AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de maylibel


Londres, début du XIXe siècle. Fille illégitime du comte de Penwood, Sophie Beckett est traitée comme une moins-que-rien par sa belle-mère. Une nuit, elle se rend au bal masqué en cachette et séduit Benedict Bridgerton, riche aristocrate. Mais celui-ci saura-t-il retrouver la jeune femme sous ses habits de domestique ?

Troisième tome de la saga Bridgerton, Benedict peut être lu de manière complètement indépendante (ce qui est mon cas, puisque je n'avais lu auparavant que le septième tome). On passe d'ailleurs peu de temps avec les membres de la famille (qui a pourtant l'air fascinante) autres que Benedict, le fils cadet et héros du roman. L'histoire, réécriture très libre de Cendrillon, a cette petite touche de magie qui rend le livre vraiment passionnant.

L'intrigue est solide. Elle ne comporte aucune longueur. Les personnages sont tous bien écrits, à commencer par les héros, deux têtes de mules pétillantes d'intelligence, mais aussi les personnages secondaires comme lady Bridgerton, la mère de Benedict. La plume de Julia Quinn est pleine d'humour (les scènes qui mettent Benedict et Sophie face à face valent le détour) et de vivacité. Bref, on passe un excellent moment avec Benedict.

Une romance historique très réussie, qui donne envie de découvrir les autres tomes de la série, à commencer par le suivant, Colin, qui s'annonce extrêmement prometteur.
Commenter  J’apprécie          50



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}