Laehb80 et moi-même continuons nos lectures communes de Preston & Child mais nous avons abandonné les aventures de Pendergast qui nous avaient grandement déçues sur les 2 derniers volumes !
Ce thriller date de 1996 et c'est avec plaisir que j'ai retrouvé ce qui m'a fait apprécier leurs romans. L'intrigue se passe dans un laboratoire scientifique qui travaille sur la génétique et a créé un virus qui pourrait faire disparaître la civilisation si... Les scientifiques y sont employés 6 mois, la pression de travail est énorme et les conditions de sécurité drastiques !
La tension monte petit à petit, au fur et à mesure que des choses étranges se développent ! Elle arrive à son paroxysme dans le désert et toutes les fins possibles sont envisageables !
Toutes les parties scientifiques sont compréhensibles pour quelqu'un qui ne l'est pas du tout ! Elles tissent admirablement une trame qu'on pourrait presque dire diabolique !
Beaucoup de descriptions du désert du Nouveau-Mexique donnent encore plus de poids au danger et à l'isolement ! Les personnages sont bien construits qu'ils soient attachants ou détestables et c'est une bonne partie du plaisir de lecture !
Un bon moment qui rachète l'énervement ressenti avec Pendergast et Constance !
Challenge Mauvais Genre 2022
Challenge Pavés 2022
Lecture Thématique Polar juin 2022 : Couvertures sombres
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Ce livre met en scène des généticiens travaillant pour GeneDyne et bidouillant un virus de la grippe extrêmement virulent. Face à eux, un prof, lobbyiste et pourfendeur acharné des apprentis-sorciers dont il pense qu'ils peuvent déclencher un cataclysme génétique en lançant une épidémie mondiale contre laquelle aucun vaccin n'existe. Evidemment, pour la bonne marche du livre, le prof d'unif et le patron de GeneDyne ont été associés avant de se brouiller définitivement. Et au sein de l'équipe qui travaille sur le Grip-X, un ancien élève de ce prof, qui commence à avoir quelques états d'âme. Et qui va finir par se rendre compte que son assistante est une bombe. Ajoutons que ce généticien possède du sang ute, que l'assistante descend des premiers colons espagnols, qu'un trésor est caché quelque part dans le désert qui entoure le labo perdu au milieu d'un ancien site d'essai nucléaire, que l'informaticien revanchard est un enfant thalidomide ... et on a un bon paquet de clichés. Preston et Child ne nous en épargnent aucun. Et ils ne les mènent pas toujours jusqu'au bout.
Personnellement, je préfère les romans (je n'en ai lus que quelques uns) mettant en scène Pendergast, cet agent du FBI atypique et original qui possède un goût pour le mélodrame, la mise en scène et l'ésotérisme. Mais je peux reconnaître que Preston et Child possèdent un talent évident: dès la première page, même si vous savez pertinemment que rien d'original ne sortira du roman, vous êtes poussé à tourner la page pour le vérifier. Et ainsi de suite tout au long des 576 pages. C'est bluffant car les auteurs ne renoncent à aucune ficelle, à aucun cliché, à aucun rebondissement téléphoné et visible comme le nez au ilieu de la figure.
Le roman date d'une vingtaine d'années. Il a particulièrement vieilli. Ce n'est ni bien ni mal, c'est une constatation. le génie génétique ne fait plus trop peur (et pourtant...) ni rêver (et pourtant... bis). Idem pour la longue séquence (particulièrement ennuyeuse à mon avis) où un des personnages se balade dans un univers virtuel. Cela m'a surtout fait penser à TRON et là ce n'est pas un compliment. Au final, on a une lecture de plage tout à fait décente, mais qui ne révolutionne absolument rien. Cela se laisse lire. Rapidement de préférence, afin de ne pas trop s'attarder sur les longueurs, incohérences et autres approximations.
Sous peu, ce livre retrouvera sa place là où je l'ai pris, dans une boîte à livres. Il pourra ainsi continuer son job de lecture d'été.
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Que dire sur ce livre? Déjà que ce fut une véritable découverte. En l'ouvrant, je ne m'attendais pas à grand chose de sa part. D'ailleurs, je ne sais même plus comment il est apparu dans ma PAL. Alors imaginez ma surprise en découvrant une écriture fluide, agréable et envoutante? D'une histoire captivante et prenante? Surtout que le roman est rempli de terme scientifique assez souvent compliquer. Mais contrairement à mes craintes, ils n'entravent en rien la fluidité de la lecture.
Parlons du livre. Dès le début on est mis dans le bain, nous présentant une scène qui fait que nous nous posons une tonne de questions. Qu'est-ce qui à rendu cet homme comme ça? Et quel rôle a t-il à jouer dans l'histoire? On le découvrira par compte goutte tout le long du livre. Donc il faudra faire preuve de patience. le petit plus c'est qu'on est pas noyer sous les descriptions des manipulations. Certes on en a, mais juste ce qu'il faut pour qu'on reste dans le thème principal.
La narration elle, est faite à la troisième personnes, ce qui ne gène pas pour s'attacher au personnage. Les auteurs on fait en sorte qu'on ai connaissance de leurs pensée et état de conscience à chaque instant. de plus on suit l'histoire, à tour de rôle, par les yeux des personnages les plus important de l'histoire. Même si on est principalement avec Carson. C'est un personnage très intéressant qu'on voit évolué tout le long de l'histoire.
D'ailleurs parlons personnages. Pour commencer, ils sont tous bien travailler et mis en avant. Nous nous retrouvons à intervalle régulière en compagnie de cinq ou six personnages différent. Ce qui fait qu'on comprend mieux leurs motivations et leurs réaction et surtout, leurs rôles dans l'histoire. Et je dois dire que le personnage de Carson est celui que j'ai le plus aimée. Levine et Scope sont ceux que j'ai le moins aimée. Nye et celui que j'ai eu le plus de mal à cerner. le mime lui, est celui qui m'a le plus intriguée. J'aurais aimée en savoir plus sur ces motivations.
Pour ce qui est de l'histoire, on a pas le temps de s'ennuyer, loin de la. Il y a toujours un petit truc qui nous donne envie d'en savoir plus, qui nous tien en haleine tout le long des pages. Entre les recherches scientifique, les enquêtes en parallèle et les courses poursuites, rien de tel pour être captivé du début à la fin. de plus les auteurs nous donne toute les informations au compte goutte, semant par-ci par-la des informations qui nous semble par forcément utile au premier abord, mais qui mis bout à bout on toute leurs importance. Surtout qu'on ne saisis pas tout de suite le rapport entre la recherche précédente et celle de la grippe, sur laquelle les personnages travaille.
Que dire de plus...Ah oui, le roman est couper en trois parties. (La première fait 174 pages et la deuxième ce termine à la page 370. Pour la dernière ben, à la fin du livre quoi.) Ce qui fait qu'il y a aucun chapitre. Oui aucun. Dans ce roman on peu pas ce dire, "allez un petit chapitre et j'arrête". On ce trouve soit un point en bas de page soit une fin de paragraphe. D'ailleurs je vous prévient que les changement de lieu et personnage peuvent être brutale par moment et pour certain. Car elle ce font à chaque saut de ligne. Enfin j'espère que vous me comprenez. Ah et point important, il y a plusieurs scène assez gore. Et quand je dis gore, les auteurs ne lésine pas dans les descriptions.
En conclusion : Une véritable surprise, pas loin d'un coup de coeur. Une lecture agréable et passionnante. Des personnages travaillé et intéressant. Une écriture fluide, agréable et envoutante. Une histoire captivante et prenante. Un suspense tenue du début à la fin jusqu'au dénouement final. Une petite romance et plusieurs scène assez gore. En tout cas je le conseille fortement a tout mordu de thriller. Vous passerez forcement un agréable moment.
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— Vous voulez que j’entre avec vous? demanda-t-il, hésitant.
— Non, non. Je vous appellerai s’il s’agite, répondit-il.
L’homme était couché sur un chariot, bras le long du corps, jambes tendues. De la porte, Fossey ne distinguait de ses traits qu’un nez proéminent et l’arrondi d’un menton sali d’une barbe de deux jours. Le médecin referma doucement la porte et s’avança lentement, peu accoutumé à la façon dont le sol capitonné s’enfonçait sous ses pas. Sous les épaisses sangles de toile entrecroisées comme des cartouchières, la poitrine du patient se soulevait à un rythme lent et régulier. Ses chevilles étaient enserr ées dans des bracelets de cuir.
Fossey prit sur lui, se racla la gorge et attendit une réaction. Il fit un pas en avant, puis un autre, se livrant à un petit calcul mental. Cela faisait quatorze heures qu’il avait quitté l’hôpital d’Albuquerque. L’Haldol ne devait plus faire effet.
— Bonjour, monsieur…
Fossey chercha le nom du patient dans son dossier.
— Docteur Franklin Burt, se présenta l’homme d’une voix calme. Vous me pardonnerez de ne pas me lever pour vous serrer la main, mais comme vous le voyez…
Il laissa sa phrase en suspens.
Interloqué, Fossey dévisagea son interlocuteur. Dr Franklin Burt. Ce nom était loin de lui être inconnu.
Il tourna la première page du dossier médical. Effectivement: Docteur Franklin Burt, doctorat de biologie moléculaire, diplômé de la Johns Hopkins Medical School. Chercheur au laboratoire GeneDyne. Dans la marge, quelqu’un avait tracé plusieurs points d’interrogation à côté de sa fonction.
— Docteur Burt? dit Fossey, incrédule.
Un éclair de surprise traversa les yeux gris du patient.
— On se connaît?
C’était bien son visage – un peu plus vieux, certes, et plus hâlé que dans son souvenir, mais étonnamment épargn é par le temps. Il avait une compresse de gaze sur une tempe, et ses yeux étaient injectés de sang.
Fossey était secoué. En un sens, sa carrière avait été influencée par l’admiration qu’il portait à ce professeur charismatique et spirituel. Comment était-il possible qu’il se retrouve ainsi attaché dans cette cellule capitonnée?
— Je suis Lloyd Fossey, docteur, lui dit-il. Après l’une de vos conférences à l’école de médecine de Yale, nous avions parlé un moment des hormones synthétiques…
Fossey regarda intensément l’homme allongé sur le chariot, désireux qu’il se souvienne.
Quelques secondes s’écoulèrent. Burt soupira puis acquiesça imperceptiblement.
— Oui, dit-il. Pardonnez-moi. Je me rappelle, maintenant. Vous n’étiez pas d’accord avec moi sur le lien entre l’érythroprotéine synthétique et la métastatisation.
Fossey se détendit.
— Je suis flatté que vous vous en souveniez si bien, dit-il.
Burt parut hésiter, réfléchir.
— Je suis heureux de voir que vous pratiquez, finit-il par dire.
Ses lèvres frémirent, comme si cette situation embarrassante l’amusait plutôt.
Maintenant, Fossey mourait d’envie d’ouvrir le dossier qu’il avait entre les mains, de lire les conclusions des examens, de comprendre. Il sentit le regard de Burt sur lui et sut que son aîné avait deviné ses pensées.
Il jeta un coup d’œil sur les lignes dactylographiées figurant sur la feuille de température, puis il releva rapidement les yeux, non sans avoir eu le temps de lire les mots « psychose fulminante »… « extrême paranoïa »… « mis sous neuroleptiques ».
Un peu gêné, Fossey tendit la main et prit le pouls de Burt sous la sangle qui entourait son poignet.
Burt cligna des yeux, s’humecta les lèvres et poussa un profond soupir.
— J’avais quitté Albuquerque et je roulais vers le nord, dit-il. Vous savez où je travaille, maintenant.
Fossey fit oui de la tête. Burt avait rallié l’industrie privée et cessé de publier. Dans le secteur public, on avait, comme d’habitude, parlé de « fuite des cerveaux ».
— Nous faisons des expériences tendant à modifier les schémas comportementaux des chimpanzés, dit-il. On travaille à petite échelle, voyez-vous. Avec les moyens du bord. J’ai pris du matériel de laboratoire et quelques composés appartenant au GeneDyne d’Albuquerque, dont un agent d’essai que nous avions mis au point, un dérivé synthétique de la phencyclidine, en suspension dans un médium gazeux.
Fossey acquiesça encore. PCP à l’état gazeux. « Poussière d’ange » aux mêmes effets que le gaz hilarant. Étrange utilisation des crédits affectés à la recherche.
Burt, qui observait Fossey, sourit. Ou grimaça, peut-être. Fossey n’aurait su dire.
— Nous faisions des essais comparatifs des taux d’inspiration par le tissu pulmonaire et par les capillaires. Bref, je rentrais. J’étais crevé et je ne faisais pas trop attention à la route, si bien que je me suis retrouvé dans le fossé après Los Lunas. Rien de grave, si ce n’est le vase à bec qui s’est cassé dans l’accident.
Fossey hocha la tête. Cela expliquait tout. La « poussière d’ange », même bas de gamme, favorisait, à forte dose, un comportement dément et stimulait l’agressivité. Cela expliquait aussi les yeux injectés.
Le silence s’installa entre eux. Pupilles normales, non dilatées, remarqua Fossey. Claires. Tachycardie résiduelle, mais Fossey se dit que si lui-même était attaché dans une cellule capitonnée il y aurait de fortes chances que son rythme cardiaque s’emballe. Aucun signe de psychose maniaco-dépressive.
— Je ne me rappelle pas trop ce qui s’est passé ensuite, reprit Burt, l’épuisement se lisant sur son visage pour la première fois depuis le début de l’entretien. Je n’avais pas de pièce d’identité sur moi, à part mon permis de conduire. Amiko, mon épouse, est à Venice chez sa sœur. Je n’ai pas d’autre famille. Ils m’ont administr é une médication très forte. Je suppose que je n’étais pas très lucide.
Fossey ne fut pas étonné. Un inconnu, assommé lors d’un accident de la route, hirsute, agressif peut-être, prétendant être un important chercheur en biologie moléculaire : quel service d’urgence surchargé de travail y croirait? Il était plus simple de le faire transférer en psychiatrie. Fossey pinça les lèvres, hocha la tête. Quels imbéciles!
— Une chance que je sois tombé sur vous, Lloyd, dit Burt. Quel cauchemar, je ne vous dis que ça. Où suis-je, d’ailleurs ?
— À Featherwood Park, docteur Burt, lui répondit-il.
— C’est bien ce que je pensais. Je compte sur vous pour éclaircir cette situation. Vous pouvez téléphoner chez GeneDyne, si vous voulez. Je devrais déjà y être, ils doivent se demander où j’ai bien pu passer.
— Nous allons le faire au plus vite, je vous le promets, docteur Burt.
— Je vous remercie, Lloyd, dit Burt, en grimaçant légèrement.
Pas de doute possible, cette fois.
— Quelque chose ne va pas? lui demanda Fossey.
— Ce sont mes épaules, dit Burt. Ce n’est rien, ne vous en faites pas. Elles sont un peu endolories à force d’être clouées à ce chariot.
L’hésitation de Fossey fut de courte durée. L’effet du PCP s’était dissipé, de même que celui de l’Haldol. De plus, Burt continuait à poser sur lui un regard serein, dénué de l’agitation intérieure perceptible chez les simulateurs.
— Je vais retirer vos liens thoraciques, pour que vous puissiez vous asseoir, lui dit-il.
Burt sourit, soulagé.
— Merci beaucoup. Je n’osais pas vous le demander. Je connais le règlement.
— Excusez-moi de ne pas l’avoir fait tout de suite, docteur Burt, dit Fossey, qui se pencha pour tirer sur la sangle.
Quelques coups de téléphone suffiraient à dissiper ce malentendu. Ensuite, il sonnerait les cloches au médecin des urgences de l’hôpital d’Albuquerque. La courroie était très serrée. Fossey envisagea d’appeler Will pour qu’il l’aide puis se ravisa. Will était très à cheval sur le règlement.
— Ah, c’est beaucoup mieux, dit Burt, se redressant et se massant les épaules. Vous n’imaginez pas ce que c’est que de rester allongé pendant des heures sans bouger. J’ai dû le faire une fois, pendant dix heures, après une angioplastie, il y a deux ou trois ans. L’enfer!
Il remua les jambes, toujours entravées.
— Vous allez devoir subir quelques examens avant de sortir, docteur, dit Fossey. Je vais demander au psychiatre de garde de descendre tout de suite. À moins que vous ne préfériez vous reposer un peu avant?
— Non, non, dit Burt, levant une main et se massant la nuque. Maintenant, c’est parfait. Quand nous serons rentrés sur la côte est, il faudra que vous veniez dîner à la maison un de ces soirs. Je vous présenterai ma femme.
Sa main glissa de sa nuque à sa joue.
À côté du chariot, Fossey, qui notait une remarque dans le dossier, entendit un bruit bizarre, un peu comme le frottement d’une allumette sur un grattoir. Il se retourna et vit que Burt retirait la compresse de sa tempe.
— Vous avez dû vous faire cette blessure lors de l’accident, dit-il, et il referma vivement le dossier médical. On va vous changer ce pansement tout de suite.
— Pauvre alpha, murmura Burt, regardant intensément le pansement poissé de sang.
— Pardon? demanda Fossey.
Il s’avança pour examiner la blessure.
Franklin Burt, rapide comme l’éclair, se propulsa vers Fossey, lui flanqua un coup de tête dans le menton et se laissa retomber lourdement sur le chariot. Fossey, sonné, recula, tandis que sa bouche s’emplissait d’un liquide chaud.
— Pauvre alpha ! hurla Burt, tentant de défaire les sangles qui lui maintenaient les chevilles. Pau-vre al-pha !
Fossey tomba par terre et glissa à reculons, appelant Will, son gargouillis noyé sous la vague des hurlements de Burt. Quand Will fit irruption dans la cellule, Burt donna un autre coup de reins qui renversa le chariot et lui avec. Il gigotait comme un beau diable, grinçant des dents, essayant toujours de se libérer les chevilles des sangles qui les maintenaient au chariot renversé.
Tout s’enchaîna très vite alors, même si Fossey eut l’impression d’assister à une scène au ralenti : Will et l’aide-soignant unissaient leurs forces pour maîtriser Burt et redresser le chariot
- Mais ne disiez-vous pas à l'instant que modifier, même très peu, un gène pouvait avoir des conséquences inattendues ?
Carson se leva, agacé.
-Oui, bien sûr ! D'où l'utilité des essais à plusieurs phases pour repérer les éventuels effets indésirables. Cette thérapie génique devra être soumise à tout une gamme d'essais de contrôles, qui coûteront des millions à GeneDyne.
- Des essais sur l'homme ?
- Bien sûr. On commence par des essais in vitro, puis sur des animaux. Ensuite c'est la phase alpha, avec tests in vivo sur un petit groupe de volontaires sur place ; puis la phase bêta, sur un groupe plus large de patients suivis par GeneDyne. Toutes les mesures de précaution sont prises, avec un soin exceptionnel.
Teece opina du bonnet.
- Vous me pardonnerez d'insister, Docteur Carson, mais, dans le cas où surgiraient des "effets indésirables inattendus", ne les transmettriez-vous pas à la race humaine puisque vous auriez introduit le gène dans les cellules germinales de quelques patients ? Créant ainsi, peut-être, une nouvelle maladie génétique ? Ou bien une race de gens différents du reste de l'humanité ?
Tombes oubliées - Preston Douglas & Child Lincoln
#PrestonAndChild #TombesOubliées #NoraKelly
« Preston & Child renouent avec la veine de leurs premiers romans, Relic et le Grenier des enfers. » Publishers Weekly
Nora Kelly, de l'Institut archeologique de Santa Fe, est approchee par l'historien Clive Benton pour localiser le Campement perdu de l'expedition Donner, introuvable depuis 1847, afin d'y effectuer des recherches historiques… et mettre la main sur un tresor.
Benton a en effet trouve le journal d'une victime de l'expedition, au cours de laquelle des pionniers, coinces par une tempete de neige dans la Sierra Nevada, n'ont eu d'autre choix que de s'entredevorer pour survivre…
Mais, outre de vieux ossements et quelques pieces d'or, ce qu'ils vont decouvrir va faire grimper la temperature de plusieurs degres. D'autant que la jeune agente du FBI Corrie Swanson, qui a rejoint Nora et son equipe, leur apprend que les fouilles en cours ont un lien avec des exactions commises de nos jours…
Dans le premier volet de cette nouvelle serie, Preston & Child braquent le projecteur sur deux femmes, deja croisees dans certaines des enquetes de l'inspecteur Pendergast, du FBI, leur personnage fetiche.
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Depuis Relic (1995), Preston & Child forment le duo le plus repute dans l'univers du suspense. Ensemble, ils ont signe une trentaine de romans, dont 19 mettent en scene l'inspecteur Aloysius Pendergast, du FBI, le Sherlock Holmes des temps modernes. En langue francaise, leurs romans, tous parus aux editions de l'Archipel, dont le dernier Riviere maudite, se sont vendus a plus de 1,5 million d'exemplaires.
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