AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782883551435
Editions la Sarine (01/01/2011)
4/5   1 notes
Résumé :
Les Souvenirs d’enfance d’Emile Ottoz (1877-1953) constituent un récit de vie et une chronique de la vie dans une société traditionnelle entre 1880 et 1930. Echarlens en est l’ancrage géographique. Resté inédit – hormis les pages parues dans le Bulletin paroissial local des années 1950 – ce manuscrit de plus de 500 pages a été dactylographié, lu et relu, relu encore, structuré en chapitres, diminué de ses nombreux excursus généalogiques et amplement illustré par Gil... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Souvenirs d'enfance : Echarlens vers 1900Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
L'approche de l'écrivain est particulière, il aborde l'histoire du village de son enfance de façon géographique. Partant d'un point précis, il remonte ou descend les rues en décrivant chaque maison et la famille qui l'habitait alors qu'il était enfant dans les année 1880-1890. C'est une chronique intéressante qui nous fait revivre la vie des petites gens (artisans, paysans, domestiques) et des gros propriétaires terriens au tournant du vingtième siècle. On se rend compte qu'à cette époque c'étaient les Suisses qui émigraient en France, au Brésil ou en Argentine pour pouvoir "vivre mieux". Les diverses maisons du village d'Echarlens nous racontent leur histoire et celle de leurs habitants : du parisien en villégiature au vagabond qui était remis à sa commune d'origine, en passant par le mercenaire au service du Roi de France, tous ces gens ont imprimé leur histoire dans les pierres de leur logis.
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
En ce temps-là, dans ces petites industries artisanales comme le moulin, la forge, la scierie, l'atelier de charron ou de menuisier, il n'était pas question d'horaires ou de journées de huit ou de dix heures, ni de semaine anglaise, on travaillait jusqu'à ce que le travail soit terminé ou que la fatigue interdise de continuer et nul ne songeait à demander ou à payer des heures supplémentaires : c'était un régime patriarcal.
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : généalogieVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (2) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1709 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}