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EAN : 9782709650151
272 pages
J.-C. Lattès (01/03/2017)
2.87/5   41 notes
Résumé :
Pour Justine Trévise, c'est sans cesse la course dans un Paris qu'elle ne reconnaît plus. Son entreprise prend l'eau, le célibat lui pèse? Heureusement qu'elle peut compter sur le soutien de meilleures amies, toutes divorcées comme elle. Ses seuls moments de répit, elle les trouve à Nanteuil, le village de son enfance, où elle passe de longs week-ends avec sa fille.C'est durant l'un de ces pèlerinages que Justine trouve une rose fraîche sur la tombe de son père. Qui... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Je ne suis pas contre une lecture un peu plus légère de temps en temps... mais j'apprécie que la légèreté ne prenne pas le pas sur un peu de fond. Je précise que je donne ici un avis de lectrice pas très portée ni habituée de la littérature "feel good" comme on l'appelle et que certaines seront beaucoup plus sensibles au genre. Disons que ce livre ne m'a pas convertie...
Les tribulations de Justine ressemblent sans doute à celles de pas mal de jeunes femmes actives, qui jonglent entre un travail prenant mais peu porteur de sens, une responsabilité de parent divorcé ou séparé, une certaine solitude et l'envie d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte. Alors c'est sûr, le monde serait beaucoup plus facile si toutes les femmes étaient "ravissantes", si votre meilleure copine vous dégottait pile poil le job de vos rêves alors que la commune où vous vous installez explose les statistiques du chômage, si les princes charmants se rencontraient au détour d'une visite d'appartement... Tout ceci est un peu trop beau et trop facile pour être vrai ; et pire, cela entretient une sorte de fantasme qui pourrait s'avérer dévastateur une fois que la lectrice retombe dans la réalité qui fait son quotidien.
Mais je comprends que l'on puisse avoir envie de s'évader avec ce genre d'histoire. Personnellement, il m'en faut plus.
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Laissez courir !
La Solitude des Femmes qui Courent est-elle vraiment supérieure à celle de l'homme immobile, juré du prix des lecteurs du Livre de Poche ? Je sais bien que soixante-dix pour cent des lecteurs sont des lectrices et que le « feel good » se vend bien. Reste à savoir s'il se lit aussi bien et si la belle-mère, à qui on l'a offert, en garde un souvenir impérissable et une éternelle reconnaissance. Dans le cas précis qui vient de m'occuper, j'ai beaucoup de mal à comprendre comment une lectrice pourrait se sentir mieux en lisant ce livre. Scénario convenu et stéréotypé, dialogues invraisemblables, platitude de l'écriture, je crains même l'effet inverse. Il y a bien mieux à lire, même sur la plage !
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Fini de lire « La solitude des femmes qui courent » de Julie Printzac. Si au début du roman, je me sentais très concernée et empathique, avec la description du monde de travail fait par l'héroïne, au fil de la lecture, le roman est devenu de style feel good très éloigné de la vie réelle. La romance issue des diverses situations, tournant toujours à l'avantage des protagonistes, m'a semblé très loin de ce que peuvent vivre quotidiennement les gens. Ainsi Justine, trentenaire en souffrance dans le monde du travail, se sentant exploitée et incomprise, va décider une tentative de retour aux sources. Ainsi elle se met en quête de chercher dans son village d'enfance maison et travail. Lors de sa visite au cimetière où est enterré son père, mort très jeune dans un accident de voiture, elle constate que sur la tombe se trouve une rose rouge. Régulièrement, lorsqu'elle se rend au cimetière, elle voit une rose rouge fraîche sur la tombe. Elle se demande qui est la mystérieuse visiteuse et commence une enquête à ce sujet. Qui va l'éclairer sur le passé douloureux de sa famille. Globalement, j'ai bien aimé mais était un peu déçue par cet aspect de monde de bisounours.


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Un livre léger, facile, stéréotypé, « feel good » qui se termine bien forcément. Beaucoup de questions abordées, pas toujours de réponses plausibles.

Les femmes qui courent, ce sont les mères célibataires qui doivent jongler entre un travail prenant ou pas, un enfant à éduquer seule ou presque et une vie affective proche du zéro absolu. Reste la meilleure copine qui va tout résoudre…

UN bémol de taille : la meilleure copine a 3 enfants et demande fréquemment à l'aîné (10 ans) de s'occuper de ses 2 soeurs quand elle va faire des courses ou autres. Et elle est surprise que son fils explose un jour : « J'en ai marre de devoir surveiller les filles, et moi, qui s'occupe de moi ? (…) Et moi ? J'ai pas le droit de faire ce qui me plaît pour les vacances ? – le visage de Delphine se décompose, ses yeux se remplissent de larmes. – Tim, mon chéri, je ne savais pas… »

Une belle histoire d'espoir ? Chacun jugera… Un agréable moment néanmoins.
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Je ne me suis malheureusement pas identifiée aux héroïnes de ce roman. Malgré des thèmes profonds et émouvants des mères célibataires, des mères qui travaillent, du deuil, de l'amitié, de la vie en général, je n'ai pas trouvé de connexion émotionnelle avec cette histoire assez banale. C'est néanmoins une lecture feel good qui peut répondre à des questions importantes... mais l'écriture est trop légère et l'émotion introuvable.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
- Finalement, je ne sais pas si je suis faite pour vivre avec quelqu'un. Avant, on se faisait des soirées romantiques, maintenant on se fait des soirées télé, et en plus c'est lui qui tient la télécommande.
- Et il zappe tout le temps ?
- Comment tu as deviné ?
- Tu as déjà vu un homme regarder la télé sans zapper ? Il n'y a que pendant les matches de foot qu'ils s'arrêtent d'appuyer comme des malades sur les boutons pour changer de chaîne !
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ces filles ont tout compris. Alors que nous avons donné notre vie pour notre travail, sans jamais compter nos heures ni protesté contre nos salaires minables, supportant stoïquement le manque de reconnaissance de nos patrons, ces filles qui aujourd'hui débarquent dans la vie active, avec dix ans de moins que nous et aucune expérience, savent se vendre, négocient de bien meilleurs salaires et prennent le temps de vivre. Aucune ne se fait exploiter par un boss tyrannique, non, cela est notre lot. Les nouvelles générations n'ont qu'une devise : profiter de la vie et de tout ce qu'elle offre.
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