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Critique de Vielivre
Sur la dune de Christian Oster, léger, agréable, errant.
Paul est un homme qui se demande s'il ne va pas venir vivre à Bordeaux. Avant de prendre sa décision, il décide de s'y rendre et de rendre visite au passage à ses amis qui habitent St Girons. En arrivant, il fait la connaissance de Charles et Ingrid qui passent « de moins en moins de temps ensemble ». Ce couple finalement doit rentrer d'urgence, leur voisin et ami est mort. Paul s'invite avec eux.
Paul est le narrateur, l'oeil spectateur du livre, l'homme qui erre sans but. Il observe, il regarde, il analyse, il essaye de comprendre.
Il se dégage de ce livre une quiétude. Paul est l'homme sans attache amoureuse, qui se laisse happer par l'imprévu.
Les dialogues se confondent dans la narration formant un bloc. Les pensées du narrateur s'imbriquent dans les paroles de l'interlocuteur et cette technique d'écriture permet au lecteur d'être peut-être plus présent au texte.
Le livre se laisse lire gentiment.
Paul est un homme qui se demande s'il ne va pas venir vivre à Bordeaux. Avant de prendre sa décision, il décide de s'y rendre et de rendre visite au passage à ses amis qui habitent St Girons. En arrivant, il fait la connaissance de Charles et Ingrid qui passent « de moins en moins de temps ensemble ». Ce couple finalement doit rentrer d'urgence, leur voisin et ami est mort. Paul s'invite avec eux.
Paul est le narrateur, l'oeil spectateur du livre, l'homme qui erre sans but. Il observe, il regarde, il analyse, il essaye de comprendre.
Il se dégage de ce livre une quiétude. Paul est l'homme sans attache amoureuse, qui se laisse happer par l'imprévu.
Les dialogues se confondent dans la narration formant un bloc. Les pensées du narrateur s'imbriquent dans les paroles de l'interlocuteur et cette technique d'écriture permet au lecteur d'être peut-être plus présent au texte.
Le livre se laisse lire gentiment.
