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EAN : 9782246859499
180 pages
Grasset (16/03/2016)
3.57/5   114 notes
Résumé :
«Il est difficile, ces temps ci, de penser librement et encore plus de penser en athée. Affirmer que les idéaux de la philosophie des Lumières sont toujours d’actualité nous fait paradoxalement passer pour des réactionnaires, des islamophobes, voire des compagnons de route du Front National assimilé au fascisme.
Dans un monde qui prétend en masse «Je suis Charlie», Voltaire revenu passerait pour un défenseur du fanatisme! C’est le monde à l’envers.
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Bible, Coran, Torah : même combat !

Oui, je sais. C'est un peu provoc comme entrée en matière, mais c'est surtout pour signifier que penser qu'Onfray fait le procès à charge de l'islam, c'est oublier bien vite que son discours est le même pour toutes les religions dès qu'elles sortent de la sphère privée dans le but de dicter les lois de la cité.

Michel Onfray éclaire le débat en le resituant et pointe du doigt une polémique stérile dont le dessein est plus d'annihiler la pensée et de faire taire ceux qui veulent la voir naître, à grand renfort d'anathèmes...

"Je continuerai à dénoncer ces impostures. Ils continueront donc à me traiter de fasciste, d'antisémite, d'islamophobe, puis d'islamophile, enfin de compagnon de route de l'État islamique... Plus c'est gros, mieux ça passe !"

...et d'images terribles tournant en boucle sur nos écrans. La peur et la terreur font le bonheur des médias. Je vous laisse apprécier ses réflexions à ce sujet… elles sont pertinentes !

"Faudra-t-il bientôt demander l'autorisation de penser quand le pouvoir médiatique exige la compassion ?"

On ne peut lui opposer une méconnaissance des textes religieux. Contrairement à beaucoup, il a lu et étudié ce dont il parle. Et sa conclusion est la même que pour d'autres religions : on y prône aussi bien l'amour, le respect de la vie et de son prochain, que la haine, le droit et le devoir de tuer les mécréants comme les impies. Il appartient aux musulmans de penser ces « contradictions ».

Là où cela devient franchement intéressant et où il ne s'est sûrement pas fait que des amis, c'est quand il pointe du doigt les origines de la montée de l'islamisme radical en France et de la présence du terrorisme sur notre territoire. Sans tout lister (ce n'est pas le but), je n'en relèverai que quelques unes : le refus de la reconnaissance de la souveraineté des peuples et l'ingérence de l'État français. Au nom des droits de l'homme ?

"Mais pourquoi donc cette loi ne se trouve-t-elle jamais appliquée ailleurs que dans des pays dont le sous-sol est intéressant pour la France ?"

Ces éléments de discours sont assez radicaux, et même (voire surtout) si on ne les partage pas ou peu, ils ouvrent le débat.

A lire aussi ces passages sur le choc des civilisations en œuvre dans cette guerre qu'on pense « de religion » et l'instrumentalisation de cet islam radical dans un but révolutionnaire.

L'interview menée par Asma Kouar, journaliste algérienne, autant par ses questions, qui reflètent la pensée du monde arabe sur la manière dont est jugé et reçu l'islam en occident, que par les réponses d'Onfray, est vraiment passionnante et à elle-seule justifie la lecture de ce petit opus.

On ne changera pas Onfray. Il est égal à lui-même. Mais, qu'on l'adore ou qu'on l'abhorre, il ouvre là un débat que beaucoup renoncent à mener, sans langue de bois ni discours convenu tout droit sorti du «politiquement correct » !

J'ai appris par Beatson sur le forum Babelio qu'un livre au sujet dérangeant "le fascisme islamiste" de Hamed Abdel-Samad, ne paraîtra pas en France, faute d'éditeur (les droits sont achetés, mais... Je vous laisse lire le reste et vous faire votre propre opinion).

Quand les faits donnent raison à Onfray…
Lien : http://page39.eklablog.com/p..
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Dans la précipitation des événements (France, Belgique), il y a une surcharge médiatique (images en boucle, commentaires redondants, voyeurisme de la souffrance et mise en scène de la compassion qui s'en suit).
L'on voudrait trouver plus souvent des intellectuels instruits des choses et capables de prendre de la hauteur de vue pour susciter la réflexion auprès de leurs lecteurs.
C'est exactement ce que propose ici Michel Onfray.
Et il faut bien reconnaître que sa démonstration est d'une logique implacable.
Qu'il soit critiqué voire combattu est normal dans une société où il n'est pas encore interdit de penser.
Mais je souhaiterais que ses adversaires le lisent -et ensuite le citent- en tenant compte des nuances qu'il apporte dans son texte et qui tempèrent fortement les anathèmes qu'on lui prête.
Ensuite que des intellectuels de même niveau puissent alimenter un débat et argumenter de manière utile, digne d'une démocratie et non pas d'une "médiacratie".
On attend d'eux que la raison prenne le pas sur l'émotion, que les analyses croisées nourrissent la réflexion des politiques.
"Ni rire, ni pleurer, mais comprendre" (Spinoza cité par Michel Onfray - page 54) car comprendre est sans doute le début d'une gestion adéquate de la situation actuelle et de la préservation de notre civilisation européenne.
Au lieu de s'enliser dans la polémique stérile, prenons cet essai du philosophe Michel Onfray pour une invitation à penser.
Merci à lui.

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Michel Onfray revient sur les attentats contre Charlie hebdo pour apporter des éléments de réponse aux questions que tout citoyen peut légitimement se poser au-delà des diktats et mises en scène médiatiques et politiques qui interdisent toute réflexion de fond.

D'abord en quoi cela concerne-t-il l'Islam ? Ces attentats revendiqués par L'État islamique sont issus d'une certaine lecture du Coran, dans lequel on peut puiser le meilleur et le pire, y faire une lecture selon l'esprit ou la lettre, justifier la paix ou la guerre, la tolérance ou l'intégrisme.

Donc il est impossible de se débarrasser de la question en disant que ça n'a rien à voir avec cette religion, comme il est également absurde de considérer que tous les musulmans seraient des terroristes en puissance. Pour Michel Onfray le problème est politique. Il ne s'agit pas de terrorisme mais de guerre, une guerre menée par un État, L'État islamique, contre la France, qui est intervenue militairement à plusieurs reprises contre l'oumma, la communauté des musulmans. La seule façon de faire cesser les attentats est d'engager un processus de paix et de cesser l'ingérence occidentale au nom des droits de l'homme mais motivée par des intérêts économiques dans les affaires des pays musulmans et africains.

Un texte court mais lumineux qui a le mérite d'opposer les lumières de la raison aux obscurantismes religieux et politico-médiatico-économique qui se renvoient l'un à l'autre. Sa lecture est utile, sinon nécessaire à une meilleure compréhension de notre actualité menacée de toutes parts. Et qui rappelle l'urgence de l'usage de la raison et l'importance de la philosophie y compris pour appréhender le religieux.
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Voila enfin une analyse en perspective de la situation de la France vis à vis de l'Islam, la Syrie, les attentats etc... On est d'accord ou pas avec Michel Onfray, mais on a là la possibilité d'y réfléchir. Et ça fait du bien, quand on a été gavés de pathos par une couverture médiatique bien pauvre en réflexions, explications et analyses neutres du contexte géo-politique de ces derniers mois.
La première partie est plus un règlement de compte Onfray vs Libé/Le monde, sur un ton assez agressif. Mais ensuite l'interview et la conclusion sont très intéressantes. Quelques petits rappels historiques bienvenus sur le rôle de Mitterand dans la montée du FN et la situation de la Palestine en 39-45 dirigée par le grand Mufti.
Et un soupçon de mauvaise foi quand même par ci par là, sinon Onfray ne serait pas Onfray ...
Mais quoi qu'il en soit, c'est une bonne piste de réflexion sur des sujets sensibles et complexes. Et si ses détracteurs pouvaient écrire un livre en réponse (plutôt qu'un lynchage médiatique) ce serait une excellente idée... histoire de faire avancer un peu le débat plutôt que de dénigrer ceux qui prennent le temps d'expliquer et d'exposer des points de vue. A bon entendeur !
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Lecture vivifiante. M.Onfray provoque une mise à nu du réel au sujet de la guerre terroriste que nous mène une frange de l'Islam. Il vise à enlever les voiles du déni et des doctrines afin d'identifier des leviers d'actions à la portée des états occidentaux. Après la lecture de cet essai, on lit et regarde les informations avec un autre oeil, plus critique, ...sans nécessairement être d'accord avec Onfray. M.Onfray joue ici très bien son rôle d'intellectuel qui pousse à la réflexion et au débat. Merci donc.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Je crois en effet qu'une spiritualité non religieuse est possible et qu'elle permet d'apaiser l'âme et le cœur de celui qui doit faire face au néant avec sa seule raison et son intelligence. La philosophie antique a proposé nombre de directions pour mener une vie philosophique débarrassée des angoisses, des craintes, des peurs, autant de négativités sur lesquelles prospèrent les croyances qui fournissent les matériaux des constructions mythologiques, fabuleuses, mythiques.Ces propositions faisaient l'économie de Dieu, elles ne le niaient pas et le laissaient à la discrétion de chacun, mais elles affirmaient qu'on peut être moral indépendamment de Dieu, voire sans Dieu.
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L’athée que je suis ne fait pas un concours de plus ou moins grande cruauté en matière de religion. Je suis contre toutes les cruautés, y compris celles qui sont commises au nom de la religion, quelle que soit la religion. Et vous ne me ferez pas défendre l’Inquisition ou les croisades, la guillotine ou les guerres. De même mon athéisme ne me fait pas absoudre les crimes commis au nom de l’athéisme…
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La question des rapports entre la gauche et l'islam s'avère donc indissociable de la question juive. Il se fait que Marx, juif lui-même, a été antisémite comme une bonne partie de la gauche du XIXe siècle. Dans Marx et la question juive, Robert Misrahi a analysé le détail de cet antisémitisme de gauche.
Dans La question juive, Marx écrit en effet : " L'essence du judaïsme et la racine de l'âme juive sont l'opportunité et l'intérêt personnel ; le Dieu d'Israël est Mammon, qui se manifeste dans la soif de l'argent. Le judaïsme est l'incarnation des attitudes antisociales."
On trouve chez Proudhon, Fourier, Toussenel, Leroux les mêmes assimilations entre les juifs, les capitalistes, les bourgeois et l'argent.
L'antisémitisme change de forme après Auschwitz, puis avec la création de l'Etat d'Israël. L'antisionisme en devient la principale composante. L'assimilation des juifs cosmopolites à l'argent du Capital mondialisé s'augmente de nouvelles insultes : agent international du sionisme, puis suppôt de l'impérialisme américain. La gauche marxiste rejoint le camp des antisionistes constitué par les Palestiniens, les Arabes et les musulmans qui ne coïncident pas toujours, mais qui se trouvent associés dans une même entité idéologique et militante.
Certes la création de l'Etat d'Israël n'est pas allée sans d'incontestables expropriations infligées au peuple palestinien, mais ce peuple payait, hélas, la politique de collaboration avec Hitler menée par le Grand Mufti de Jérusalem, Hadj Amin al-Husseini. En effet, cet homme qui prétendait descendre du Prophète approuve le régime d'Hitler dès 1933 ; il rencontre le dictateur à Berlin qui l'élève au rang d' "Aryen d'honneur" ; il prêche en faveur du national-socialisme dans l'unique mosquée de Berlin ; il déclare : " Les principes de l'Islam et ceux du nazisme présentent de remarquables ressemblances, en particulier dans l'affirmation de la valeur du combat et de la fraternité des armes, dans la prééminence du chef, dans l'idéal de l'ordre" ; il contribue à mobiliser des musulmans pour lutter dans des divisions SS, l'imam de la division Handschar affirme ainsi : " Pour tenter de rassurer mes camarades, je leur expliquais que tout musulman qui perdait la vie au combat pour l'islam serait un shahid, un martyr" ; il visite un camp de concentration, mis au courant de la solution finale il souhaite qu'on extermine également les enfants juifs ; il a travaillé à un plan d'extermination des juifs d'Afrique du nord et de Palestine. Hébergé par la France après guerre, il rejoint l'Egypte sans encombre sous un faux nom en 1946. Leïla Shahid, sa petite-nièce, a représenté jusqu'en mars 2015 l'Autorité palestinienne auprès de l'Union européenne - une autorité actuellement gouvernée par Mahmoud Abbas, auteur d'une thèse révisionniste soutenue en URSS en 1982.

P101 à 104.
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Hier, la gauche condamnait le pouvoir de l'argent et le combattait au nom de l'humanisme. Elle luttait contre le Capital qui exploitait les enfants dans les mines et voulait les sortir des galeries de charbon pour les éduquer dans les écoles. Aujourd'hui, ce qui se présente comme la gauche défend l'idée que les pauvresses rendues misérables par le capitalisme (qu'elle ne combat plus) puissent louer leur utérus à des riches désireux d'implanter leur foetus dans des ventres de location - comme on loue une place de parking ou un garage.
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Et le Coran ne sépare jamais l’islam et la politique, la religion et l’État. La charia est d’ailleurs logiquement la loi coranique qui s’impose quand on veut vivre intégralement selon le Coran. L’intellectuel qui le dit ne fait que dire ce qui se trouve dans les textes. À charge pour les hommes de faire du texte ce qu’ils voudront bien en faire : selon l’esprit ou selon la lettre. Vivre selon l’esprit de l’islam permettrait de prélever dans le Coran les hadîths et la Sîra qui veulent la paix ; ce qui ne serait pas vivre selon la lettre qui supposerait le prélèvement de ce qui veut la guerre dans ces textes reconnus comme sacrés par tous les musulmans.
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Videos de Michel Onfray (159) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Onfray
*INTRODUCTION* : _« […] Je veux seulement, Monsieur, vous faire part d'une chose que j'ai lue dans Montaigne, et qui marque son bon goût. Il souhaitait devenir assez savant pour faire un recueil des morts les plus éclatantes dont l'Histoire nous parle. Vous qui êtes son partisan, vous approuverez ce dessein que j'exécute en partie. En effet, le véritable point de vue où je placerais une personne qui veut bien juger du ridicule qui règne dans le monde, est le lit de mort. C'est là qu'on se détrompe nécessairement des chimères et des sottises qui font l'occupation des hommes. Nous sommes tous fous ; la folie des uns est plus bouillante, et celle des autres plus tranquille. »_ *André-François Boureau-Deslandes* [1690-1757], _À Monsieur de la Ch…_
_« Rien ne doit plus nous frapper dans l'histoire des grands hommes, que la manière dont ils soutiennent les approches du trépas. Je crois que ces derniers moments sont les seuls, où l'on ne puisse emprunter un visage étranger. Nous nous déguisons pendant la vie, mais le masque tombe à la vue de la mort, et l'Homme se voit, pour ainsi dire, dans son déshabillé. Quelle doit être alors la surprise ! Tout l'occupe sans le toucher : tout sert à faire évanouir ce dehors pompeux qui le cachait à lui-même. Il se trouve seul et sans idées flatteuses, par ce qu'il ne peut plus se prêter aux objets extérieurs. Cette vue a cela d'utile en flattant notre curiosité, qu'elle nous instruit. Il n'est rien de quoi, disait Montaigne, je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, quelle parole, quel visage, quelle contenance ils y ont eus ; mille endroits des histoires que je remarque si attentivement. Il y paraît, à la farcissure de mes exemples, et que j'ai en particulière affection cette matière*._ _Je suis persuadé que la dernière heure de notre vie est celle qui décide de toutes les autres. »_ *(Chapitre III : Idée générale d'une mort plaisante.)*
* _« Et il n'est rien dont je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, de quelle parole, quel visage, quelle contenante ils y ont eus, non plus qu'il n'est d'endroit dans les histoires que je remarque avec autant d'attention. Il apparaît à la farcissure de mes exemples que j'ai cette matière en particulière affection. Si j'étais faiseur de livres, je ferais un registre commenté des morts diverses. Qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre. »_ (« Chapitre XIX : Que philosopher c'est apprendre à mourir » _in Montaigne, Les essais,_ nouvelle édition établie par Bernard Combeaud, préface de Michel Onfray, Paris, Robert Laffont|Mollat, 2019, p. 160, « Bouquins ».)
*CHAPITRES* : _Traduction d'un morceau considérable de Suétone_ : 0:02 — *Extrait*
0:24 — _Introduction_
_De quelques femmes qui sont mortes en plaisantant_ : 0:49 — *1er extrait* ; 2:08 — *2e*
_Additions à ce qui a été dit dans le IX et dans le XI chapitre_ : 3:15
_Remarque sur les dernières paroles d'Henri VIII, roi d'Angleterre, du Comte de Gramont, etc._ : 6:09 — *1er extrait* ; 6:36 — *2e*
_De la mort de Gassendi et du célèbre Hobbes_ : 7:45
_Remarques sur ceux qui ont composé des vers au lit de la mort_ : 10:47
_Examen de quelques inscriptions assez curieuses_ : 13:52
_Des grands hommes qui n'ont rien perdu de leur gaieté, lorsqu'on les menait au supplice_ : 14:33
_Extrait de quelques pensées de Montaigne_ : 15:31
_S'il y a de la bravoure à se donner la mort_ : 17:37 — *1er extrait* ; 18:57 — *2e*
_De quelques particularités qui concernent ce sujet_ : 19:14
19:28 — _Générique_
*RÉFÉ. BIBLIOGRAPHIQUE* : André-François Boureau-Deslandes, _Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant,_ nouvelle édition, Amsterdam, Westeing, 1732, 300 p.
*IMAGE D'ILLUSTRATION* : https://www.pinterest.com/pin/518547344600153627/
*BANDE SONORE* : Steven O'Brien — Piano Sonata No. 1 in F minor Piano Sonata N0. 1 in F minor is licensed under a Creative Commons CC-BY-ND 4.0 license. https://www.chosic.com/download-audio/46423/ https://www.steven-obrien.net/
*LIVRES DU VEILLEUR DES LIVRES* :
_CE MONDE SIMIEN_ : https://youtu.be/REZ802zpqow
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/B0C6NCL9YH *VERSION NUMÉRIQUE* _(.pdf)_ : https://payhip.com/b/VNA9W
_VOYAGE À PLOUTOPIE_ : https://youtu.be/uUy7rRMyrHg
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/
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