Un de mes premiers gros bouquins. J'avais aux alentours de 14 ans. L'histoire m'échappe, mais je me souviens des émotions ressenties. J'avais adoré ! Peut-être lui trouverais-je plein de clichés aujourd'hui, mais ça fait partie des oeuvres qui ont façonné ma passion pour la lecture. Alors, tout mon respect et merci !
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Comme la plupart des autres personnes ayant laissé un commentaire, c'est un roman que j'ai lu à sa sortie quand j'avais 13-14 ans. Il traînait dans la chambre de ma mère et je le lui avait piqué parce qu'à un âge on ne connaît rien ou presque de l'amour c'est le genre de roman qui intrigue et fait rêver.
Il y a quelques jours je ne sais pas pourquoi cette histoire m'est revenue en tête et j'ai du googler un résumé avec les vagues souvenirs que j'en avais pour retrouver le titre du livre.
Deux décennies plus tard, ce n'est pas une lecture qui me tenterait. Je ne suis plus aussi fleur bleue et il y a longtemps que les romances ne sont plus trop ma tasse de thé.
Je préfère donc garder mes souvenirs de pré-ado intacts.
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J'ai lu ce livre il y a déjà un moment, un peu avant mes seize ans ! Je pense que cela fait partie des raisons pour lesquelles je l'ai vraiment apprécié. On est romanesque et on apprécie également la projection vingt ans plus tard quand les enfants éprouvent des sentiments qui leur sont interdits alors qu'ils l'ignorent. On ne s'ennuie pas et l'écriture est fluide
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Lu il y a plus de vingt ans, j'avais bien aimé ce joli roman irlandais.
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Rose regarda d’un air rêveur deux des chiens, un dalmatien et un bâtard, croisement d’un boxer et d’un labrador, se pourchasser et lutter pour s’emparer d’une balle en caoutchouc crevée. La vigueur des bêtes en pleine action servait de contrepoint à l’immobilité silencieuse qui régnait tout autour et qui, avec la chaleur sur son visage, provoquait en elle une délicieuse impression de langueur
L’argent, ou le manque d’argent, tendait à devenir le seul sujet de conversation à Sundarbans ces jours-ci, mais Rose avait compris il y a bien longtemps que, quel que soit le degré de pauvreté qui guettait sa famille, il s’agirait toujours d’une pauvreté relative qui, en tout état de cause, ne menacerait guère ses choix dans la vie.
Que me réserve cet été ? J’aimerais bien le savoir. Et si je le rencontrais ? Je me demande qui cela pourrait bien être... Sûrement pas quelqu’un de Drum-boola, en tout cas. Dire que j’ai bientôt seize ans et que personne ne m’a jamais vraiment embrassée. Et si c’était pour cette année ! ! !
Les filles étaient un mystère pour lui.Petits, ils avaient fréquenté une école mixte, ce qui, à l’époque, était assez rare. Se retrouver assis dans la rangée des filles était considéré comme une punition, humiliante mais efficace.
C’est vrai qu’on se ressemble, mais nous ne sommes pas identiques.