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EAN : 9782879297781
180 pages
Editions de l'Olivier (03/01/2013)
3.17/5   64 notes
Résumé :
« Georges est arrivé avec un gros gâteau. Il est entré dans la pièce, précédé de Paul, qui était allé lui ouvrir, et a posé le carton sur la table où les verres étaient disposés pour l’apéritif. C’est après qu’il nous a salués, William et moi, une fois débarrassé de son carton qu’il avait tenu devant lui à deux mains, comme si, de la pâtisserie où il l’avait acheté jusqu’à l’appartement, il l’avait déplacé tel quel, à seule fin de le poser sur la table. »
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Je cale.
Cela m'arrive rarement, mais ici, oui, je cale.
Car c'est très difficile de raconter l'expérience que je viens de vivre avec ce livre, tout à fait étrangère à mes habitudes, à mon style de vie, à mon caractère.

Il s'agit d'un très long monologue intérieur, raconté par un narrateur d'une cinquantaine d'années, seul, sans famille, sans passé ; pour lui, l'enfance est un territoire lointain auprès duquel il ne revient jamais, comme l'embryon de la vie d'adulte, la vraie vie. Mais est-ce la vraie vie, celle qu'il mène ? Sans attaches, ayant connu des femmes, les ayant quittées, sans ami véritable, sans lieu auquel tenir ? Brrrr....Il me donne vraiment froid dans le dos, cet homme.
Il a bien un projet de vacances, comme chaque année depuis 3 ans, avec des amis, je vous dis, pas du tout intimes, et qu'il rencontre quelques fois pour préparer les dites vacances.
Il a bien une copine à la dérive qui le relance de temps en temps pour s'apitoyer sur elle-même.
Il a bien des collègues de travail dont il ne connait rien.
Il a bien une connaissance avec qui il a couché 4 ou 5 fois, et qui le relance aussi, mais pas pour vivre avec lui...et la raison, je ne vous la donnerai pas.
Il déménage. Son nouvel appartement pose un problème, encaqué qu'il est entre la Seine et la voie rapide, dans une espèce de quartier qui semble – je le cite – un chaos.
Déprimant, n'est-ce pas ?

Et puis ses « amis » avec qui il doit partir en vacances vont chacun avoir quelque chose dans leur vie qui les entraine vers autre chose : séparation, maladie, mort. Que faire avec ces évènements capitaux ? Comment les appréhender ? Comment réagir face aux protagonistes, tout en se rendant compte qu'on est soi-même embarqué?

Et bien, pour tout vous dire, j'ai beaucoup aimé ! Ce roman appartient à ce qu'on appelle « le Nouveau Roman », écrit d'une autre façon, sans aucune commune mesure avec le style habituel. Les phrases ont un vocabulaire choisi, c'est le moins qu'on puisse dire. Tout est pesé. Courtes ou longues, elles s'enchaînent pour décrire précisément la pensée. Et le narrateur, s'il se pose des questions, a une méfiance instinctive pour ce qui est profond. Peur, dirait-on. Donc les gestes ont beaucoup d'importance. Ou plutôt l'amorce de gestes. Les regards. Les (demi)-sourires. Les lieux ont énormément d'importance, ils paraissent être là pour remplir le vide de la personne.

On reste donc à la surface des choses, mais cette surface-même nous appelle à la creuser.
Et l'humour n'est pas loin de cet étrange état.

Christian Oster, je compte le découvrir davantage.
Car sa manière de décrire la personne et le monde qui l'entoure me plait.
Décalée.
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"Rouler", le premier livre de Christian Oster que j'avais lu sur les conseils de ma belle-mère aurait dû me servir de leçon car je n'avais pas particulièrement aimé l'écriture et l'histoire m'avais plutôt ennuyée. Mais je suis quelqu'un d'assez têtue et je me suis dit que l'on ne pouvait pas ce faire une idée précise d'un auteur en n'ayant lu qu'un seul livre de lui. Aussi, ai-je voulu retenter l'expérience et de nouveau, déception. Peutêtre ne suis je pas assez mature pour apprécier ce genre d'écriture que j'ai trouvé plate et ennuyeuse.

Cinq quinquagénaire, Jean (le narrateur), Georges, William, Paul et Louise- qui sont en couple- sans être vraiment amis, se retrouvent chaque été pour passer leurs vacances ensemble ; des vacances mûrement réfléchies et préparées à l'avance, ce qui leur donne l'occasion de se retrouver à l'occasion d'un dîner ou autour d'un verre à la table d'un bistrot parisien pour en discuter. Mais cette année, les vacances en prévision vont avoir un goût amer car des nombreuses péripéties survenues quelque temps avant vont, non pas les perturber dans leur projet de vacances, mais quelque peu les déstabiliser.

Un livre dont je n'apprécie guère l'écriture en raison de phrases que j'ai trouvé beaucoup trop longues et avec des passages carrément ennuyeux à mon goût. Cependant, si l'aventure vous dit, un livre à découvrir !
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La Feuille Volante n° 1314

En villeChristian Oster – Éditions de l'Olivier.

Le narrateur, Jean, la cinquantaine, seul, sans famille, rend visite à Paul et Louise, chez eux, en compagnie de Georges et William pour un vague projet de vacances en Toscane ou plutôt à Hydra, une île grecque, Depuis trois ans, ils partent ensemble l'été, sans se connaître vraiment, mais cette année ce sera sans Christine, séparée de Georges depuis peu, Ce ne sera pas la seule péripétie de cette année puisque Jean, qui papillonne beaucoup  mais qui vit seul mais va avoir un enfant, avec une femme qu'il n'aime pas. Pire peut-être, il est tellement désabusé qu'il n'est même plus ému par la beauté des femmes ! Pour autant il déménage pour un appartement sur les quais de Seine. Pourquoi pas ? Pourtant ce quartier lui ne semble pas l'attirer particulièrement, à cause de la voie rapide sans doute. Alors pourquoi changer ?

Pour Paul et Louise, ce sera la dernière fois car a l'issue de ces vacances qu'ils passeront bien ensemble, ils ont le projet de se séparer quant à Georges, ses déboires amoureux n'ont été que de courte durée puisqu'il est tombé amoureux d'une autre femme d'une grande beauté ; Plus tard, ce projet de départ sera encore bouleversé par la mort de William, l'accident de Jean et le projet de vacances se limitera, pour ceux qui restent, peut-être au Gers… mais cela n'a aucune vraie importance, comme le reste d'ailleurs !

Comme le titre l'indique, il y a la ville, et cette ville c'est Paris avec ses bistrots, ses restaurants, ses rues , la Seine et cette ambiance unique de grande ville. Pourtant ces personnages donnent l'impression de vivre dans une sorte de huis-clos et ce roman se résume à une sorte de long monologue. L'auteur balade son lecteur à travers les moments de vie, parfois insignifiants de ses personnages, les détaillant à l'envi évoquant des situations finalement assez vides.

C'est vrai qu'ici, il est question comme dans la plupart des romans de préoccupations humaines, la vie, le temps qui passe, l'amour, la mort...Je l'ai pourtant lu sans véritable passion, simplement peut-être pour me tenir informé de la bibliographie de l'auteur et de son parcours littéraire. Les petits moments de la vie de chacun dont il est question dans cet ouvrage n'ont guère retenu mon attention au-delà du raisonnable ce qui a généré chez moi au mieux du désintérêt, au pire de l'ennui. Est-ce la crise de la cinquantaine que l'auteur a voulu illustrer (Les protagonistes ont tous à peu près le même âge et cela correspond à peu près à celui de l'auteur) ? le thème de la solitude, certes réel dans nos sociétés, est repris ici comme il a déjà été traité dans d'autres livres du même auteur ce qui ne confère pas à cette fiction beaucoup d'originalité. Corrélativement on peut voir la vie de chacun de ses personnages (spécialement pour Jean) comme une sorte d'errance , un parcours un peu aléatoire et hésitant, sans but et réelle volonté d'aller de l'avant.. Quant à l'humour je ne l'ai guère ressenti.

Tout au plus puis-je dire que cet aspect de sa démarche créative est différente de ses autres publications destinées à la jeunesse.

Comme d' habitude, les phrases d'Oster sont trop longues et je n'aime guère ce style. D'autre part, sa tournure d'écriture, basée sur un soliloque pourrait passer pour une musique mais est plutôt à mes yeux un ronronnement, certes pas désagréable mais un peu entêtant quand même à la longue. La façon qu'il a d'insérer les formules comme « je dis », « dit-il »...dans un texte descriptif est finalement un peu pénible.

©Hervé GAUTIER – Janvier 2019.http://hervegautier.e-monsite.com


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Voici un groupe d'amis qui a pris l'habitude de partir en vacances ensemble. Enfin l'habitude s'est installée depuis trois ans en ce qui concerne le narrateur (nous apprendrons bien tard qu'il se prénomme Jean). Il apprend qu'il va avoir un enfant d'une femme qu'il n'aime pas.
Ils ont autour de la cinquantaine, un peu plus pour William peut-être, un veuf un peu enrobé et de santé fragile qui habite devant un hôpital. Il y a aussi un couple, Paul et Louise, qui se prépare à se séparer mais veut tout de même partir en vacances ensemble. Lui est médecin et elle restaure des meubles, mais son métier ne lui plaît pas. Enfin, il y a Georges qui vient d'être quitté par Christine, mais qui tombe rapidement amoureux d'une autre femme d'une beauté sculpturale.

Et puis surtout, il y a la ville, Paris. Ses bords de Seine. Ses voies rapides. Ses petits cafés. Ses restaurants. Parce que l'on peut dire que cette ville est un autre personnage de ce roman : ses rues sont nommées, décrites.
Et bien que Paris soit une grande ville, on a l'impression que les personnages évoluent dans un huis clos.

Pendant toute la lecture, j'ai eu l'impression d'être une petite souris et d'écouter le narrateur suivre ses pensées. Son cheminement est chaotique. On passe allégrement, par exemple, d'un lien qu'il veut tisser avec la future mère à une bouteille qu'il propose de lui rapporter lors d'une prochaine rencontre. Mais là réside tout le savoir faire de Christian Oster : l'humour pointe toujours son nez dans des réflexions qui peuvent paraître sévères.
Et puis, il échafaude des plans, il envisage de partir à droite et au dernier moment prend la voie de gauche.
Bref, il nous promène et on se laisse faire parce qu'on aime ça. Il nous promène dans ce petit groupe de personnes vieillissant et l'on y apprend que la vie n'est pas finie et qu'elle réserve encore des surprises.

Encore un bon roman de Christian Oster que je vous invite à découvrir. Chez cet auteur, l'humour se révèle bien particulier. Ecoutez par exemple, l'étrange histoire de la botte en caoutchouc basse de l'oncle de Brive...
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Où partir en vacances cet été ? En Grèce, décide le petit groupe d'amis constitué de Jean, le narrateur, de Paul et Louise, de William et de de Georges. Ces amis en fait ne se connaissent pas tant que cela et se livrent peu, les confidences s'échangent par duos, jamais en groupe complet. On apprend ainsi que Jean vit seul et cherche à déménager, il visite un superbe appartement avec vue sur la Seine et sur la voie rapide, Paul, le médecin, est en train de se séparer de Louise, William vient de faire une embolie pulmonaire et on va lui rendre visite à l'hôpital, Georges souffre de sa solitude et envisage de partager le nouvel appartement de Jean.

A priori, il ne se passe rien ou presque. le narrateur porte un regard attentif à ce qui l'entoure, il décrit longuement, minutieusement des actions insignifiantes, il écoute alternativement les membres du groupe, le tout sans le moindre engagement personnel, sans émotion apparente. D'une voix blanche, il exprime ce qu'il observe, en d'interminables phrases d'une page entière, sans la moindre respiration, sans la moindre rupture.
Quelques accrocs viennent remettre en question le voyage en Grèce (la mort de William, l'accident de Jean, la rupture Louise-Paul, l'annonce inattendue d'un héritier), on se limitera peut – être au Gers ? Rien ne semble important...

Aucun discours direct, l'auteur prend le parti du discours rapporté permanent, avec topicalisation systématique des propos, suivis inlassablement de « ai-je dit », « m'a t' il répondu », « ai-je observé » etc... ce qui donne au début un effet de ronron stylistique qui, au cours du livre, se transforme en une musique pénétrante et douce.
Pourtant, il ne se passe rien, on dirait une écriture vide sur du vide, volontaire on suppose et reflétant la vacuité de ces vies dont rien ne saille vraiment. Même l'annonce d'une paternité involontaire pour le narrateur, émanant d'une amante de passage qui ne demande rien, ne suscite aucun remous.
Tout cela peut sembler ennuyeux à mourir mais au final, on se laisse attraper par le ton, le rythme (ou l'absence de rythme!) et on pense à des dialogues d'Eric Rohmer. Pas si mal finalement...
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critiques presse (3)
LaPresse
11 mars 2013
Le court roman consiste en un long monologue de ce personnage qui dissèque les situations et les comportements avec la précision clinique de quelqu'un qui manquerait d'empathie, essayant de deviner ce qu'il se passe derrière les non-dits, sans trop chercher toutefois.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Lexpress
08 janvier 2013
Le style laconique d'Oster agit comme un miroir, dérangeant à force d'être fidèle. On pourra être allergique à cette "littérature de confirmation" - avec ses trajets en RER, ses urgences à Cochin, ses visites d'appartement à louer - et lui préférer le grand vent du large de la Patagonie. On peut aussi admirer le tour de force
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lhumanite
06 janvier 2013
Avec la folle rapidité d’un Feydeau, soulignée par quelques références en forme de clins d’œil, Christian Oster conduit son histoire telle une sarabande.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
"[...] j'étais persuadé depuis longtemps qu'on est ce qu'on est qu'avec les autres, que sans les autres on n'est rien, qu'on n'a même pas de visage, il suffit de se voir dans une glace pour s'en convaincre, celui-là n'est pas nous, ne nous parle pas, s'éloigne sous ce regard qui n'est plus le nôtre dès lors qu'on le croise."
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Depuis le début, ça me paraissait bien. J’avais quand même un peu peur de la montagne. William aussi. Pas pour les mêmes raisons. La montagne m’angoisse, William, lui, montait déjà ses quatre étages tous les jours et ce qu’il envisageait, c’était de passer ses vacances sur du plat. En même temps, l’aspect montagneux, on en avait déjà parlé et il n’avait avancé aucun argument contre. On savait que de toute façon il se limiterait au littoral. À la rigueur, il voulait bien louer des ânes pour grimper. Quoi qu’il en soit, en gros, depuis toujours, il suivait. La Corse, Malte, il avait été là avec nous. William était un vieil ami de Paul, il avait enterré ses deux dernières femmes et vivait solitairement tout au long de l’année. Il avait été dentiste et avait tout plaqué pour la peinture. La peinture n’avait pas marché et il s’était lancé dans la chanson à l’époque des quarante-cinq tours. Il en avait enregistré deux, avait gagné pas mal d’argent et vite compris qu’il n’en gagnerait pas davantage. Il l’avait placé et avait rangé sa guitare. Il avait rencontré ses deux femmes ensuite. William était quelqu’un de lucide, qui avait vécu intensément mais dont la santé fléchissait. Ses deux deuils successifs l’avaient perturbé. En vacances, on était là, présents, mais le reste du temps on ne savait pas comment il vivait son isolement. On ne lui connaissait plus de femmes. Il n’en parlait pas, en tout cas. Et on ne lui demandait rien parce qu’il souriait. Il avait une sorte de gentillesse désarmante, et toujours ce sourire aux lèvres qui ne trompait personne mais qui nous empêchait de le brusquer. Quand on se promenait, on avait peur qu’il tombe. Il était très lourd. Curieusement, il nous apaisait. Le reste de l’année, on craignait de prendre de ses nouvelles.
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Et c’est peut-être d’ailleurs notre groupe qui éclaterait à la fin de ces vacances, peut-être que c’est ce qu’ils veulent c’est ça, me suis-je dit, que tout ça explose et que la page se tourne. Peut-être qu’ils veulent vieillir, me suis-je dit encore, que la vie fiche le camp avec tout le reste, l’amitié et l’amour, ou le semblant de l’amitié et le semblant de l’amour, et le soleil de l’été avec ce qu’il cache en tout cas jusque-là pas question de tenter quoi ce que ce soit qui puisse nous faire avancer ensemble, discuter, s’ouvrir, non.
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C'est précisément parce que j'avais peu connu William, ai-je compris, que sa mort m'atteignait, me l'enlevait d'autant plus en m'interdisant de mieux le connaître et ce que je perdais, notamment, outre ce que j'avais connu de William, c'était ce que j'en avais pas connu et que je n'en connaîtrais jamais, c'était là, dans cette zone hors d'atteinte, que se tenait l'irréparable, et non dans le souvenir que je conservais de lui, dont on sait comment la vie s'accommode, comment de ce qui disparaît elle fait d'abord sa charge, puis son compagnonnage, avant de composer avec l'oubli.
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Louise, en quittant le salon, avait pensé à emporter le gâteau. Georges, dans la cuisine, lui a indiqué qu’il convenait de le mettre au frais. Le problème, c’est que, dans leur grande cuisine, Louise et Paul n’avaient pas de grand réfrigérateur. Ils avaient un réfrigérateur de taille moyenne, et il était plein. Louise a entrepris de le vider et d’en modifier le rangement. On a patienté. Quand elle a eu fini, Georges regardait par la fenêtre, qui donnait sur la cour. On s’est mis à table avec nos verres, et Louise nous a apportés des artichauts à la grecque. Elle a dit que c’était de circonstance, mais que là-bas on se nourrirait moins bien, qu’on mangerait essentiellement du poulpe et des salades de tomates avec un gros morceau de féta posé dessus. Et de la moussaka, a-t-elle dit. À l’intention de Georges, Paul a suggéré qu’on regarde après le dîner où se trouvait Hydra sur la carte et qu’on aille sur Internet voir les photos de la maison. Il a parlé un peu d’Hydra, qui est une île avec un port du même nom et où on ne se déplace qu’à pied ou sur des ânes. La maison sur laquelle il avait mis une option n’était pas au port mais dans un village distant de quelques kilomètres où on se rendait du port par bateau-taxi. Toute l’île est plutôt montagneuse, mais on était à deux minutes de la première plage. L’eau a l’air très claire, a-t-il précisé. Évidemment, a-t-il ajouté, c’est plein de monastères.
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Christian Oster - La vie automatique .Christian Oster vous présente son ouvrage "La vie automatique" aux éditions de l'Olivier. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/1934121/christian-oster-la-vie-automatique Notes de Musique : Free Music Archive: Gillicuddy - All Eventualities. Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Dailymotion : http://www.dailymotion.com/user/Librairie_Mollat/1 Vimeo : https://vimeo.com/mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Tumblr : http://mollat-bordeaux.tumblr.com/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Blogs : http://blogs.mollat.com/
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