Les Celtiques, un de ces albums de
Hugo Pratt qui se lit, se relit et offre toujours quelque chose de nouveau. Onirique, énigmatique, on y découvre toujours un autre angle, un autre sous-entendu, une autre interprétation…
La forme de la nouvelle en BD semble être celle qui convient le mieux à
Hugo Pratt. Ce recueil en contient six, chacune de 20 pages, pas plus. Assez pour évoquer des instants, développer des petits drames, tout en laissant une grande part de mystère et de non-dit.
Ces histoires au fort goût de sel et de rêve, ouvertement antimilitaristes, forment l'un de mes livres préférés de
Corto Maltese, et je ne boude pas mon plaisir, encore et encore !
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