Femme, sache que la déesse qui m’aime, ce n’est pas la Phrygienne Kybèle, c’est l’Iranienne Anahita que vous et les Grecs appelez Anaïtis, celle que le Grand Roi en personne vient d’accueillir officiellement dans ses palais aux côtés d’Ahoura Mazda et de Mithra que nous autres Aryas adorons depuis qu’ils ont créé le ciel avec la terre et les autres astres. Maintenant, conduis-moi à ta fille.
Conférence Cercle Ernest Renan - Orphée, orphisme et christianisme par Guy RACHET