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Ce petit livre est un condensé de bonnes idées, je ne suis pas fan de fantasy mais Terry Pratchett est au-dessus de ça et cet humour anglais… j'adore !
Pour le moment c'est le meilleur roman de cet auteur que j'ai lu, il s'adresse aussi bien au jeune public qu'aux adultes. L'enfant rêvera de ce monde rempli de magie tandis que l'adulte verra les clins d'oeil fait à Shakespeare. C'était franchement très drôle, la figure de la sorcière dans ce roman est magique, sans mauvais jeu de mot, c'est fin et caricatural à la fois, l'auteur arrive à jouer avec les codes sans se prendre les pieds dedans. On ne s'ennuie pas en le lisant, pas une seconde sans une action barrée de la part des personnages. D'ailleurs, en parlant d'eux, ils sont tous touchant à leurs façons, drolatiques et crédible dans un univers aussi vaste que les Annales du Disque-Monde. A lire et à relire !
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Trois soeurcières signe le retour en fanfare de Mémé Ciredutemps (que j'avais adoré dans La huitième fille), cette fois accompagnée de deux de ses acolytes, Nounou Ogg, mère, grand-mère, arrière-grand-mère de nombreux rejetons, très portée sur la bouteille, et Magrat Goussedail, au physique particulier, très à cheval sur les traditions magiques malgré son jeune âge. Leur mission : sauver le royaume de Lancre des griffes d'un duc à moitié fou et de sa femme tout aussi siphonnée, rien que ça !

Après un cinquième tome que j'avais moins apprécié, je dois dire que je me suis régalée avec celui-ci, entre les références littéraires parodiées – Shakespeare bien sûr, mais pas seulement, je laisse le soin à chacun de découvrir les autres -, le trio de soeurcières qui passe son temps à ne pas être d'accord, et les descriptions/dialogues typiquement absurdes et/ou décalés de Pratchett (ma préférée de ce tome : » C'était un paysage d'une beauté descriptible » ). Qui plus est, la narration est bien plus rythmée, sans les longueurs que j'avais trouvé parfois gênantes dans Sourcellerie , l'histoire, bien qu'attendue, est efficace, et les nouveaux personnages présents sont dans l'ensemble bien drôles.

Ce fut donc un nouveau moment très sympathique de lecture avec ce sixième tome du Disque-Monde, prochainement le septième, Pyramides !
Lien : https://lartetletreblog.fr/2..
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Dans ce tome Terry Pratchett fait la part belle à 3 sorcières.. On y retrouve bien sur Mémé Ciredutemps avec 2 autres de ses compères , qui sont elles aussi très hautes en couleur.
Cet auteur est toujours aussi loufoque et drôle. Je dois reconnaître qu'il possède un énorme talent puisque à travers toute son excentricité il arrive a traiter d'autres sujets comme la quête du pouvoir (totalitarisme, taxe, impôt, oppression) et le théâtre.
J'aime aussi beaucoup ses clins d'oeil à d'autres oeuvres : Cendrillon, Blanche neige , Hansel et Gretel, Roméo et Juliette, le seigneur des anneaux... on croise aussi Laurel et Harry.. tout ceci fait de mains de maître puisqu'ils ne sont jamais évoqués nominativement.
Terry pratchett a un humour débordant : qui d'autre que lui aurait pu imaginer que la mort aurait le trac en montant sur scène !! (un exemple parmi d'autres)

Je ne peux donc que continuer mon voyage des annales du disque monde...
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Plonger dans cette nouvelle histoire fut un vrai plaisir. J'ai été ravie de retrouver le personnage de Mémé Ciredutemps, qui est toujours égale à elle-même. Son charme est intact tout comme son amabilité légendaire. A ses côtés, on découvre deux autres sorcières : Nounou et Magrat. La première était un personnage haut en couleur dont les moeurs ne sont pas forcément aux goûts de Mémé. Quant à la seconde, elle est pleine de rêves, pleine de projets que les deux autres ne manquent pas de gâcher à coups de petites phrases, de commentaires désobligeants même si de temps en temps, un compliment peut apparaître. (voire même disparaître!)

En compagnie de ce trio de choc, une tragédie se dévoile dans la plus pure tradition théâtrale. D'ailleurs, le Théâtre s'en prend plein la tête dans cette histoire où il est question de roi assassiné par un vil duc et dont l'enfant doit être protégé. Des répliques familières surgissent, font référence à d'autres oeuvres. Au final, cela fuse dans tous les sens dans ce tome. L'humour est là, il fonctionne parfaitement bien. Je l'ai même trouvé meilleur que dans les précédents livres. D'ailleurs, la Mort pointe le bout de son nez afin de nous offrir une apparition dont il a le secret !

Au final, ce sixième livre est une petite pépite dans l'univers des Annales du Disque-Monde. N'hésitez pas à y plonger à votre tour afin de faire un voyage dont vous vous souviendrez longtemps et sur lequel il ne faudra pas hésiter à revenir !
Lien : http://encore-un-chapitre.bl..
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Pratchett, « Trois Soeurcières », Pockett 288 pages
Je vous ai déjà parlé du plaisir que j'ai à lire Pratchett.

Cet auteur est un magicien, capable de créer un univers d'une richesse incroyable. Il est un Balzac mêlé de Tolkien. Il a récrit non une comédie humaine, mais une immense comédie magique, dans laquelle fées, sorcières, mages et humains se côtoient.

Chaque tome est l'occasion de pasticher un univers et tout y passe : Shakespeare, Hollywood, le foot, l'informatique… Nul besoin d'être un génie pour repérer Cohen le Barbare. Ou le « fantôme de l'opéra » dans « Masquarade ».

« Trois soeurcières » est le sixième roman du Disque-monde et on retrouve mes personnages favoris : Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg. Les deux sorcières en forment une troisième : la romantique Magrat Goussedail et toutes trois ont fort à faire pour venger l'assassinat du roi Vérence, tué par son cousin, et remettre son fils sur le trône. On reconnaît vite le pastiche de Macbeth.

C'est drôle à souhait, parfois impertinent. Très bien écrit. Magnifiquement imaginé et si, vous avez un coup de blues, n'hésitez pas à plonger dans Pratchett : il est parfait pour lutter contre toute morosité !
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Mémé Ciredutemps, Nounou Ogg et Magrat Goussedail forment un convent, une réunion de sorcières si vous préférez. La première est revêche, la deuxième est une bonne vivante dans tous les sens du terme et la troisième cherche à se faire une place entre les deux autres. Leur existence est pas mal secouée quand un serviteur du château leur confie le nourrisson et la couronne du roi Vérence, assassiné par Lord et Lady Kasqueth. Peu favorables à l'idée de se mêler du destin des autres, mais tout de même un peu inquiètes pour l'avenir de l'enfant, les sorcières se dépêchent de refiler le bébé et la babiole à une troupe de comédiens itinérants. « Mémé Ciredutemps désapprouvait que l'on regarde dans l'avenir, mais elle sentait maintenant l'avenir qui la regardait, elle. Et elle n'aimait pas son expression, à l'avenir. » (p. 23) Les nouveaux souverains sont loin de faire l'unanimité et une tempête terrible se prépare. Tous les animaux de la forêt le sentent et les fantômes du château ne se tiennent plus tranquilles. « Il y avait quelque chose, là, dehors, quelque chose qui absorbait la magie, quelque chose que glissait, qui avait l'air si vivant que ça cernait la maison. » (p. 74) de plus ou moins bon gré, Mémé Ciredutemps et ses acolytes doivent agir et rétablir le roi légitime.

Terry Pratchett s'en donne à coeur joie et prend ses aises avec les textes de Shakespeare et avec les histoires du petit peuple. Une grande partie du répertoire du dramaturge anglais passe à la moulinette de l'auteur de fantasy, pour ma plus grande hilarité. « Avec une soudaineté alarmante, rien ne se produisit. » (p. 73) Il faut dire qu'une sorcière qui peine à faire démarrer son balai et une autre qui abuse de la bibine, ça fout un coup à l'image du terrifiant trio magique qui hante la lande et le monarque assassin. Macbeth à la sauce Pratchett, c'est burlesque, non dénué d'une certaine tendresse et proprement jubilatoire. de l'auteur, j'ai déjà lu Roublard, hommage à Charles Dickens et la littérature victorienne. Je vais poursuivre ma découverte de cycle du Disque-Monde avec ces histoires de sorcières.
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Une des contes qui est aussi dans le recueil Les Sorcière du Disque-Monde... Cela ressemble beaucoup à Mac Beth... Un complot de meurtre sur un roi pour qu'un couple prenne le pouvoir... L'homme qui ne peux arriver à enlever le sang sur ces mains... Trois sorcières.... Seulement il y a quand même des différences, il y a une troupe de théâtre, une distorsion du temps, et un héritier qui est mis en sécurité... Et tout l'humour très particulier de Terry Pratchett qui oui décidemment n'écrit pas des livres pour enfants... Surtout les livres sur les sorcières qui parlent parfois de problème d'adulte... celui sur le Père Porcher et les deux premiers premiers volumes peuvent être plus lu par les enfants... Vraiment pour les amoureux de la Fantasy qui aiment l'humour....
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Retour dans les montagnes du Bélier où il est question de régicide, de chasse aux sorcières, de château hanté, de théâtre, d'héritier disparu et de fol romance (entendez par là que la romance s'abat sur le fou du roi mais elle est somme toute assez banale). Et comme toujours on se moque, on parodie et on joue avec les codes de la royauté et de la sorcellerie dans ce second opus du cycle des sorcières.
Pour moi Mémé fait indéniablement partie des personnages les plus attachants et loufoques du Disque-monde, mais quand en plus elle s'accointe d'une consoeur un peu alcolo et grivoise sur les bords et d'une jeunette candide mais aux idées bien arrêtées, alors là mes amis, c'est le trio gagnant !

L'intrigue est bien ficelée, les personnages sont décapants, comme toujours, et surtout le travail de traduction de Patrick Couton est toujours aussi extraordinaire et nous permet de savourer pleinement l'esprit désopilant et ingénieux de Sir Pratchett.
Bref encore de grands moments passés aux côtés de Mémé Ciredutemps ! Et combien de barres de rires en prime ? J'ai arrêté le décompte à la 76ème, je devais être à la page 12.
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Théâtre et sorcières.

Le roi de Lance est mort accidentellement en tombant sur sa dague, cela après avoir trébuché dans son escalier. A un autre endroit, trois sorcières essayent tant bien que mal de se réunir les nuits de pleine lune. A tout ces éléments s'ajoutent la venue d'une troupe de théâtre ambulante. Comment tout cela va t-il se terminer?

Et encore un tome des Annales du Disque-Monde de lu ! J'aime toujours autant. Ce tome s'attache à suivre les sorcières de Trou d'Ucques Mémé Ciredutemps, Nounou Ogg et Magrat Goussedail. Ce tome s'attache à parler non seulement de sorcellerie mais aussi de théâtre.
La première scène qui se déroule au théâtre est hilarante. Terry Pratchett s'attache à nous montrer dans ce tome le pouvoir des mots. Celui-ci surpasse la sorcellerie.

Il y a de nombreuses références à Shakespeare, j'ai identifié "La tempête", "Le songe d'une nuit d'été", "Roméo et Juliette" et bien évidemment "Macbeth". Je suis sûre qu'il y en avait d'autres mais je ne connais pas suffisamment Shakespeare pour les identifier. Un passage très drôle fait également référence aux contes de Charles Perrault.

Au final, un tome que j'ai lu avec grand plaisir. Mémé Ciredutemps est devenu mon deuxième personnage préféré du Disque-monde avec La Mort.
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Wyrd Sisters
Traduction : Patrick Couton

Tout le monde vous le dira, les volumes qui composent les fabuleuses « Annales du Disque-Monde » ne sont pas tous de valeur égale. Tout comme Zola n'est pas toujours au mieux de sa forme dans « le Rêve » ou « La Débâcle » par exemple, Terry Pratchett, lui, fait alterner le plus endiablé comme « La Huitième Fille » avec nettement moins inspiré et beaucoup plus ronronnant, comme «Sourcellerie, » ouvrage que je bâille déjà à résumer.

Mais, dans « Trois Soeurcières » (6ème opus), pas de doute : c'est au plus endiablé que nous avons affaire. Il faut dire que, dès le départ, page 9, puis page 12 très précises de l'édition de L'Atalante, l'auteur pose le décor d'une parodie du fameux trio des sorcières de Macbeth. Pour celles et ceux qui n'auraient jamais jeté un seul coup d'oeil sur le Disque-Monde, voici le ton :

Page 9 :

« le vent hurlait. La foudre lardait le pays comme un assassin maladroit. le tonnerre roulait en va-et-vient sur les collines sombres cinglées par la pluie.

La nuit était aussi noire que l'intimité d'un chat. Une de ces nuits peut-être où les dieux manipulent les hommes comme des pions sur l'échiquier du destin. Au coeur des éléments déchaînés, parmi les bouquets d'ajoncs dégoulinants, luisait un feu, telle la folie dans l'oeil d'une fouine. Il éclairait trois silhouettes voûtées. Tandis que bouillonnait le chaudron, une voix effrayante criailla :

-« Quand nous revoyons-nous, toutes les trois ? »

Une pause suivit.

Enfin, une autre voix, beaucoup plus naturelle, répondit :

- « Ben moi, j'peux mardi prochain. »(...) ..."

Page 12 :

« … (…) En de pareilles nuits, les sorcières sont de sortie.

« … Enfin, de sortie, d'accord, mais pas n'importe où, pas à l'étranger. Elles n'aiment pas ce qu'on y mange, on ne peut pas se fier à l'eau et les chamans monopolisent tout le temps les transats. Mais une pleine lune bataillait contre les nuages loqueteux, et les bourrasques pleines de murmures sentaient la magie à plein nez.

Dans leur clairière, au-dessus de la forêt, les sorcières tenaient la discussion suivante :

« Mardi, moi, je fais du babysitting» dit celle qui n'avait pas de chapeau mais une crinière de boucles blanches si épaisse qu'on aurait dit un casque. « Je garde le petit dernier de mon Jason. Vendredi, j'peux. Dépêche-toi avec le thé, mignonne. Je meurs de soif. ( …) … »

Vous en conviendrez avez moi : les sorcières qui se livrent au babysitting ne sont pas légion dans la littérature, encore moins dans le théâtre shakespearien.

Car c'est bien de Shakespeare que s'inspire directement l'intrigue de « Trois Soeurcières, » jugez-en.

L'infâme duc de Kasqueth, sorte de Macbeth falot que domine entièrement sa puissante et sadique épouse, lady Kasqueth (j'espère que vous admirez le jeu de mots, soit dit en passant ), assassine le vieux roi Vérence. Un serviteur dévoué parvient à sauver l'héritier ainsi que sa couronne – l'héritier est encore au berceau et la couronne est plutôt encombrante, les deux détails ont leur importance, vous le découvrirez par la suite – et, par un étrange hasard, les emmène sur la lande où notre trio de sorcières – Nounou Ogg, Magrat Goussedaille et l'ineffable Mémé Ciredutemps déjà croisée dans « La Huitième Fille » - déguste son thé nocturne.

Les hommes de main du duc, qui poursuivent le serviteur dévoué, abattent celui-ci (par derrière) en lui lançant un carreau d'arbalète - ce sont des infâmes, eux aussi ... Mais (je parie que vous ne l'auriez pas deviné tout seuls :angemoqu: ) le malheureux a eu le temps de confier et le bébé et sa couronne à Mémé Ciredutemps. Inutile de vous préciser que celle-ci n'est pas du genre à s'en laisser imposer par quelques malfrats, eh ! eh ! ... Nyarknyarknyark

Bref, de fil en aiguille, Mémé Ciredutemps et ses consoeurs en arrivent à confier l'enfant à une sympathique troupe d'histrions ambulants – le hasard faisant bien les choses chez Pratchett, il se trouve que le Directeur de la troupe et sa femme ont perdu toute jeune leur petite fille et ne demandent qu'à accueillir ce bébé qui leur tombe du ciel. Quant à la couronne, elle disparaît pour un temps considérable tout au fond des malles d'accessoires des comédiens.

Pendant ce temps-là, le duc de Kasqueth se montre particulièrement ignoble envers le peuple du royaume. Visiblement, ni lui, ni sa femme ne sont faits pour cette dure mais si digne fonction que constitue la Royauté - le duc s'ennuie d'ailleurs terriblement mais n'ose l'avouer à sa maritorne d'épouse, laquelle tient assez de la Reine de Coeur d'"Alice". Aussi le Mécontentement sourd-il tant à droite qu'à gauche.

Tant et si mal que nos trois sorcières vont se voir peu à peu acculées à un tour de passe-passe très spécial : faire avancer le royaume de quinze ans en avant afin de permettre à l'Héritier de reconquérir son trône – avec leur aide, bien entendu.

C'est d'ailleurs en cette occasion qu'il nous sera donné d'assister à ce spectacle unique qu'est le ravitaillement EN PLEIN VOL d'un balai de sorcière. Mr. Green

Je vous passe les détails, croustillants (Nounou Ogg est très portée sur les plaisirs charnels , par exemple, plaisirs que Mémé Ciredutemps, elle, par contre, réprouve hautement ), éthyliques (Nounou Ogg, toujours elle, aime aussi à boire autre chose que du thé), sanglants (par une étrange aberration, le duc et la duchesse de Kasqueth sont persuadés qu'ils peuvent torturer une sorcière en toute impunité ), romantiques (Magrat Goussedaille, la plus "fleur bleue" et la plus jeune du trio infernal, tombe amoureuse du Bouffon du Roi ), mélodramatiques à la Eugène Sue ou à la Paul Féval (l'Héritier n'est pas vraiment celui qu'on croit et, en fait, le véritable Héritier, c'est … ), parodiques (Pratchett emprunte joyeusement non seulement au "Macbeth" du Grand Will mais aussi à son très existentiel « Hamlet »), cocasses (le style de l'auteur dans son ensemble), etc, etc …

En bref, un conseil : laissez tomber votre ordinateur et courez vous acheter « Trois Soeurcières » ou encore "La Huitième Fille". Leur gaieté et leur désinvolture devraient vous faire passer un excellent quart-d'heure. Même les fanatiques de « Fantasy » pure et dure y trouvent leur compte – n'est-ce pas tout dire ? ;o)
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