C'est un peu comme si on associait les trames des trois sagas Infinity Gauntlet avec le déferlement de Annihilation : déstabilisant. On s'embrouille très vite entre les différentes déités : pas facile de représenter le déchaînement des pouvoirs de ces entités supérieures, surtout que l'encrage de Palmer privilégie l'impact des couleurs à la précision des traits, et que le visage de la plupart des protagonistes nous est inconnu. [...]
Ambitieux et réussi.
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