Ayant adoré
L'invisible, j'ai mis un peu de temps à me plonger dans
Les innocents. C'est confiante que j'ai commencé ma lecture de
Robert Pobi pour la seconde fois. Il m'a fallu plus de 80 pages pour rentrer dans l'histoire, ce qui paraît long sur ce type de roman. Sans compter le personnage d'
Hemingway, classiquement caricatural, comme dans tout bon thriller/polar.
Et puis la machine s'emballe, les choses se mettent en place rapidement et on se retrouve happé par l'intrigue jusqu'au dénouement final, trop rapide à mon goût, qui aurait mérité un développement plus complet, laissant le lecteur sur sa fin.
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