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EAN : 9782809815481
350 pages
L'Archipel (20/08/2014)
3.71/5   59 notes
Résumé :
Quelques minutes après être descendues de leur jet en provenance de Berne, Abbie Elliot et ses trois meilleures amies – Winnie, Serena et Bryah – prennent possession de la suite présidentielle d’un luxueux palace de Monte-Carlo.
Le temps d’un week-end, les quatre jeunes Américaines ont abandonné mari et enfants pour s’offrir du bon temps. Au programme : casino, restaurants, boîtes de nuit et champagne à gogo…
Après une soirée bien arrosée, les quatre j... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Le talent de James Patterson n'est plus à démontrer et ce thriller ne fera que confirmer les raisons de son succès. J'ai tourné les pages sans m'en rendre compte. Une histoire de nanas qui lasses des maris et des bambins décident de se faire un petit plaisir avec une virée à Las Vegas, ça ne pouvait que me plaire, si en plus tout tourne au cauchemar et que ça donne lieu à une enquête du tonnerre tout y est .

Un bon moment de détente pour moi, quelques grincements de dent pour les maris qui sont des goujats de première, je comprends les femmes qui se sont fait la malle, quelques moments d'indignation face à la justice et au comportement des policiers.

VERDICT

Même si vous n'êtes pas très branché thriller, ce livre devrait vous plaire car c'est davantage un roman de suspens qu'autre chose. Un bon bol d'air, une évasion pour quelques heures à Las vegas.
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Comment un week-end entre filles tourne au cauchemar ?

Voilà le résumé de ce roman. Les chapitres sont courts, on veut savoir la fin de l'histoire.

Oui, mais voila trop d'incohérences ont nui au déroulement de l'histoire. Un président de la république, ancienne gloire du foot marié à une ancienne miss france (what else ? ? ), une détenue torturée par des surveillantes pénitentiaires.
Les américains ont une drôle de perception de l'univers carcéral français, ils doivent confondre avec Guatanamo ou les prisons turques de Midnight Express.

Dans le roman, il y a 4 accusées mais il y a que le point de vue d'une seule personne, j'aurais aimé connaitre le point de vue des autres copines, quasiment inexistantes.

Une fin décevante quand on connait les coupables, tout ça pour ça. Franchement, j'ai connu James Patterson mieux inspiré.
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Autant le dire dès le départ : je n'ai pas aimé ce livre. Jamais, à aucun moment. Je vais tout de même essayer de vous faire une chronique objective et vous expliquer mon ressenti.
James Patterson, qui écrit maintenant toujours avec un autre auteur, a toujours réussi à proposer des romans qui, sans être forcément excellents, me permettaient de passer un bon moment. J'ai rarement été déçue par ces intrigues, mais là je n'ai pas réussi à trouver un point positif - ou si peu.

Nous partons de quatre femmes, pour la plupart mères de famille, qui décident de s'offrir un week-end flamboyant à Monaco entre filles, loin de maris et enfants. Si au début tout se déroule bien, elles finissent toutes par céder aux sirènes de l'adultère - principalement car leurs maris ne se gênent pas de leur côté. Mais elles sont soudain réveillées par le GIGN qui les arrêtent pour meurtre. Rapidement condamnées par l'opinion publique, leur procès n'est qu'une mascarade et elles sont rapidement incarcérées en France. C'est là, dans une prison française, que l'on retrouve Abbie. Elle est la seule à n'avoir pas abandonné. A avoir refusé d'avouer en échange d'une réduction de peine : elle se sait innocente et ne perd pas espoir. Torturée, violentée, Abbie réalise que si elle ne prend pas les choses en main, elle mourra dans cette prison. Commence alors un compte à rebours mortel pour elle, et pour sa liberté.

Je dois dire que dès le chapitre 1, j'ai su que cela n'allait pas marché. L'ambiance posée m'a rappelé un vieux téléfilm du dimanche, avec une image pleine de grains et aux couleurs fanées (voyez-vous ce que je veux dire ?). Pourtant, j'ai continué, j'ai voulu aller jusqu'au bout. Donner sa chance au roman, et prête à croire qu'il y avait quelque chose de bien.

Mais dans ce roman...tout est joué ! le procès, l'intrigue...il ne se passe rien pendant près de 300 pages ! La première page s'ouvre sur la prison (donc on connait l'issue du procès) puis on remonte dans le temps. Sauf qu'on s'ennuie. On ne sait pas vraiment, car Abbie ne sait pas qui est coupable, juste qu'elle est innocente. Il faut attendre le drame du chapitre 1 pour qu'Abbie se secoue et tente le tout pour le tout. A ce moment, à ce moment là seulement, il y a un peu d'action. On suit alors Abbie dans sa volonté de découvrir la vérité sauf que...au final ce n'est pas tant grâce à ses actions mais à celles d'autres personnes.
Ce qui me gêne en plus, c'est qu'un lecteur attentif remarquera un petit passage, l'air de rien en début, qui ne donne aucun nom de personnage mais...qui est extérieur aux yeux d'Abbie et qui vous dévoile en fait les dessous de l'intrigue...Quel dommage !

Au final je l'ai terminé, mais sans plaisir !
Lien : http://www.nyx-shadow.com/20..
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Quatre amies décident de se payer un week-end de fiesta à Monaco : alcool, casino, hommes. le week-end est une réussite en tous points jusqu'à ce qu'elle se réveillent au petit matin, sur un yacht, le RAID et le GIGN sur le dos.

Les quatre plus ou moins jeunes femmes se retrouvent laminées en quelques mois par la machine judiciaire française et le besoin de « vengeance », ressenti par tout un peuple et exprimé par la voix du juge, provoqué par leur soi-disant crime atroce (je ne vous le dévoilerai pas).

Patterson et Ellis ne font pas dans la finesse mais ce n'est pas non plus ce que l'on est en droit d'attendre de ce genre de livre à suspense, comme nous le rappelle la jaquette qui placarde Patterson en qualité es « numéro un mondial du suspense ». Ils ne font pas non plus dans le crédible mais pour ce qui est de l'efficace, de l'ébouriffant et du sensationnel, ils ne sont pas en reste.

Le livre est plutôt bien structuré. Quelques pages inaugurales sur le sort d'Abbie et de Winnie en prison, dont on ne sait pas trop si cette dernière vient de se suicider ou si on l'a un peu/beaucoup/passionnément aidée, précèdent les narrations du week-end alcool/débauche des quatre amies (Abbie et Winnie, donc, auxquelles il faut ajouter Serena et Bryha) particulièrement favorisé par la fortune de Serena (ou de celle de son mari), puis du procès ce qui, accessoirement, nous épargne la description de l'enquête, la révélation des éléments à charge étant conservée par les auteurs pour le procès, de l'incarcération des quatre femmes finalement condamnées à trente ans de prison ou à perpétuité, de l'évasion d'Abbie et de la découverte de la vérité.

Dès le départ, le lecteur est mis en présence d'un mystérieux personnage qui a scénarisé l'arrestation des quatre dévergondées (dont les maris, allégrement trompés pendant la virée monégasque, ne sont pas des anges non plus, loin s'en faut). A propos des maris, ce sont d'ailleurs eux qui tiennent la corde pour endosser la responsabilité de tout ce qui arrive à leurs épouses, allant jusqu'à les suivre à Monaco pour les observer et constater leur trahison sans penser une seule seconde aux (multiples) leurs.

Il n'y a donc pas véritablement de suspense quant à l'innocence des quatre amies, tout juste est-on légèrement scandalisé par les excès de la police, de la justice et du système carcéral français (nous n'irons pas jusqu'à vérifier la crédibilité des situations), outré de l'outrecuidance des maris particulièrement hypocrites au demeurant, pressé qu'Abbie, forte tête devant l'Eternel, puisse en découdre avec les responsables de sa situation. Pas de message fort non plus en dehors d'une morale que l'on qualifiera de boomerang : « qui sème le vent récolte la tempête ». La crédibilité et le suspense n'étant pas les objectifs principaux de ce type de livres, ceci mis donc de côté, ce « Week-end » est particulièrement efficace, pas prise de tête et détend agréablement quelques instants. Si on ne lui en demande pas plus, il n'y a aucune raison d'être déçu.

Lien : http://garoupe.wordpress.com..
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Je ne connaissais James Patterson que de nom jusqu'à ce que je lise " La diabolique" . Ce roman m'avait paru agréable à lire mais pas du tout palpitant . J'ai donc poursuivi la découverte de cet auteur avec la lecture de " Week-end en enfer " . Et là , dès le début , j'ai été accroché . Plus histoire à suspense que thriller ; j'ai tourné les pages et enchaîné les chapitres pour savoir si Abbie , accusée de crime terroriste avec ses 3 copines , va réussir à prouver son innocence . L'auteur fait une description de l'univers carcéral français peu réjouissante ( les séances de torture dont est victime Abbie de la part des matonnes est peu plausible ) . Lu en quelques heures , ce roman m'a bien plu , même si certains ressorts de l'intrigue sont peu vraisemblables .
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J’ai toujours aimé l’infirmerie. Elle apporte une touche de vie et de lumière à l’univers angoissant dans lequel je me débats. Et puis j’aime aider les autres. Un moyen efficace de me rappeler que j’appartiens encore au genre humain, que mon existence a un sen
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On a beau recoller les morceaux, on court le risque d’oublier à jamais la personne que l’on était avant d’être brisée. Un peu comme une voiture à la suite d’un grave accident : une fois réparée, elle marche encore, mais plus comme avant.
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Les enfants sont incorrigibles avec leurs jouets électroniques. Internet est une belle invention, mais je n’ai jamais éprouvé le besoin de m’y connecter vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
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Déséquilibrer le suspect en le privant de tout confort. Le principe est simple. Une tactique vieille comme le monde, presque primitive. Mais efficace.
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Il est préférable de libérer un coupable que d’incarcérer un innocent. Il n’est pas de pire crime pour un État que d’emprisonner à tort un citoyen.
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