Le secret de la Vierge à l'enfant

La gentille histoire d'un vol de tableau avec demande de rançon. Des histoires qui s'entremêleront et remonteront le temps. Des personnages ayant du vécu mais sympathiques. C'est bien écrit, c'est amusant et comme ça se passe à rome, à Florence et en Toscane...alors :-)

Dernier tome paru en français de la série de Iain Pears sur la brigade d'enquête sur les vol d'oeuvres d'art, que le général Bottando a du quitter pour une pseudo promotion. Flavia di Stephano a été nommée à sa place, et échange à son grand désarroi le rythme des enquêtes pour la bureaucratie et la gestion. Et lorsque les pressions politiques s'y mettent, suite au vol en Italie d'un tableau prêté par le musée du Louvre, la situation devient pénible. Il faut absolument retrouver cette oeuvre d'art.
Joli final de cette série, toujours aussi jouissif avec un Bottando en semi retraite, et Jonathan Argyll, le mari de Flavia, toujours aussi surprenant. Entre les combinazione politiques, on visite Rome et la Toscane, pour passer un moment de détente sous le soleil méditerranéen.

L'intrigue nous présente un autre opus des enquêtes de la brigade romaine du patrimoine artistique.
L'auteur nous entraine à la suite d'un tableau volé dans les méandres de la politique italienne et des terroristes repentis. On a plaisir à suivre les aventures de Flavia et de son ex patron Bottando, bientôt retraité. Une incursion dans la vie romaine qui permet de passer un agréable moment de lecture.

une nouvelle aventure de Flavia di Stefano et de Jonathan Argyll. Nous sommes heureux de retrouver ces personnages devenus maintenant si familiers. Nous devons ce plaisir à un vol de tableau celui d'un le Lorrain connu essentiellement pour avoir été plusieurs fois volé et dont la sécurité a été garantie par le Premier Ministre Italien en personne. les enjeux sont de taille, de même que les secrets que Flavia va devoir percer. Les protagonistes sont nombreux et pour certains connus comme le général Bottendo mais aussi Marie Verney qui rentre concomitamment en Italie....


C'est avec plaisir que nous voyons Flavia et Jonathan arriver à la vérité et faire la lumière sur cette affaire d'état.

Promue à la tête du service de la protection du patrimoine historique, Flavia di Stefano se retrouve avec une affaire délicate sur les bras. Un tableau prêté par la France à l'Italie pour une exposition a été volé et une rançon est réclamée. le gouvernement italien souhaite que l'échange se fasse dans la plus grande discrétion, que l'affaire ne soit pas éventée et que l'on puisse prétendre qu'il ne s'est rien passé. Mais quand le présumé voleur est retrouvé mort Flavia décide, pour son compte, d'en apprendre plus. Son enquête la ramène dans les années 1970 quand des terroristes d'extrême gauche ensanglantaient l'Italie. Elle découvre que de vieux comptes n'ont toujours pas été réglés avec des coupables aujourd'hui très haut placés et prêts à tout pour que rien ne change.

Dans ce septième épisode des aventures de Flavia di Stefano et Jonathan Argyll nos héros voient leur situation personnelle évoluer rapidement, d'autant plus que des hommes politiques corrompus veulent les faire taire. Iain Pears là-dessus occupe une position plutôt désabusée : on ne peut lutter contre la corruption des puissants, mieux vaut donc penser d'abord à soi et s'assurer une retraite tranquille. En même temps il fustige le monde contemporain opposé à l'âge d'or des années 1960 : "C'a été une courte période durant laquelle la richesse n'avait pas encore apporté la vulgarité, où la liberté ne s'était pas encore dégradée en nombrilisme, et durant laquelle le désir de nouveauté était empreint d'espoir au lieu d'être une quête obsessionnelle du changement". Un peu contradictoire, non ?
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