Dans ce tome, l'auteur compare la vie sur terre à une partie d'échec que se livre les dieux. Il y fait donc allusion ici et là, parle de stratégie et d'intuition. Cela donne un point de vue intéressant sur l'histoire. En ce qui concerne l'action et l'intrigue, l'auteur est égal à lui-même. Ce tome est aussi bien que ceux qui le précède. Je n'ai pas eu le sentiment que la saga s'essouffle, ce qui est bien à ce stade de la série.
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Une épopée grandiose pour les jeunes que j'ai lu adulte. J'ai aimé. Une très bonne série pour donner envie de lire aux plus jeunes et que les grands prennent plaisir à suivre.
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Cette guerre est remplie d'action. Bartélémy est vraiment débile! J'aime comment Amos a tué ses ennemis.
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les Vikings étaient vêtus de cuir et maniaient leur hache d’une seule main. Ils étaient rapides, agiles, enragés et ne craignaient pas la mort. Selon leurs croyances, seuls les guerriers qui mouraient au combat pouvaient être admis dans la résidence d’Odin afin de participer au banquet des dieux. Pour eux, cette guerre était donc une façon directe d’entrer avec honneur dans la vie éternelle.
Les éclairs continuaient à fuser les uns après les autres, mais la furie du ciel n’avait plus beaucoup d’importance pour les filles. Elles avaient oublié la guerre, les combats et les stratégies pour discuter d’un sujet beaucoup plus passionnant : l’amour.
Bientôt, vos entrailles se dessécheront et votre sang deviendra acide. Des plaques noires et de gros furoncles vous couvriront le corps, puis s’ensuivront des crises de délire, des vomissements et la perte complète de votre motricité. Votre peau se desquamera dans de terribles souffrances. La guerre est terminée… Vous l’avez perdue !
Plusieurs légendes affirment que les dieux agissent comme des joueurs d’échecs avec leurs créations et qu’ils s’amusent, sur le grand échiquier du monde, à s’affronter les uns les autres par l’entremise des humains et des humanoïdes.
Peu de jeux sont aussi représentatifs de la complexité des relations politiques entre les humains que le Chaturanga. Il s’agit d’un résumé des différentes stratégies qu’il faut utiliser pour abattre un empereur et s’emparer de ses armées. Comme à la guerre, le jeu fait appel aux facultés d’analyse et de synthèse des joueurs. Chaque mouvement exige un jugement éclairé se référant à un plan d’ensemble préétabli. Un bon joueur doit posséder la faculté de réagir vite aux différents mouvements des troupes adverses et de prévoir leurs coups à l’avance. Or, il arrive parfois que les meilleurs joueurs cèdent sous l’harassante pression mentale que provoque ce jeu et qu’ils suppléent alors à la logique par l’intuition. Ceux-là remportent souvent d’étonnantes victoires, car chacun sait que la partie n’est jamais
Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015