RJ
Ellory c'est d'abord un tempo de lecture, un thriller proche de la fresque historique dans lequel le héros est un prétexte à l'histoire plus qu'un acteur.
Après
Seul le silence qui m'avait convaincu et
Vendetta que j'avais adoré, j'attendais donc que
Les Anonymes soit dans la même veine.
Force est de constater que si le style
Ellory est présent (passage d'un narrateur omniscient à un second narrateur type "journal intime", fresque historique sur une période de l'histoire des Etats-Unis,...) la trame narrative, elle, est loin d'être à la hauteur, la conclusion se perçoit bien trop rapidement et la géniale idée de base du mode opératoire de l'assassin n'est que trop peu exploitée à mon goût.
Déception donc pour ce troisième
Ellory, espérons que
Les Anges de New York, son quatrième roman traduit en français me réconcilieront avec cet auteur.
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