Burqa fashionista

Quand j'ai vu la couverture, cela m'a fait penser à ma dernière BD commentée (Caraïbes) et je me suis dit qu'il était temps de trouver un juste milieu...
62 dessins en noir et blanc : une page par dessin. L'auteur fait de l'humour sur un thème qui incite à ne pas en faire, ni de commentaire : la burqa. Il tente dessin après dessin de faire réfléchir sur cette pratique globalement assez peu répandue mais qui cristallise une part importante des débats sociétaux. Certains prétendent qu'aucun jugement n'est porté explicitement mais il est difficile de ne pas laisser transparaître ses idées et M. de Witt le fait avec force dérision. Et si on arrive à s'élever un peu (perso, je n'en porte pas, c'est un choix) cette dérision touche d'autres aspects de la société pour lesquels je me sentais concerné.
En lisant cette BD, on sait de toute manière à quoi s'attendre.

lu directement à la bibliothèque, j'ai beaucoup ri en regardant toutes les planches de ce petit album de bd.
tout un tas de situations pour rire de cet arbitraire dramatique, même si certains dessins ne font "que" faire sourire.
jaune. par exemple, la rencontre entre deux femmes dont l'une est accompagnée de sa petite fille. la maman explique que c'est le premier jour où elle porte la burqa. et l'enfant de s'écrier "je veux mourir". et la deuxième femme de dire "elle apprend vite".
rire pour ne pas pleurer de désespoir?

EXTRAIT "Bon, présentation sommaire, mais le concept est facile à expliquer. En un dessin, l'auteur propose une réflexion sur un aspect de la vie des femmes portant cet attribut barbare. Oui, autant que je prenne partie immédiatement, car de Witt le fait encore plus. Il met en avant l'absurdité d'une telle pratique, et bat en brèche l'idée cette torture puisse être un véritable choix. "
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