQUE* _(.pdf)_ : https://payhip.com/b/VNA9W
_VOYAGE À PLOUTOPIE_ : https://youtu.be/uUy7rRMyrHg
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/
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