Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée, et s'asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu'on l'appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n'était pas si malhonnête que son aînée, l'appelait Cendrillon ; cependant Cendrillon, avec ses méchants habits, ne laissait pas d'être cent fois plus belle que ses sœurs, quoique vêtues très magnifiquement.
Elle entendit sonner le premier coup de minuit, lorsqu'elle ne croyait pas qu'il fût encore onze heures : elle se leva et s'enfuit aussi légèrement qu'aurait fait une biche. Le Prince la suivit, mais il ne put l'attraper ; elle laissa tomber une de ses pantoufles de verre, que le Prince ramassa bien soigneusement.
La pauvre fille souffrait tout avec patience et n’osait s’en plaindre à son père, qui l’aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement. Lorsqu’elle avait fait son ouvrage, elle s’allait mettre au coin de la cheminée, et s’asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu’on l’appelait communément dans le logis Cucendron. La cadette, qui n’était pas si malhonnête que son aînée, l’appelait Cendrillon.
Le Prince aida à la Princesse à se lever ; elle était tout habillée et fort magnifiquement ; mais il se garda bien de lui dire qu’elle était habillée comme ma mère-grand […]
cendrillon, oh que j'ai aimé ce Disney et j'avoue que je l'aime encore. elle nous montre que malgré tous les échecs, la méchanceté nulle ne peut changer son destin. maltraité par sa belle mère et ses sœurs par alliance, elle arrive a les surprendre avec l'aide de sa marraine. c'est grâce a une soirée inoubliable pour elle qu'elle a rencontré le prince charmant, elle était si belle, si resplendissante.....
On rompit près de douze lacets, à force de les serrer, pour leur rendre la taille plus menue.
La bonne grâce est le vrai don des fées ;
Sans elle on ne peut rien, avec elle on peut tout.
Sa marraine, qui était fée, lui dit : – Tu voudrais bien aller au bal, n’est-ce pas ?
– Hélas! Oui. dit Cendrillon en soupirant.
– Eh bien ! Seras-tu bonne fille ? dit sa marraine, je t’y ferai aller.
Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme fort hautaine. Elle avait déjà deux filles et lui-même avait une enfant, aussi douce et généreuse. Les deux filles en revanche étaient à l’image de leur mère, arrogantes et détestables.
La pauvre fille souffrait tout avec patience et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait grondée, parce que sa femme le gouvernait entièrement.