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4,04

sur 901 notes
Que j'aime cette famille... Je sais que la chronique de Bridgerton est avant tout une romance, mais sans cette famille, je n'apprécierais pas autant mes lectures, j'en suis certaine. Leur bienveillance et l'amour qu'il y a entre eux donne vraiment aux différentes histoires une autre dimension. Et je me dis que beaucoup de choses se passeraient différemment si nous connaissions tous ce lien si particulier. Les Bridgerton sont loin d'être des gens parfaits, merci à Julia Quinn d'avoir aussi donné cet aspect à ses personnages, et après tout qui voudrait de la perfection !

Alors que j'avais adoré le tome deux, consacré à Anthony, j'ai attendu plusieurs mois avant de replonger dans la saga. Et bien m'en a pris, parce que tout comme son aîné, Benedict a su me charmer tout comme Sophie. J'avoue qu'en sachant que l'on va suivre les huit frères et soeurs, j'avais un peu peur d'une certaine redondance dans les romances. Et jusqu'à présent, il n'en est rien. Il y a toujours ce schéma... pas "ennemies to lovers" qui est un peu fort, mais plutôt une phase d'apprivoisement avec des personnages aux forts caractères. Et j'adore. Les piques, les chamailleries, les prises de bec, du piquant à souhait qui donne une très bonne dynamique à la romance et à l'histoire. Les Bridgerton n'ont pas leurs langues dans leurs poches et tant mieux.

J'avoue tout de même que j'avais quelques appréhensions au début de ma lecture. le côté Cendrillon... je ne suis pas très fan en règle générale (la pauvre Cendrillon n'y est pour rien, mais c'est un conte que je n'apprécie pas du tout de base). Une amie m'avait cependant rassurée en me disant que cela s'estompait rapidement. J'ai donc serré les dents face aux maltraitances que subit Sophie, et sans surprise, je me suis laissée prendre aux jeux. J'ai toujours beaucoup de mal avec les histoires, quelles qu'elles soient, où des membres d'une même famille se montrent cruels ou détestables les uns envers les autres. Je ne le conçois pas même si je sais que cela existe. Voir ainsi Sophie évoluer de la petite fille à la jeune femme que nous allons suivre, privée d'amour paternel, maltraitée par sa belle-mère sans raison valable, tourmentée par l'une de ses demi-soeurs, dépossédée de ce qui lui revient de droit... Ce n'est pas évident surtout que notre héroïne est attachante dès le départ. Cependant, lire ses passages est essentiel. Ils sont la base de sa personnalité, de sa psychologie, de la femme forte, droite et déterminée qu'elle devient. Une femme entière qui a accepté son sort sans esclandre et avec une résilience qui pousse au respect. En clair, Sophie est ce genre de personnage fort et sensible à la fois que j'aime voir évoluer.

Et nous avons Benedict. le second de la fratrie qui souffre du fait de n'être reconnu que grâce à son allure, son nom ou bien comme étant le numéro 2. Un homme qui ferait tout pour sa famille, qui a des principes, avec l'âme d'un artiste un peu aventureux. Il est aussi le reflet de son époque et de sa condition. Parfois arrogant et fier, blessant même. Mais Benedict est un Bridgerton, il a donc aussi des qualités qui sont rares dans l'aristocratie. Son ouverture d'esprit, son sens moral, sa considération des "petites gens"... Sa gentillesse bourrue est aussi adorable, tout comme sa prévenance. Il sait aussi être taquin, plein d'humour et il est loin d'être un idiot. Un personnage plus complexe qu'il n'y parait, avec ce côté parfois gamin capricieux. Je regrette cependant que sa "psychologie" n'ait pas été aussi développée que celle d'Anthony dans le second tome.

Un autre personnage ressort énormément dans ce tome trois : Violet. La mère des Bridgerton mériterait la palme de la maman de l'année. Maman ours et maman poule réunies, elle pense toujours au bien-être de ses enfants et il ne faut pas se laisser leurrer par son statut. Elle sait aussi montrer les dents. Douce, aimante, compréhensive... elle sort du lot, surtout quand on pense à l'époque et au milieu, mais Violet est aussi la raison qui fait que ses enfants sont qui ils sont. Et je ne la remercierais jamais assez.

Mais la romance dans tout cela me direz-vous ? Elle est parfaite. Entre les non-dits et cet apprivoisement parfois musclé (Sophie peut se montrer un brin violente, si, si), il y a de la douceur, du respect, des sentiments forts, des blessures à guérir. Un long cheminement avec quelques petites péripéties (dont une qui a de quoi nous effrayer un petit peu) mais qui se lit sans aucune difficulté, alternant les points de vue de nos deux héros pour mon plus grand plaisir. Parce qu'il est toujours plus intéressant de percevoir ce que chacune des deux parties ressent. Et puis, la fin a ce petit plus de satisfaisant, vis-à-vis d'une certaine intrigue, avec une pointe d'humour bien anglaise et une Bridgerton attitude digne de ce nom.

Je vais m'attaquer à Colin de ce pas. Cela fait un bien fou d'aimer autant une lecture, et il serait dommage d'attendre encore des mois pour poursuivre les aventures de la fratrie.
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Après Anthony, voici Benedict, le second frère, célibataire convoité par toutes les mères qui ont des filles à marier. Lors d'une soirée donnée par sa mère, Benedict tombe sous le charme d'une belle inconnue masquée qui, comme Cendrillon, disparaît après minuit. Cette Cendrillon s'appelle Sophie, elle est la fille illégitime d'un comte qui est mort en lui laissant de l'argent. Mais sa méchante belle-mère Araminta s'est bien gardée de le lui dire et, depuis la mort de son mari, exploite Sophie et la fait trimer. C'est pour échapper à cette tyrannie que Sophie s'est rendue à la soirée. Peu de temps après Sophie s'enfuit et trouve un poste de domestique chez un couple qui vit à la campagne. Deux ans, plus tard, par un concours de circonstances, Sophie et Benedict se retrouvent mais bien évidemment il ne la reconnaît pas. Par contre, il est bien décidé à la mettre dans son lit. Mais la belle est plus farouche que prévue et le beau Benedict va devoir trouver des arguments sonnants et trébuchants pour la faire céder.

L'intrigue qui démarre comme le conte de Cendrillon (la jeune fille maltraitée par une vilaine marâtre et ses deux méchantes filles) est agréable à lire. Même si, et visiblement c'est une faiblesse de l'auteure, l'histoire s'essouffle vers la fin, c'est le genre de lecture qui vous délasse. Les dialogues restent vifs, la famille Bridgerton est toujours aussi pétulante et envahissante, ce qui fait le charme de cette série.
Challenge Multi-défis 2021
Challenge Plumes féminines 2021
Challenge Séries 2021
Challenge coeur d'artichaut 2021
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J'ai un peu moins aimé ce troisième tome où l'intrigue m'a semblé un peu trop rocambolesque et le ton un petit peu plus grave. J'ai aussi été un peu gênée par la lourde insistance du héros à faire de l'héroïne sa maîtresse puisque les conventions sociales ne lui permettent pas de l'épouser : il lui faut beaucoup de temps pour accepter le refus de la jeune femme.

Le début du roman se calque sur l'histoire de Cendrillon au point que l'histoire s'en trouve un peu affadit tant tout est prévisible (sans compter que la méchante belle-mère et les vilaines soeurs paraissent très caricaturales une fois sorties du contexte du conte). Je ne suis réellement entrée dans l'intrigue qu'une fois qu'elle s'est détachée de la trame du conte.

Le style de Julia Quinn est toujours très agréable, en particulier au niveau des dialogues acérés et plein d'humour. Et la famille Bridgerton est à nouveau plus présente, avec en tête Violet, la mère attentionnée (parfois trop) de la remuante fratrie.

Même si ce tome ne m'a pas autant séduite que les deux précédents, j'ai passé un moment agréable avec Benedict et je vais très vite me plonger dans le quatrième...
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Ce troisième tome a des allures de Cendrillon. Sophie, protagoniste principal, est une bâtarde. Mais son père biologique en a fait sa pupille, sans jamais la reconnaître officiellement. Lorsqu'il se remarie avec une femme avare, cette dernière prend toute la place, avec ses deux filles. A la mort du père, la femme garde Sophie, pour l'argent qui vient avec, et en fait une bonne. Un soir, au bal costumé, Sophie ose… Elle s'y rend, costumée. Elle a jusqu'à minuit pour vivre sa vie. Elle fera la rencontre de Benedict. le coup de foudre. Mais là s'arrête Cendrillon, puisque quelques deux ans plus tard, Sophie et Benedict seront amenés à se rencontrer, et Benedict ne reconnaitra pas Sophie. Une autre histoire de je t'aime moi non plus… La formule reste la même : un tandem qui s'aiment, mais qui n'arrêtent pas de chamailler, qui se repoussent, mais dont l'attirance est très évidente… Mais cette formule fonctionne. Ça nous donne des moments délicieux et très intenses. J'ai beaucoup aimé le personnage de Sophie. Bref, une bonne lecture. J'ai hâte de lire la suite.
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Mon préféré jusque là :-)

Faut dire que j'adore l'histoire de Cendrillon et notre héroïne est une Cendrillon malgré elle. Une nuit magique qui changera tout et qui ne changera rien si ce n'est un souvenir merveilleux pour survivre encore et toujours à une existence misérable pour elle et insipide pour lui. Et là, il faudra attendre et surtout se méfier de la marâtre qui est toujours à l'affût malgré les années qui passent…

Pour l'analyse : un rythme enjoué soutenu par des dialogues intenses et amusants, des personnages attachants et bien campés, des situations parfois assez cocasses et toujours pleine de vie, une plume colorée et truffée d'humour, un soupçon de rouge pour corser un peu l'affaire et la mise en avant de la situation des enfants illégitimes de la haute société comme fil conducteur.

« Elle était une bâtarde, l'enfant illégitime d'un aristocrate. Elle n'appartenait pas à la bonne société et n'en ferait jamais partie. Pourquoi aurait-elle dû se plier à ses règles ? »

Une lecture plaisir toute en tendresse pour l'artiste de la famille Bridgerton et bien sûr, je me plonge dans le suivant pour rester dans l'ambiance :-)
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J'avais hâte de poursuivre cette saga et de découvrir l'histoire consacrée à Benedict.

Le récit est prenant et les personnages sont attachants avec des caractères forts aussi bien Benedict que Sophie. C'était également un plaisir de retrouver la famille Bridgerton qui est vraiment chaleureuse et généreuse.

J'ai vraiment apprécié la réécriture de Cendrillon qui est proposée dans ce tome et qui permet ainsi de mettre en avant les thèmes des classes sociales et des enfants illégitimes dans cette société.

La romance fait gentiment son apparition et est addictive. Sophie ne va pas se gêner pour remettre en place Benedict et certains passages m'ont beaucoup fait rire.

La plume de l'autrice est fluide et une fois votre lecture commencée, il sera très difficile de la lâcher.

Cependant, j'ai trouvé que les sautes d'humeur de Benedict étaient exagérées et ne concordaient pas vraiment avec son côté qui se veut assez doux.

Dans ma version, j'ai également rencontré pas mal de coquilles qui sont dues à des soucis de traduction. Par instant, j'ai dû me concentrer pour lire certaines phrases car les mots n'ont pas été correctement traduits et peuvent porter à confusion.

Si vous aimez les romances historiques et que vous avez envie de passer un bon moment de lecture, je vous recommande chaudement cette saga.

J'ai rapidement lu les 448 pages de ce tome. Les chapitres sont de taille moyenne (environ une quinzaine de pages) et le style d'écriture est de taille standard assez serré.

Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce tome dans un double volume avec le tome 4 pour 15,90 euros ou pour 22,50 francs.

Comme d'habitude, je me suis régalée avec cette lecture et je me réjouis de poursuivre cette saga. J'ai juste eu du mal à comprendre les excès d'humeur de Benedict par instant. Je donne donc la note de 8 sur 10 à ce tome.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..
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Bon, je n'ai pas eu le choix, je devais lire ce troisième tome avant d'entamer le quatrième, celui de Colin.
Non pas que Colin m'intéresse plus que Bénédict.
Mais c'est parce que je sais que le personnage de Pénélope sera mis sur le devant de la scène.
Et, vous l'avez compris, c'est mon personnage préféré.
Étrange puisque ce n'est pas une Bridgerton.
Après tout, c'est leur chronique.
Certes mais pour moi, l'auteure travaille principalement ses personnages féminins.
Daphnée puis Kate et maintenant Sophie, 3 personnages avec un caractère assumé. La première était de son temps, à vouloir se marier avec un bon parti.
Mais les 2 autres étaient des femmes modernes, n'ayant pas peur de choisir ou d'assumer l'indépendance.

Donc, un peu à contre coeur, j'ai commencé ce roman.
Le début est clairement un copié/collé de Cendrillon. Mais, voilà que je m'attache à cette dernière, nommé Sophie.
Et que je tourne frénétiquement les pages, que je passe de chapitre en chapitre pour savoir la suite.
Bref, j'ai adoré.
Concernant, Bénédict, charmant jeune homme, beau, intelligent, riche, c'est un peu la copie de son frère aîné avec les problèmes de ce rôle en moins.
J'ai moyennement aimé certains de ses comportements mais il se rattrape à fin.
Enfin, j'ai apprécié de pouvoir suivre les chroniques sous un angle différent, celui des domestiques.
Histoire à suivre !

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Sophie, fille illégitime du comte de Penwood, vit avec son père qui l'a fait passer pour sa pupille (même si personne n'est dupe). Lorsque son père se remarie, le cauchemar de Sophie commence... Sa belle-mère, Araminta et une de ses demi-soeurs se montrent horribles et à la mort du comte la relèguent au rang de simple domestique. Lors d'un bal masqué chez Lady Bridgerton, Sophie, bien apprêtée grâce à la gouvernante, rencontre Benedict. Mais à minuit, elle s'enfuit laissant derrière elle un gant (tout ceci vous dit quelque chose maintenant, non? :p). Benedict fera tout pour la retrouver sans succès. de son côté, Sophie se retrouvera obligée de quitter sa maison quand Araminta se rend compte de son escapade. Lorsque Benedict croise de nouveau Sophie, elle est une simple domestique. Saura-t-il reconnaître sa mystérieuse inconnue? Leur amour parviendra-t-il à triompher des conventions sociales de l'époque?

Ce tome m'a moins plu que le précédent. C'est surtout dû au comportement de Benedict que j'ai parfois eu du mal à supporter. Dans les autres tomes, je le trouvais assez fade et peu charismatique. Il n'avait pas réussi à me séduire :p. Ici, je l'ai trouvé trop insistant, trop égoïste. Il ne pense qu'à faire de Sophie sa maîtresse sans penser à son ressenti ou à ses volontés. Il la pousse dans ses retranchements et lui en veut quand elle ne cède pas. Il m'a fait penser à un enfant gâté râlant quand il n'a pas ce qu'il désire.

Sophie, de par son passé, refuse d'avoir un enfant hors mariage et essaie tant bien que mal de résister à Benedict qui représente tout ce qui lui est interdit. Elle est touchante et on ne peut que compatir devant ses difficultés.

Les autres Bridgerton sont peu présents malheureusement. Cependant, on commence à faire la connaissance d'Eloïse, Francesca et Hyacinthe.
Lady Bridgerton, de par son soutien sans faille à ses enfants, est vraiment une mère modèle même si elle essaie de les marier à chaque occasion qu'elle trouve. Je l'ai trouvée très touchante dans ce volume.

J'avoue que j'attends avec impatience le prochain tome :)! Colin me plaît depuis le premier tome avec son humour, son côté taquin et quand on sait que son duo sera avec Penelope Featherington, je n'ai que trois mots à dire: vivement la suite!!

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Pour commencer, je dirais que cette chère Cendrillon n'a qu'à bien se tenir. Sa consoeur Sophie est arrivée sur le marché des coeurs à prendre et niveau malheur, Sophie rivalise haut la main avec notre princesse Disney.
Ici, notre héroïne n'a ni marraine bienveillante ni citrouille et pas plus de pantoufles de vair. Elle ne possède que sa détermination et sa droiture, des qualités auxquelles elle va s'accrocher tout au long de l'histoire.
Sophie est la fille bâtarde du comte de Penwood qui la fait passer pour sa pupille et l'élève dans des conditions pour le moins acceptables. Malheureusement, le bougre finit par épouser une mégère flanquée de deux fillettes. Comble du mauvais goût, l'homme décède laissant notre pauvre Sophie aux mains de sa marâtre qui l'exploite et la tyrannise comme toute belle-mère qui se respecte.
Mais voilà qu'un jour les Bridgerton, toujours aussi fabuleux, donnent un bal masqué.
Des domestiques qui ont élevé Sophie et qui accessoirement remplacent les petites souris et les oiseaux dégotent une robe et un masque de soie noire dans une vieille malle.
Ainsi vêtue, la belle se rend au bal et rencontre le fils n° 2 de la prolifique famille Bridgerton : Bénédict.
Aussitôt, c'est le coup de foudre. L'artiste un peu paumé et en mal d'accomplissement
s'éprend de l'inconnue dissimulée derrière son loup.
Minuit sonne, elle se sauve à pied en raison d'un mauvais timing avec la calèche qui, je le rappelle, n'est pas une citrouille.
Bénédict qui a des relations pense qu'il pourra la retrouver aisément. Manque de chance, à la suite d'un accrochage virulent avec belle maman, Sophie quitte la ville et disparaît sans un sou en poche.
Des années plus tard, Bénédict va sortir Sophie d'une situation éprouvante et d'une violence qui m'a surprise. Bien sûr, il ne la reconnaît pas sans son masque.
S'en suivent des moments de séduction, des quiproquos et des circonstances difficiles. Pour finir, la famille s'en mêle et c'est un plaisir de les retrouver avec leur bonne humeur, leurs joutes verbales, et leur amour indéfectible les uns pour les autres.
En conclusion, j'ai beaucoup aimé ce roman, comme les deux précédents d'ailleurs. La romance est très belle, bien que compliquée. Les personnages ont des caractères affirmés, surtout Sophie. Et pour finir, j'ai apprécié les sujets abordés comme la condition de la femme ainsi que la différence de classe qui sont des thèmes récurrents de cette saga.

Je vous recommande donc fortement ce tome qui est, je pense, le plus sombre des trois malgré un début digne d'un conte de fée.

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Je continue la Chronique des Bridgerton, après avoir vraiment aimé les 2 premiers tomes, je m'attaque au troisième qui s'attarde sur le second frère Benedict.
L'histoire d'amour de Benedict fait penser au conte de Cendrillon, malheureusement je n'ai pas accroché plus que ça... Je trouve que la relation entre Benedict et Sophie tourne en boucle, leur dispute semble surgir de nulle part et sont souvent de la même forme et de la même issue. Aussi, un manque de spontanéité et d'humour j'ai trouvé par rapport au tome 2 où le franc parlé de Kate me manquait ! Peut être me suis-je lassée rapidement de ce couple car il n'y a qu'eux dans le roman, les personnages secondaires portent très bien leur nom pour le coup, à mon grand regret. Bref, vous l'aurez compris, j'ai été déçue alors que j'en attendais beaucoup de ce frangin artiste qui avait l'air si charmant et qui finalement m'a semblé plus fade que son aîné. Pourvu que Colin remonte le niveau !
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