Bien sûr, j'avais eu parfois à gérer les crises d'épouses au moment de la fermeture du cercueil. Mais cela fait partie du métier : les vivants sont toujours source de problèmes
- Vous serait-il possible d'enterrer mon mari ?
- Il est mort ?
Il arrivait que cette question surprît. Je la posais systématiquement, par professionnalisme.