Il est des lectures que je commence et dont je sais tout de suite que ce n'est pas mon style en raison par exemple d'une narration pesante et confuse. Mais bon, on essaye de s'accrocher pour lire jusqu'à la fin en espérant qu'un déclic aura lieu en cours de lecture. Ce ne fut pas le cas en l'espèce transformant mon parcours en véritable chemin de croix. C'est parfois une affaire de goût.
J'ai été attiré par le 11 septembre qui fait la couverture. Cependant, c'est une intrigue plutôt complexe qui va amener à cet événement tragique. Un récit plutôt sombre mais pas captivant en ce qui me concerne. On encouragera néanmoins ce jeune auteur autodidacte qui possède un trait assez caractéristique à continuer. C'est en effet une première oeuvre. Je n'ai pas aimé mais d'autres aimeront certainement ce récit dont le thème central est la déshumanisation du monde.
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Je n'ai pas trouvé grand intérêt à cette bande dessinée qui m'a paru bien embistrouillėe. le graphisme est un peu raide, genre viril ,en noir et blanc.
J'ai quand même appris le rôle de la Fondation Rockfeller qui ,durant la deuxième guerre mondiale répertoriait, protégeait et attirait aux USA les scientifiques et les intellectuel menacés par le nazisme .
Ça ne justifie pas de se relever la nuit
afin de lui décerner un prix, ni même des éloges ..Dommage, c'est pas tous les jours dimanche!
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Premier album d’un jeune auteur autodidacte, Un matin de septembre est un roman graphique aux ambitions littéraires - très réussi - qui parle de la déshumanisation du monde.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Le récit est prenant, Jérôme Pigney nous livre un roman où l’émotion est tout à la fois portée par le verbe et le dessin, chacun prenant sa part en une construction élégante et dramatique
Lire la critique sur le site : Sceneario
Il se rappelle de tout, de la forme d'un nuage le jour de ses 7 ans aussi bien que du nombre de rayures du costume de son grand père le jour de sa mort.Il a fait de sa vie une immense archive.
Lorsqu’on sépare le dogme de l’esprit, on risque tous les intégrismes, de l’Inquisition au terrorisme.
A New-York, le gigantisme des immeubles peut vous couvrir d'ombre toute une journée d'été.
De cette petite mélodie intime, pourtant si familière ; la voix de ma mère, il ne restait rien.