Je ne m'étalerai pas sur ce livre qui est pour moi le pire de la série (qui n'était déjà pas une grande réussite, faut pas se mentir). Pourtant en lisant le 3eme volume j'avais un petit (tout petit) espoir, mais hélas très vite perdu à la lecture de celui-ci.
Plein de lourdeurs, de répétitions, pas vraiment drôle, à l'histoire peu passionnante, voir bâclée.
Il aurait mieux fait de rallonger un peu le précédent, histoire dans finir avec cette aventure et on en parlait plus, on passait à autre chose de bien plus intéressant.
A présent il ne me reste plus qu'à me taper le dernier volume, mais franchement je suis pas motivé et si je ne l'avais pas déjà, je pense que je ne chercherais même pas à l'acquérir. Mais bon ! comme je l'ai, je vais me forcer à le lire (par chance ça se lit vite), en espérant retrouver ce qui m'avait plu dans le 3eme, même si ce n'était pas tip top non plus, ça avait au moins l'avantage d'être digeste, pas comme celui-ci.
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Quant à Milia, elle décroisa les jambes et les recroisa dans l’autre sens dans une pure expression de basique instinct. Nous voulons dire par là non plus l’une sur l’autre, mais l’autre sur l’une. Et se tortilla un peu de la taille et du fessier sur son siège, ce qui propagea le mouvement jusqu’à ses épaules.
(Ce n’est pas que le mouvement de Milia la Garce ait une réelle importance dans le cours de ce récit, à cet instant, mais au moins autant que le « ouais » de Isrich et Valentin, et puis c’est plutôt joli à voir.)
Et quand, plus tard, racontant l'événement, J.L.G. commençait par ces mots "Faut croire que c'était pas mon jour...", il avait parfaitement raison.
Ce n'était le jour de personne.
C'était la nuit.
Immense Pierre Pelot, avec plus de 200 livres en 53 ans d?écriture : littérature générale, science-fiction, policiers, romans noirs, récits fantastiques, BD, théâtre, contes, sagas... L'auteur était à Poirel le 7 octobre pour un entretien aux côtés de Françoise Rossinot autour de son dernier roman, "Braves gens du Purgatoire" (Éditions Héloïse d'Ormesson).