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Critique de liliterre
Merci tout d'abord à l'opération Masse critique et aux éditions Hatier pour cette découverte qui va me permettre de poursuivre les petites collections de mon fils de 6 ans... Car cette collection est très bien faite et, si celui-ci est davantage destiné à de bons lecteurs (la 4ème de couverture indique 7-8 ans avec un niveau de lecture 4 et je valide complètement!), j'ai cru voir qu'il y en avait, avec les mêmes personnages, pour les 5-6 ans.
Pourquoi je trouve cette collection bien faite... le titre, "La cité des copains", est accrocheur. Les personnages sont attachants, variés, et la présence du chien-nounours, bien sûr, ne peut que plaire aux enfants! le livre est petit sans être lu non plus en dix minutes: il ne fait donc pas peur aux enfants mais ne fait pas non plus s'ouvrir le porte-monnaie des parents trop vite. le plan de la cité, au début du livre, permet à l'enfant de se plonger dans l'histoire, de mieux s'imaginer le cadre. Les rabats peuvent être utilisés en marque-page, même si cela aussi est prévu puisqu'il y en a un à découper! Mais je trouve qu'à cet âge, ils les perdent très facilement et se servir du rabat est plus pratique, d'autant que le vocabulaire expliqué se trouve sur l'un des deux! A la fin du livre, de petits paragraphes nous apportent des informations sur l'école en Mongolie, sur les yourtes (que les enfants semblent avoir découvertes dans leur classe verte), des conseils pour respecter la forêt lors de leurs balades...
Par rapport à l'histoire, j'ai apprécié le fait que ce qui nous est décrit est réaliste et pas tout rose: "l'amoureuse" du père indique un divorce dans le passé, les parents d'un des élèves ne peuvent pas débourser soixante euros pour payer un voyage scolaire, le gardien garde enfermé son chien et n'aime pas les enfants... Certains passages sont très pédagogiques puisqu'on voit les personnages faire un calcul par rapport aux ventes de brioches, par rapport à l'argent nécessaire, les enfants y découvrent la notion de bénéfice... L'esprit des enfants est également ouvert sur le fonctionnement de l'école (la coopérative, le fait qu'on puisse commander les légumes chez l'épicier du quartier pour la cantine...). du suspense est créé puisque malgré les efforts, tout l'argent nécessaire n'est pas réuni. Il y a une morale aussi: aider son prochain, savoir vaincre sa peur (face à un public par exemple)...
Allez un bémol toutefois! Les illustrations sont présentes et je pense suffisantes. Mais la couleur m'a réellement manqué (les illustrations sont en noir, blanc et bleu).
Pourquoi je trouve cette collection bien faite... le titre, "La cité des copains", est accrocheur. Les personnages sont attachants, variés, et la présence du chien-nounours, bien sûr, ne peut que plaire aux enfants! le livre est petit sans être lu non plus en dix minutes: il ne fait donc pas peur aux enfants mais ne fait pas non plus s'ouvrir le porte-monnaie des parents trop vite. le plan de la cité, au début du livre, permet à l'enfant de se plonger dans l'histoire, de mieux s'imaginer le cadre. Les rabats peuvent être utilisés en marque-page, même si cela aussi est prévu puisqu'il y en a un à découper! Mais je trouve qu'à cet âge, ils les perdent très facilement et se servir du rabat est plus pratique, d'autant que le vocabulaire expliqué se trouve sur l'un des deux! A la fin du livre, de petits paragraphes nous apportent des informations sur l'école en Mongolie, sur les yourtes (que les enfants semblent avoir découvertes dans leur classe verte), des conseils pour respecter la forêt lors de leurs balades...
Par rapport à l'histoire, j'ai apprécié le fait que ce qui nous est décrit est réaliste et pas tout rose: "l'amoureuse" du père indique un divorce dans le passé, les parents d'un des élèves ne peuvent pas débourser soixante euros pour payer un voyage scolaire, le gardien garde enfermé son chien et n'aime pas les enfants... Certains passages sont très pédagogiques puisqu'on voit les personnages faire un calcul par rapport aux ventes de brioches, par rapport à l'argent nécessaire, les enfants y découvrent la notion de bénéfice... L'esprit des enfants est également ouvert sur le fonctionnement de l'école (la coopérative, le fait qu'on puisse commander les légumes chez l'épicier du quartier pour la cantine...). du suspense est créé puisque malgré les efforts, tout l'argent nécessaire n'est pas réuni. Il y a une morale aussi: aider son prochain, savoir vaincre sa peur (face à un public par exemple)...
Allez un bémol toutefois! Les illustrations sont présentes et je pense suffisantes. Mais la couleur m'a réellement manqué (les illustrations sont en noir, blanc et bleu).
