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EAN : 9782262023850
972 pages
Perrin (28/08/2008)
4.34/5   43 notes
Résumé :


Premier grand portrait du père de Louis XIV paru depuis trente ans, la nouvelle biographie de Jean-Christian PETITFILS ne se limite pas à la simple approche psychologique d'un personnage que l'on croit connaître à travers Alexandre Dumas, Vigny et les autres écrivains romantiques. Elle présente une fresque complète des trente-trois ans de son règne, qui va du 14 mai 1610, date de l'assassinat d'Henri IV, à sa mort à quarante-deux ans, le 14 mai 1643.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Sur l'étagère « biographies des rois de France » j'attaque enfin ceux écrits par Jean-Christian Petitfils. J'avais hâte, cet homme étant suffisamment présent en tant qu'expert dans les émissions genre « Secret d'Histoire », de me confronter à ses écrits.
Eh bien je ne suis pas déçu de ce premier voyage.

L'auteur prend plaisir à redresser l'image assez peu ragoutante par laquelle Louis XIII est médiatisé sans pour autant transformer l'homme en idéal. Disons qu'il met plus en avant ce qu'il y avait de positif, ce qui est occulté ou ignoré dans les romans.
Cela fonctionne incontestablement. L'image d'un roi effacé derrière Richelieu, ne s'intéressant qu'à la chasse, disparaît. On a plutôt affaire à un couple acharné à guider l'État français dans la même direction : l'absolutisme (même si le terme n'existait pas encore), c'est-à-dire concentrer autour du roi la totalité des pouvoirs jusqu'ici éparpillés aux quatre vents de la féodalité. Et Louis XIII est extrêmement actif au sein de ce couple, souvent plus vindicatif que son ministre – il ne supporte pas qu'on remette en cause son autorité, c'est lui qui décidera de la mort de Chalais ou de Louis de Marillac, alors que Richelieu les aurait épargnés –, il est prompt à partir sur le front des batailles, à parcourir les tranchées des sièges, à réorganiser l'intendance et s'inquiéter de ses soldats ; mais c'est aussi un artiste, aimant pratiquer la musique et le dessin.

C'est la première fois que je sens vraiment le changement politique opérer en France. Durant la régence de sa mère Marie de Médicis, voire jusqu'à Richelieu, on sent la force des princes et des Grands qui passent leur temps à se rebeller, à réclamer le retour de leurs privilèges et de leur autonomie. On sent la cupidité et la morgue des principaux ministres – Concini, Luynes ou Marillac. On sent cette féodalité toujours vivace, prompte à profiter de la moindre faiblesse du pouvoir royal pour reprendre du poil de la bête. Mais cela change. La centralisation du pouvoir opère, souvent de force. Les bisbilles nationales doivent finir, la France doit agir d'un seul bloc face aux autres puissances : l'Espagne surtout, l'Empire des Habsbourg ensuite, l'Angleterre enfin. le jeu géopolitique grimpe d'un niveau.

Jean-Christian Petitfils écrit visiblement des pavés, mais il n'est pas ennuyeux. Bon, il lui arrive par moments de saturer ma tolérance à l'abus de détails – ça ne m'intéresse pas vraiment de savoir que tel jour le jeune roi a fait pipi-caca – mais la plupart du temps il écrit avec style, avec styles même. L'arrivée de Marie de Médicis à Marseille est lyrique ; l'assassinat de Concini est une vraie histoire à suspense et la « journée des dupes » est racontée comme une tragi-comédie en trois actes.
C'est en fait toute cette portion du 17ème siècle européen qui est décrite avec moult détails : l'auteur n'omet rien de la guerre de trente ans. Il consacre un chapitre entier aux arts, à la tragédie, à la science – Corneille et Pascal ont leur place ici – mais aussi l'évolution d'un pan du catholicisme vers le mouvement des dévots. Les tensions religieuses avec les protestants existent encore, mais l'auteur met l'accent sur le fait que les guerres qui ont opposé le roi aux protestants ne l'étaient point pour des raisons de religion, mais simplement pour des raisons de rébellion contre l'État. Jamais Louis XIII ne remettra en question la liberté de conscience.

Une autre force de ce livre est l'incarnation des personnages que l'auteur parvient à réaliser à travers ses mots. Louis XIII et Richelieu ont bien sûr droit à des analyse psychologiques profondes, mais on entre aussi dans la tête d'autres personnages importants quand cela s'avère nécessaire : Concini, Luynes, le Duc de Nottingham, Montmorency pendant sa rébellion, Cinq-Mars ou Anne d'Autriche voient leurs motivations prendre vie. Un personnage en particulier m'a impressionné : Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse. Ses complots, ses intrigues, sa beauté, sa volonté permanente de mettre des bâtons dans les roues du roi et de son ministre, en font un personnage de roman bien plus que milady de Winter.

Quand on s'immerge aussi profondément dans une vie, il me paraît difficile de rester neutre, de ne pas finir par éprouver de la sympathie pour les motivations de ce personnage (ce qui explique l'idée de « réhabilitation »). J'ai parfois eu l'impression que Jean-Christian Petitfils prenait ainsi fait et cause pour la volonté de concentration des pouvoirs de Louis XIII et Richelieu, qu'il s'agissait pour lui du sens progrès que les rébellions féodales et anachroniques des Grands n'avaient fait que retarder.
Mais je n'en suis pas certain en fin de compte. Si cela était, il n'aurait pas pris autant de soin pour décrire la misère et l'écrasement par l'impôt des masses populaires qu'implique la marche forcée vers l'absolutisme et la guerre contre l'Espagne et l'Empire.

Avant de me lancer dans le Louis XIV de Petitfils que j'espère aussi bon, je ferai une halte sur la régence d'Anne d'Autriche à travers une biographie de Mazarin. Nul doute que Jean-Christian Petitfils la décrit avec précision pendant les premières années du roi-Soleil, mais deux avis valent mieux qu'un.
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C'est un livre passionnant de Jean-Christian Petitfils ; passionnant, car cet historien sait raconter des histoires passionnantes :)
Louis XIII, éclipsé par le panache de son père Henri et le rayonnement de son fils Louis, est un roi timide, mais intimement persuadé de sa mission nationale, d'unir et protéger la France !
Attristé par la disparition trop tôt d'un père qu'il aimait ;
attristé par la passion du pouvoir de sa mère Marie, qui continue à vouloir diriger le pays alors que son fils est en âge de régner ;
attristé par les dégêts causés par le couple Conccini ;
attristé par l'hypocrisie de son favori le duc de Luynes ;
attristé, en général par l'âpreté des Grands, son frère Gaston en premier, mais aussi ses frères naturels Vendôme, et les autres Grands ;
attristé par son mariage avec Anne d'Autriche, infante d'Espagne, infante du Portugal, archiduchesse d'Autriche, princesse de Bourgogne et princesse des Pays-Bas, qui est, jusqu'à la mort du roi (1643 ), plus Espagnole que Française,
Louis XIII est méfiant, et c'est avec prudence qu'il accepte petit-à-petit la montée en puissance d'Armand Jean du Plessis de Richelieu, qui devient principal ministre d'État. Celui-ci, immédiatement, par son intransigeance, attire l'hostilité des puissants, mais il n'en a cure, car, comme son roi, il sert d'abord l'intérêt de la France, et, contrairement à l'opinion, sert son roi, car il a peur dêtre déchargé de sa fonction !
Tous deux donc, le roi et Richelieu ont l'objectif commun de servir et protéger la France.
.
Bref, vous saurez l'oeuvre qu'ils ont élevée ensemble, que ce soit contre la menace de sécession protestante, contre la menace des Habsbourg, ou la mise en place de l'Etat moderne, grâce aux intendants, dont a profité le roi soleil, en lisant ce superbe plaidoyer pour un roi que j'aime autant que son père, et bien plus que son fils...livre qui me servira grandement pour la construction de LOUISE !
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Louis XIII, cet inconnu, coincé entre deux rois-phares de notre Histoire : Henri IV et sa poule au pot et Louis XIV, le « Roi Soleil » … Ce pauvre Louis XIII, rapidement orphelin de père et mal aimé par sa mère, Marie de Médicis qui, une fois qu'elle aura goûté au pouvoir lors de sa régence, s'y agrippera de toutes ses forces et pourrira jusqu'au bout la vie de son fils.

Ce roi, mal connu et mal aimé des Français, Jean-Christian Petitfils nous le fait découvrir et admiré. Oui, admirer, car grâce à sa narration toujours vivante et colorée, il nous fait suivre la transformation de la chenille en beau papillon. Car Louis XIII, n'en doutons pas, fut un grand roi.

On éprouve de la tendresse et de la pitié pour grand adolescent dégingandé, handicapé par des difficultés d'expression, tenu à l'écart de son rôle de roi par sa mère, Marie de Médicis jusqu'à la fin tragique de Concini qui fut comme un déclencheur.

A partir de ce moment, Louis empoignera son rôle de souverain avec courage et droiture, malgré la maladie humiliante et qui le fit terriblement souffrir.

Car dans L Histoire, Louis XIII fut un roi-pivot. Il fut à la jonction entre le monde féodal, incarné par les Grands et leurs valeurs chevaleresques dépassées et un royaume allant vers toujours plus de centralisation. Il fut un roi pieux dans une période où vécurent toutes ces grandes figures de la Chrétienté : François de Sales, Bérulle et sainte Jeanne de Chantal, pour ne citer que les plus connus. C'est à lui que nous devons Notre-Dame des Victoires et la consécration de la France au coeur immaculé de Marie.

C'est probablement la Providence (en se servant de la machiavélique Marie de Médicis) qui mit sur sa route l'irremplaçable Cardinal de Richelieu. Là aussi, Jean-Christian Petitfils nous le fait découvrir sous son vrai jour, humain, à contre-courant de sa légende noire charriée par le temps depuis Alexandre Dumas : un technicien (comme on dirait aujourd'hui) surdoué, anxieux jusqu'à s'en rendre malade, mais tout dévoué à la France. Un être humain, quoi ! Lui et son roi firent ensemble des merveilles et l'un n'aurait pas pu réussir sans l'autre : c'est une découverte merveilleuse que ce tableau de deux grands hommes pleins de faiblesse physiques et psychologiques appuyés l'un sur l'autre.

Dur sans être cruel, Louis XIII sut maintenir la France à flot dans sa traversée de la Guerre de Trente ans. L'auteur en rend compte de manière pénible: longue, dont les tenants et aboutissants sont difficilement compréhensibles pour notre époque, horrible pour la population (des femmes allèrent jusqu'à manger leurs enfants),  gagnée (si on peut dire) in extremis.

Qu'est-ce qui fait la différence entre cette biographie de Louis XIII et une autre ?

Et bien, outre la narration colorée et pleine de profondeur psychologique, ce sont les apartés sur les arts (c'est le Grand Siècle après tout!), le flamboiement du Christianisme (c'est la Contre-Réforme) et le développement des sciences (l'invention des logarithmes par l'aristocrate écossais, John Napier m'ont particulièrement marquée ). Sans oublier le champs lexical de l'auteur : après avoir refermé ce livre, les soliveaux, chats-fourrés et autre corbeaux n'auront pas de secret pour vous !

Un petit bonus à s'offrir : Jean-Christian Petitfils évoque un certain nombre d'hôtels particuliers parisiens. Je vous invite à les découvrir lors d'un cycle de deux conférences intitulées « L'hôtel particulier en France, XVIe - début XIXe siècle » disponibles gratuitement sur la chaine YouTube de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine.
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Passionnant, tout bonnement passionnant ! Louis XIII est un roi qui exerce chez moi une forme de fascination, coincé entre Henri IV et Louis XIV son règne de transition est resté longtemps méconnu, éclipsé par la personnalité de son principal ministre Richelieu, éclipsé par les roman d'Alexandre Dumas qui le présente comme un personnage fallot, sans envergure... et pourtant ! La lecture de cette ouvrage, la première biographie de Louis XIII depuis presque trente ans et le livre de Pierre Chevallier, réussi une réhabilitation en force, c'était d'ailleurs un des objectifs affichés de Petitfils.
C'est réussi, plaisant à lire, malgré que ce soit un livre bien épais, et surtout didactique. Bref une réussite.
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Après deux biographies de référence de Louis XIV et de Louis XVI, Petitfils nous offre le grand livre tant attendu sur Louis XIII qui montre combien ce dernier fut un grand roi, loin des images d'Epinal d'un souverain dominé par Richelieu. L'analyse des rapports entre le roi, le cardinal et la redoutable Marie de Médicis est éblouissante. Un modèle de livre d'histoire, à la fois rigoureux, élégant et captivant !
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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
[ PLAN POUR RENVERSER LOUIS ET LE CARDINAL ]

Le plan de Marie de Médicis et de son fils Gaston, arrêté de concert avec les autorités bruxelloises [ l'infante d'Espagne ], était ambitieux. Il consistait à lever 4000 à 5000 cavaliers à Trèves. A leur tête, Gaston entrerait en France au mois d'août 1632, traverserait à vive allure la Bourgogne, entraînant dans son sillage tous les gentilhommes mécontents, obliquerait vers le Languedoc et gagnerait la frontière des Pyrénées, où il recevrait de nouveaux renforts. Parallèlement, Charles IV de Lorraine attaquerait en Champagne tandis que ses Etats seraient protégés par l'armée de Gonzalvo de Cordoba, venue du Palatinat. Enfin, le marquis de Valançay livrerait le port de Calais, dont il était gouverneur, à une flotte espagnole qui irait croiser ensuite le long des côtes atlantiques. Dans ce dispositif, le personnage clef était le duc de Montmorency, maître incontesté du Languedoc. C'est en définitive sur lui que reposait le succès ou l'échec de l'entreprise.

NDL :
-- Et alors ? Et alors ?
-- le fils de Marie n'a pas pu réaliser son plan, car "Gaston ya l'téléphon qui son, et ya person qui y répond !
-- Non, sérieux, je vous dirai... Sans doute que Richelieu, qui a placé des espions partout, a fait échouer le projet. Heureusement, car avec Gaston comme roi, c'est comme Charles VI ou Charles VII ...
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La lettre de Richelieu n'eut pas l'heur de plaire à Louis. Le cardinal, effondré, galoppa à Aytré pour s'expliquer. Il ne s'estimait pas plus que les autres. C'était par esprit de sacrifice et non par intérêt personnel qu'il envisageait de diriger le siège de La Rochelle, sachant bien que, sitôt éloigné de Sa Majesté, il serait critiqué de toute part. Son devoir l'appelait à ce poste. Il fallait s'emparer à tout prix de cette forteresse de l'hérésie, sinon l'Europe se mobiliserait contre la France. Déjà on parlait d'une ligue groupant l'Angleterre, la Savoie, la Lorraine, Venise, l'Empereur, sans compter les seigneurs mécontents menés par le comte de Soisson et le duc de Rohan ( les papiers d'un gentilhomme anglais enlevé en terre lorraine, lord Walter Montagu, agent de liaison entre Buckingham et la duchesse de Chevreuse, le révélaient ). Armand Jean fut éloquent. Conquis par ses élans de scincérité, Louis se calma. Il avait confiance en son ministe, une totale confiance.

NDL : on est en 1627, c'est le siège de La Rochelle ; Louis part un ou deux mois pour la capitale, laissant le cardinal devant La Rochelle.
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La chasse était alors la préoccupation de prédilection de Louis XIII, chasse au renard, au sanglier, aux oiseaux... Il avait l'habitude de se rendre non loin de Saint-Germain, en la terre seigneuriale de Versailles. Sur une butte, au milieu d'un paysage doucement vallonné, de landes et de pâturages, coupés d'étangs et d'eaux stagnantes, s'élevait un moulin et un vieux manoir abandonné. C'est en ce lieu que, durant l'été de 1623, pour éviter d'avoir à retourner le soir au Louvre ou à Saint-Germain, il décida la construction d'un petit pavillon sans prétention, qui lui servirait de rendez-vous de chasse... Tels furent les débuts, forts modestes, du prodigieux chef-d’œuvre de l'art classique, qu'édifiera tout autour son fils et successeur.
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Ces gens de robe formaient-ils donc une nouvelle noblesse ? "Noblesse de robe" : l'expression apparaît, semble-t-il, pour la première fois dans les Recherches de la France (1560-1569) d’Étienne Pasquier. Malgré la lutte acharnée qu'ils menaient pour se faire reconnaître leurs propres privilèges, ils étaient encore considérés comme membres du tiers états aux états généraux de 1614. Ils ne supportaient plus le carcan médiéval de la division tripartite et multipliaient les stratégies familiales pour sortir de leurs statuts et s'agréger définitivement au second ordre... Cela n'empêchait pas les différences sociales de demeurer fortes et l'aristocratie authentique de toiser cette "noblesse de paille".
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[Le "coup de majesté", et les deux guerres mère-fils ! ]

[ En plein Conseil ], la reine mère, conte Nicolas Pasquier, se leva vivement, prit son fils ( 1 )par le bras et, le mettant à la porte, le pria d'aller s'ébattre ailleurs.
....
"J'aurai soin de vous comme ma mère." (2)

"Moi, Marie, par la grâce de Dieu, reine de France... faisons au roi notre seigneur et fils, devant Dieu et ses anges, les soumissions et promesses ci-après déclarées..." ( 3 )
....
Il fut convenu que la reine s'enfuirait par une fenêtre de son appartement. ( 4 )
...
On apprit bien tôt que Marie venait d'arriver à Angoulême avec une escorte de 200 gentilshommes très lestes.
....
Au château de Couzières, Marie et Louis tombèrent dans les bras l'un de l'autre.
...
Le traité d'Angoulême avait sensiblement amélioré la position de Marie ; il lui manquait pourtant l'essentiel, son retour au Conseil.
....
Toutefois, par respect pour sa mère, Louis ne voulu pas s'emparer d'Angers [ où elle s'était réfugiée ], et décida de porter ses efforts sur le passage des Ponts-de-Cé. ( 5 )


NDL :
1- en 1617, il a 16 ans, il est majeur depuis ses 13 ans, il est légitime qu'il assiste au Conseil !
2- après le coup de majesté ( 1617 ), Louis exile sa mère à Blois.
3- 1618
4- 1619
5- 1620
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Vidéo de Jean-Christian Petitfils
https://www.laprocure.com/product/1412535/petitfils-jean-christian-jesus
Jésus Jean-Christian Petitfils, Vincent Ravalec (illustrateur) Éditions Fayard
« J'en ai profité pour actualiser le livre [Jésus, 2011] avec les derniers travaux, notamment dans tout ce qui a été fait à Nazareth par l'archéologue Ken Dark – on a retrouvé, on en est à peu près certains, la maison de Marie et Joseph, là où Jésus a vécu, donc à Nazareth – et puis, donc, de l'ouvrir à un public différent, peut-être plus vaste, par ces illustrations. Alors ces illustrations, en effet, elles sont nombreuses. Elles accompagnent le texte et elles ont pour but d'immerger le lecteur dans le texte, et ça a été conçu de cette façon-là par Vincent Ravalec [Illustrateur] et son équipe, qui travaille avec une équipe et qui a utilisé les mécanismes de l'intelligence artificielle. Mais je dirais que c'est une intelligence artificielle contrôlée, très contrôlée… »
©Jean-Christian Petitfils, pour la librairie La Procure Animation, Guillaume Vanier, libraire à La Procure
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